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 CLÉS DONNANT ACCÈS AU MYSTÈRE CHRISTIQUE

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MessageSujet: Écriture "Vieille Europe" : Le Signe de la Croix X (3)   CLÉS DONNANT ACCÈS AU MYSTÈRE CHRISTIQUE - Page 3 Icon_minitimeLun 13 Mai 2013, 00:29

Bonsoir à tous,

En plus du Signe de la Croix (tronquée de la Fille), mon attention fut attirée sur les Doubles Valeurs sémantiques de certains MOTS Clés.

En effet, mise sur la piste de l’existence de l’écriture spéculaire, en miroir, grâce au mot « NOM/Név » mettant à jour, dans les cas développés, la ruse utilisée par les entités déchues pour Tromper les Humains,

- NOM = NéV : 22+9+40 = 71 = 8
- NOM = NéV : 4+9+4 = 17 = 8-

je remarquais que parmi les mots septenaires tels : :

- Arbre de Vie = ÉLETFA : 9+19+7+33+10+1= 79= 16 = 7
- Arbre de Vie = ÉLETFA : 9+1+7+6+1+1= 79= 25 = 7 ; 9+10+7+6+10+1 = 43 = 7

- Matrice = MÉH : 21+9+13 = 43 = 7
- Matrice = MÉH : 3+9+4 = 16 = 7

- Sphère = GÖMB : 11+26+21+3 = 61 = 7
- Sphère = GÖMB : 2+8+3+3 = 16 = 7

- Terre = FÖLD : 10+26+19+6 = 61 = 7
- Terre = FÖLD : 1+8+1+6 = 16 = 7

le chiffre SEPT s’obtenait autan par 6+1=7 (Fils = FIÚ : 61=7) que par 4+3=7 ou encore par 2+5=7 tel le Chariot du Tarot.

Citation :
1) Diadal = TRIOMPHE = 47 = 11 (ou la lettre « G », le Verbe) = 2 ;
Si le Nombre 11 et le Verbe sont équivalents, le deux ne représente pas la « dualité » (Noir/Blanc) du monde d’en-bas (!) mais bien, le Verbe véhiculé par La Papesse ou La « Prudence ».
2) Szekér = CHAR, Chariot = 95 = 14 = 5

---> 2 + 5 = 7, Le Chariot

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Citation :
p. 362 : entretien 82

(...) Soudain, un étrange rêve qu’Hanna avait jadis raconté me revient. Pendant leurs années d’études, alors que Joseph et elle se rendaient au festival de Dürer à Nuremberg, tous deux avaient, la même nuit, fait le rêvé suivant :
Dans le Nuremberg médiéval, Hanna désespérée courait derrière un chariot sur lequel Joseph, enchaîné, était conduit au supplice. Joseph avait rêvé la même chose : il était assis sur le chariot et Hanna désespérée, courait derrière lui.
Je me demande, n’ont-ils accepté tous deux, il y a fort longtemps, ce rôle de « faible », de « victime » ? Je me garde de poser cette question à Hanna qui de toute façon doit endurer beaucoup.
Tard le soir, à nouveau, je note une partie :


... l’amante cède,
si l’amant vient.

Les deux sont un.
Il n’y a plus dorénavant de liens,
parce qu’il n’y a plus de brèches
.
Tremblement éternel, glorification, apothéose.

Le mystère de la Sainte Trinité est :
Amante - amour - amant.
Les trois sont un,
et pourtant distincts.

L’Eternel agissant est le Verbe, [= iGe]
le OUI. [= iGe + N = igen]
L’enseignement :
Lui/Elle EST.


p. 363 : entretien 83

L’héritage, l’existence éternelle, que Lui/Elle vous a légué,
la vigne, l’éternelle fructifère.

Mystérieux, merveilleux enseignement
l’immaculée, l’éternelle conception.

A l’existence éternelle Sept marches conduisent.
Sept pas, qu’effectuer vous pouvez.
La première naissance, la païenne, est la matière.
La deuxième est la purification, la plante.
La troisième, le don de soi, l’harmonie.
La quatrième est la maison, la chambre nuptiale décorée.
Par les trois marches d’en haut
Descend le Fiancé : la LUMIERE.
Si le Fiancé trouve la Fiancée,
avalée est la mort pour toujours.


Les trois pas sont le temps :
Le passé : purification.
Le présent : don total de soi-même.
Le futur : noces.

Les deux Amants sont issus DE LUI/ELLE,
de l’éternel Natif.
A LA PLACE DE LA LUMIERE SANS CORPS,
ET DU CORPS SANS LUMIERE,
LE NOUVEAU : LES DEUX AMANTS UN.
LE VERBE DEVINT CHAIR,
ET LA MATIERE DEVINT LUMIERE.

C’est cela la conception, c’est cela l’amour
éternel et immaculé.
Après, il n’y a plus de Bethléem,
plus de tombeau, et plus de résurrection.
Le Nouveau Krist est robe de lumière,
ses yeux sont feux, ses cheveux flamboyant.
Il n’y a plus de naissance, et plus de mort.
La mort fait mal, et la naissance fait mal,
parce qu’elles sont encore plaie, elles sont encore brèche.

Félicité, Union.
La nouvelle maison est la Quatrième,
bâtie depuis l’éternité
décorée pour le Fiancé...

Avant de poursuivre, la Somme 3+4 = 7 mérite que l’on s’y attarde un moment puisqu’elle cache en son sein, son Rapport Direct avec le VERBE. Le Verbe ou iGe a valeur sémantique de 34 (Trois + Quatre = SEPT), en sachant que la Valeur du mot « MOT = Szó » est de TROIS et celle de « S, la Tente des Justes », de QUATRE !

Quant á l’addition des chiffres 2+5 = 7, elle correspond aux valeurs des mots PAIN et VIN :
- Pain = KENYÉR : 18+7+23+9+29 = 86 = 14 = 5
- Vin = BOR : 3+24+29= 56 = 11= 2

---> 5 + 2 = 7, Le Pain et le Vin.

- Pain = KENYÉR : 18+7+23+9+29 = 86 = 14/5 ou 32/5
- Corps = TEST : 33+7+31+33 = 104/5 ou 23/5 (avec 6+7+4+6)
- Vie = ÉLET : 9+19+7+33= 68 = 14/5 ou 23/5
- Main = KÉZ : 18+9+41 = 68 = 14/5 ou 23/5
- Doigt = UJJ : 36+16+16 = 68 = 14 ou 23/5
- Jumeau = IKER : 14+18+7+29 = 68 = 14/5 ou 23/5

Úr ou Űr ? L’Eternel n’est pAS identique au Néant ou Vide.

- Néant = ŰR : 39 + 29 = 68 = 14 = 5 (seulement)

- Oiseau = MADÁR : 21+1+6+2+29 = 59 = 14 ou 23/5
- Plume = TOLL : 33+24+19+19 = 95 = 14 ou 23/5
- Gauche = BAL : 3+1+19 = 23/5

---> Tous ces mots n’ont qu’une valeur linéaire de CINQ et se situent dans la « Matière Polarisée », c’est-à-dire dans le Carré de l’Arbre de Vie et donc SOUS la tente de Dieu.
(cf. le Carré de Sátor et Rotás, « en-dessous » de l’Eternel ÚR)

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Oui MAIS (!), comme en mains endroits au cours de notre histoire, des mots à sonorité différente, sont introduits en lieu et place d’autres mots. Dans les religions chrétiennes, c’est le mot « vin » qui prend la place du mot SANG, cachant ainsi les Liens existant entre l’Arbre de Vie (15), la Fleur de Vie (15) et justement le Sang (15), tous vibrant à une fréquence dimensionnelle de Quinze.

En effet, le Nombre Quinze, hormis son lien incontestable avec l’ENFANT/Fils Solaire, met en évidence l’importance des Mots SANG et FLEUR puisque tous deux ont une valeur énergético-sonore de 15.

- Fleur = VIRÁG : 40+14+29+2+11 = 96 = 15
- Fleur = VIRÁG : 4+5+2+2+2 = 15

- Sang = VÉR : 40+9+29 = 78 = 15
- Sang = VÉR : 4+9+2 = 15

Citation :
Et comme « par hasard », ce mot hongrois « vér » signifie justement « sang » en hongrois.
- Vér = (le) Sang ;
Et son verlan « rév » est, au figuratif, un synonyme pour dire « Havre de Salut ».
- Rév = port ; passage ;

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Cette Compréhension ici développée à l’aide des Róvás est identique à l’activation de mon propre Corps Arborescent ainsi qu’à l’expérience de Fusion avec ma Flamme qui n'est PAS mon Jumeau.

Le Jumeau du Plan de la Matière (= 23/5) n’est pas assimilable à la Flamme jumelle (= 15) improprement rattachée à cause d'un Nom semblable au premier et ainsi confondue avec lui.

Affaire à suivre…


Dernière édition par douceur le Mer 22 Mai 2013, 20:13, édité 1 fois
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MessageSujet: Écriture "Vieille Europe" : Le VERBE s'est fait Chair   CLÉS DONNANT ACCÈS AU MYSTÈRE CHRISTIQUE - Page 3 Icon_minitimeJeu 16 Mai 2013, 18:57

Citation :
Avant de poursuivre, la Somme 3+4 = 7 mérite que l’on s’y attarde un moment puisqu’elle cache en son sein, son Rapport Direct avec le VERBE. Le Verbe ou iGe a valeur sémantique de 34 (Trois + Quatre = SEPT), en sachant que la Valeur du mot « MOT = Szó » est de TROIS et celle de « S, la Tente des Justes », de QUATRE !
Comment Le Verbe s’est-il fait Chair ?

La Chair si dit « Hús » : H = XX ou l’ossature de l’Arbre de Vie Polarisée, Ú ou l’Eternel Infini et S, le chevron Λ ou la Tente.

Notre Arbre de Vie corporel polarisé est lié à la 15e Dimension, tout comme la Fleur de Vie aux 15 Pétales polarisées dans lesquels circulent le Sang Kristique provenant du Cœur Kristique ou « SzíV », chacun séparément de Vibrations égales à 15 : Szív = 32+15+40 = 15.

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Synonyme de CE Cœur Kristique, le « Soleil Intérieur » (ou Monade) fait croître Graines, Arbres et Fleurs de Vie « Solaires » puisque

- Úr = 66 ;
- Graine = MAG : 33 = 6 ;
- Soleil = NAP : 6 ;
- Fleur = 15 = 6 ;
- Sang = 15 = 6 ;
- Cœur = 15= 6

Ce dernier n'est, par conséquent, pas assimilable au simple cœur (physique).
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MessageSujet: Écriture "Vieille Europe" : Huit = 70 ou 60+10   CLÉS DONNANT ACCÈS AU MYSTÈRE CHRISTIQUE - Page 3 Icon_minitimeMer 22 Mai 2013, 20:06

C’est sans surprise que je constate que le mot magyar Huit ou « Nyolc » à lui tout seul fait 70 (septante) c'est-à-dire SOIXANTE-DIX :

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Mais si c’est ce chiffre 70 qui correspond, dans l’alphabet hébraïque, à Ayin, l’Oeil, c’est une Valeur 60 que possède le mot magyar SZEM/œil.

Il est à relever que Szem signifie aussi bien Oeil que Graine !

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Serait-ce pour pouvoir discerner, distinguer la différence entre le 70 et le 60 que le HUIT, l’Intuition ou intelligence du Coeur a une si grande importance ?

Serait-ce parce qu’au milieu de 60+70 = 13 (ou XX) se situe le centre de ce qui est dit être la GRAINE de Dieu ?



- SzÁm = Nombre : 32+2+21= 55 = 10 = 1 donc UN donc SEPT puisque 7 = 1.
SzÁm = Nombre : 5+2+3= 10

- SzEm = Oeil et/ou Graine : 32+7+21= 60 = 6 qui est LE chiffre Solaire par excellence.
SzEm = Oeil et/ou Graine : 5+7+3= 15 = 6

Dans la charte des lettres hébraïques, la 15e lettre est Samech qui se prononce „x”. Et c’est à celle-ci qu’ on associe le SOLEIL !

Citation :
Midi, c’est-à-dire 12 heures (sur un cadran solaire) est donc à l’opposé de 6 heures (et/ou 7 car tous les deux, 6 et 7 ont une provenance commune).

En positif :

- HaT = six, 6
- HéT = sept, 7
- Hét = la semaine

En négatif :

- HáT = dos ; (le) revers ; par derrière
- HiT = croyance


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MessageSujet: Re: CLÉS DONNANT ACCÈS AU MYSTÈRE CHRISTIQUE   CLÉS DONNANT ACCÈS AU MYSTÈRE CHRISTIQUE - Page 3 Icon_minitimeVen 31 Mai 2013, 09:45

Citation :
Sujet démarré sur le forum Antahkarana dans la section "Clés donnant accès au mystère christique" dont certaines informations non pu être partagées avant sa mise en sommeil... PAR DOUCEUR
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Le SEPT :

JESUS (Jézus) = 133/7
Trinité (Háromság) = 133/7

La ROSE (Rózsa) = 16/7
Le (point) Zéro = 16/7
La Matrice (Méh) = 16/7
---> 777

" Ce que les hommes cherchent pourrait être trouvé dans une seule Rose " Antoine de Saint-Exupéry, dans Le Petit Prince.

Le CHEMIN = 70 (= Út ou la 8e note musicale, le do aigu).
Huit = 70
Sátor/Rotás = 70
---> 777

Le ROUGE (Vörös) = 8
Sára, la Femme = 8
La Fille = 8
---> 888

Cf. : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

Pourquoi la Femme a pu-t-elle être assimilée à « Dieu » ?
Parce que le mot Dieu (Isten) a valeur de « 8 » également.
Cf. : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

"Le rouge est Eros – l’amour terrestre.
Le bleu – l’amour du ciel.
Le Pourpre – est SA couleur. [SA = Ő = Il /Elle = la Couleur du Couple Sacré]
(Sa voix prononce ce Ő avec un profond respect)"
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

La FLEUR = 15/6
Le Cœur = 15/6
Le Sang = 15/6
---> 666

Pourquoi est-il dit que : « la Rose est à l’Occident, ce que le Lotus à l’Orient » ?
Car la Fleur de Lotus vaut 7/Sept tout comme la Rose.

L’ARGENT = 150/6
La Lumière = 15/6
L’Etoile = 15/6
---> 666
---> Cf. la « Graine d’Etoile » (≠ la « Poussière d’étoile » ou Néant)

« Ignorez-vous que vos corps sont les membres du Christ ? » (1. Cor. 6/15)

Pourquoi Jésus dit-il : « Je Suis le Chemin, la Vérité, la Vie » ?

Le CHEMIN (Út) = 70
La Vérité = 3
La Vie = 5, la Quintessence
---> 7 + 3 + 5 = 15/6

Pourquoi la Vie est-elle assimilée à la Quintessence?
Parce que le mot Vie (Élet) a valeur de 68, Nombre qui comprend le 6, la Graine et le 8, la Femme/Fille.

Livre Dialogues avec l’Ange ou « L’Ange répond »
p. 331 : entretien 73

La femme, la matière vierge,
dans sa matrice reçoit.
Si elle ne conçoit pas,
si le Nouveau ne grandit pas en elle,
elle rejette la demie graine,
tout le sang, toute la force et la matière
qui lui ont été donnés.
Rejeter la matière morte !
Elle se détache de vous !
D'elle une nouvelle vie peut germer.
Ainsi, ce qui est mort peut aussi être délivré.
Ne vous attachez pas !
Ne craignez pas de couper ce qui est mort !
Cela ne vous fera pas défaut.
Puisque a été greffé en vous le Nouveau, qui croît.

Le secret du jugement dernier est :
Dans SA main rien n’est perdu.
Le Nouveau Bourgeon croît, porte fruits.
La vieille branche est avalée par la fosse,
et devient nourriture, là, en bas.
Elle n’est plus corps mort.

TRANSFORMATION !

Elle n’est pas déchet, pas ordure, mais terre,
qui de nouveau nourrit l’arbre vert.

CE QUI EST AU-DEHORS – EST ENSEVELI.
CE QUI EST AU-DEDANS – S’ACCOMPLIT. [ au-dedans = Belül = 86 ; le 6 Grain et le 8 Femme/Fille ]
Nous parlons SA parole.
Vous, vivez-la !
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MessageSujet: Le carré Rotas de Conimbriga, Portugal   CLÉS DONNANT ACCÈS AU MYSTÈRE CHRISTIQUE - Page 3 Icon_minitimeDim 13 Oct 2013, 22:02

Bonsoir à tous,

Si les différentes démonstrations effectuées au cours des précédents mois, on permit de mettre en lumière le fait que le carré de Sator-Arepo a été récupéré et assimilé à un système de guématrie kabbalistique judaïque, il n’a été relevé ni que la forme écrite Rotas précède celle du Sator inversé, apparue au moyen-âge, ni que ce carré devint un talisman en raison de sa falsification et à fortiori de son tronquage afin d’en faire oublier tant son origine que sa signification originelle.

Pour étayer ces dires, étudier les artéfacts confirmant, sans équivoque possible, la postériorité de Rotas sur Sator semble un bon point de départ. Nous disposons  pour ce faire, de plusieurs spécimens. Dans un ordre chronologique décroissant, l’on peut citer les carrés découverts en Angleterre à Cirencester-Corinium et à Manchester-Mamucium remontant respectivement au IIIe siècle et à 185 de notre ère, celui de Hongrie retrouvé à Budapest-Aquincum daté de 105 après J.-C., ceux de Pompéi réalisés aux environs de l’an 62 après J.-C. et enfin, le fragment de Conimbriga, Portugal. Il est à remarquer que tous ces anacycliques* ont été retrouvés dans des villes antiques de l’époque romaine.

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Citation :
*Un anacyclique est un mot ou phrase que l’on peut lire à l’envers ou à l’endroit. Le palindrome est un cas particulier d’anacyclique où la signification est la même selon le sens de lecture ; dans le cas général, l’anacyclique a une signification différente selon le sens de lecture. Par définition, un anacyclique est une anagramme.

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Avant d’exposer le tracé historique découlant des constatations des tablettes retrouvées parmi les ruines des cohortes romaines, commençons par analyser en profondeur le plus ancien Rotas. Il s‘agit de la pièce de musée de Conimbriga, datée par le professeur Robert Etienne, participant aux fouilles franco-portugaises, du milieu du Ier siècle précédant l’ère chrétienne.

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L’utilisation d’une lettre n’appartenant pas aux alphabets greco-latins est ce qui, de prime abord, saute aux yeux sur cette photo. Il s’agit du [N] pris par les latinistes pour un [n] majuscule alors que dans plusieurs cas, comme sur cette pièce justement, il se trouve clairement représenté en miroir [И] soulignant ainsi son antagonisme. Ensuite, l’on note que la consonne centrale du carré magique des écoles de mystères change de place. En effet, le [N-И] délaisse le centre de la croix palindromique Te[N-И]eT pour s’écrire juste après les quatre [t] tout en se multipliant par le nombre de [t] présent au sein de la quadrature. Graphiquement, ces permutations font apparaître un graphe central inconnu : TИ- ?- ИT.

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MessageSujet: Le carré Rotas de Conimbriga, Portugal-Terv ou PLAN   CLÉS DONNANT ACCÈS AU MYSTÈRE CHRISTIQUE - Page 3 Icon_minitimeDim 13 Oct 2013, 22:56

Finalement, c’est le décentrage de certains caractères, par rapport aux lettres environnantes, qui attire l’attention puisqu'il met en exergue les parties devenues illisibles. Bien qu’une déduction logique permet de reconstruire exactement ces lettres initiales, deux de ces lettres incomplètes, celles placées en diagonale, deviendront pourtant un [p] latin ou un rhô grec donnant naissance à l’hapax « arepo ». Alors, aux côtés gauches décentrés visibles et ressemblant au chiffre arabe « 1 » inversé, un seul et unique graphe s’agence parfaitement à la suite de ce tracé, il s’agit du 40e caractère de l’alphabet rovasique, à savoir la lettre [V] latine.
Paradoxalement, ce rovás peut être confondu avec un [m]. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]


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Dès que j’eu lu que l’abjad T+R+V formait - à l’aide de la voyelle [e] neutre sans laquelle aucune prononciation n’est possible - le mot « TeRV » ou « PLAN » en français, je ne pu rejeter cette approche. A fortiori parce que l’anacyclique TéR/Rét ou espace/prairie, des mots également présents dans le carré originel de Conimbriga sont en lien direct avec les Plans des Architectes soient-ils des plans de bâtiment, de jardins ou de corps humains représentés en plan, ou encore avec les plans des Maîtres d’Œuvres d’art et maîtres d’ouvrages. Et puis la Religion naturelle (chrétienne) ne parle-t-elle pas de Dieu en tant que « Grand Architecte » ou « Architecte de l’Univers » ?

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Seule une attentive observation permet d’exclure avec certitude les langues sémitiques de cette analyse. Car reconnaissons-le, le [И] à savoir le rovás [r] roulé pourrait graphiquement presqu’être confondu soit avec un Nun [n] phénicien, soit avec un Mem [m] hébraïque dont la cursive donne [N] en plus d’avoir une valeur sémantique de 40. Ou si l’on utilise l’écriture spéculaire, une occlusive [t] accompagnée d’un Aleph [a] mis en miroir, et placé à côté d’une demie lettre tenue pour la voyelle hébraïque Vav [u] inversée, se liraient en latin T+A+U et donneraient la Croix de Tau (ou Taw), un symbole dit païen. Oui mais, cette démarche, si non dénuée de sens, reposerait cependant seulement sur des conjectures d’inversions de lettres et de mélanges de langues et surtout ferait fit de tous les autres éléments visibles sur l’objet d’étude tout en entrant en complète contradiction avec le principe de l’alphabet hébreu consonantique qui ne note par conséquent aucune voyelle.

Revenons à ces [И] qui s’avèrent être, comme cela a précédemment été démontré, le rovás [r] et regardons la manière dont ils se positionnent dans le carré. Ces quatre [r] entourent la lettre du milieu, pour certains, ils seraient placés en rond (rund en allemand) autour de la croix centrale, à l’image de la symbolique de la Rose-Croix ou encore celle de la Rotes-Kreutz, la Rose-Croix Rouge.

Maintenant que le sens originel de la Croix TeRV/Plan du carré Rotas réapparaît et que l’importance cruciale du [V] triangulaire pointe doucement à la surface, se concentrer sur les lettres placées en forme de chevron autour de cette croix semble primordial. Ces trois lettres, respectivement le [o], le [r- И] et le [a] se lisent óRa signifiant horloge, montre, chronomètre ; heure (le temps) ; classe, leçon, cours. Nous comprenons mieux la raison pour laquelle au « Grand Architecte » de l’Univers s’associe également l’expression « le Grand Horloger » en tous les cas dans De la nature des dieux, livre II, §2 du romain Cicéron : « Quoi de plus manifeste et de plus clair, quand nous avons porté nos regards vers le ciel et contemplé les corps célestes que l'existence d'une divinité d'intelligence absolument supérieure qui règle leurs mouvements ? [...] non seulement la demeure céleste et divine a un habitant, mais celui qui l'habite exerce sur le monde une action directrice, il est en quelque sorte l'architecte d'un si grand ouvrage et veille à son entretien [...]». Si le mot óra/heure, horloge se lit bien de gauche à droite dans le sens des heures qui passent et pas dans un sens rétrograde, sa lecture spéculaire mais initiale, les rovás se gravant de droite à gauche, donne « A ró » ou un(e) (en)coche, une marque, tous les traits faits exclusivement sur ou dans un corps dur et solide.

Si nous poursuivons et relions les quatre chevrons entre eux, nous voyons se dessiner sous nos yeux une croix ancrée à 8 pointes, l’emblème que reprendront au XIIe et XIIIe siècle les chevaliers et templiers, prédécesseurs des rosicruciens. Mais toutes ses sociétés secrètes savaient-elles que les quatre lettres ainsi jointes par le centre veut dire littéralement « A roVó », l’Outil de gravure à savoir le chevron [V] mais plus précisément « LE Graveur » ? Ou avaient-ils connaissance du fait que « a ró óV » c’est-à-dire « la marque Protège » et à plus forte raison parce que ce rovás central [V] provient directement de la Source-Dieu, [V] ce dernier étant l’idéogramme de víz ou l’eau ? En tout état de cause, si les templiers, rosicruciens et franc-maçons ont réellement perçu la profondeur de l’enseignement véhiculé par les rovás et surtout s’ils ne ne désiraient pas se démarquer de cette écriture pour une raison pour le moment inconnue, ils n’auraient jamais eu le besoin de créer des alphabets secrets que seuls les initiés peuvent lire et comprendre puisque l’antique alphabet hongrois en lui-même reste indéchiffrable à ceux ne l’usitant pas.

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MessageSujet: Digression historique sur les R+C et les templiers   CLÉS DONNANT ACCÈS AU MYSTÈRE CHRISTIQUE - Page 3 Icon_minitimeMer 16 Oct 2013, 21:18

Dans La Confessio Fraternitatis de 1615, au chapitre IX, les frères de la Rose-Croix font mention d’une écriture non latine décrite comme magique et dont ils dispos(ai)ent, je cite :

Citation :
« Nous avons une écriture magique, reproduction de ce divin alphabet avec lequel Dieu a transcrit Sa volonté sur la nature terrestre et céleste. Avec ce nouveau langage nous lisons la volonté de Dieu pour toutes ses créatures ; aussi, de même que les astronomes prédisent les éclipses, ainsi nous pronostiquons les obscurations de l’église et leur durée. Notre langage est semblable à celui d’Adam et d’Enoch avant la chute et bien que nous comprenions ces mystères et sachions les expliquer dans cette langue sacrée, nous ne pouvons pas en faire autant en latin, qui est une langue contaminée par la confusion de Babylone. »

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Bien que cet alphabet, prétendument mis au point pour éviter les persécutions religieuses et politiques, soit devenu, selon leurs dirigeants, obsolète aujourd’hui, les glossaires dont celui de la Rose-Croix d’Or définissent pourtant encore toujours « la langue sacrée » comme étant « le témoignage des envoyés de la Fraternité transmis par écrit ou oralement aux hommes pour les inciter à retrouver la liaison avec l'Originel ». Être au fait que toutes les écriture secrètes de ces sociétés reprennent des lettres basées sur l’usage du triangle et de la forme en découlant c’est-à-dire du carré - les deux caractéristiques principales de l’alphabet rovasique - permet de se questionner sur la véritable origine de ses graphies. Dans les sociétés secrètes, l’utilisation du triangle se justifie par la loi ésotérique qui exprime que « dès lors que deux conditions de nature opposée sont réunies, elles en produisent une troisième ». Nous verrons que si cette loi ternaire se manifeste jusqu'aux mots répétés trois fois, comme dans la formule rosicrucienne « Videte, Videte, Videte. Celui qui a des yeux pour voir, peut voir et verra correctement », dans la quadrature Rotas-Terv, la forme triangulaire est celle qui fait surgir l’Arbre de Vie Kristique au cœur du carré. 

Pour conclure sur les écritures secrètes des écoles de mystères qui ne sont pas le centre du sujet ici développé, je signale que le code templier a mis en évidence la lettre [N] latine en l’associant au X, ce fameux Tau hébraïque, et non pas au signe +, la croix « carrée droite » qu’ils portaient. Ceci n’est pas la fruit du hasard. Isoler ces deux croix l’une de l’autre nous permettra dans cette analyse de percevoir la raison de cette différenciation. 

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Alors le mouvement allemand Rozenkreutz ou Le chrétien de la Rose et de la Croix, dont la création est attribuée à l’allemand Johan Valentin Andrea (1586-1654), auteur des Noces Chymiques de Christian Rozenkreutz, publié en 1616, plus exactement les rosicruciens du XVIIe siècle, sont-ils entrés en contact avec l’écriture rovasique ? Je puis aujourd’hui, sans contestation possible, répondre par l’affirmative. 

En effet, sur le dos d’un livre de 1483 de la bibliothèque du prince Dietrichstein de famille noble autrichienne a été retrouvée une page intitulée L’abc de Nikolsburg qui, au-dessus de 42 róvás et de 4 ligatures dessinés et expliqués, porte le titre de Lıtte2e Sıculo2um quas ſculpūt vel cıdunt in lıgnis traduit simplement en « Voici les lettres seklers ». Ce parchemin est reconnu avoir fait partie d’un calendrier sekler, écrit probablement entre 1490 et 1526 et contenant en bas de pages les mois de l’année écrits à l’aide de lettres hébraïques. Parmi les membres de la Maison d’Autriche, Rodolphe II de Habsbourg, roi de Hongrie en 1572, puis roi de Bohême en 1575 et finalement empereur d'Allemagne en 1576, ésotérique notoire, féru d'alchimie et d’astrologie possédait une des plus mystérieuses collections artistiques dont les livres secrets et manuscrits illustrés ne formaient qu’une infime partie. L’alchimiste Michael Maïer, apologiste des Rose-Croix devint le conseiller d’état de cet empereur. Ce ne fut d’ailleurs pas le seul roi chrétien à manifester un intérêt caché pour les alphabets sacrés. Pendant la période carolingienne de 821-822, le roi français Louis le Pieu dit le Débonnaire, aura représenté sur la dernière page dans sa bible latine, vol. II, le carré de Sator aux côtés des lettres hébraïques. 

Image de Sator dans la bible de Louis le Pieu, p. 432 : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

Cela ne s’arrête pas à ces seuls écrits. En 1598, le professeur János Telegdi écrit, en latin, Rudimenta Priscae Hunnorum linguage, un livre didactique sur la langue des Huns, système d’écriture antique usité par tous du VIIe au Xe siècle. Les copies des copies de ce livre, le manuscrit original ayant disparu, bien que remplies d’erreurs car reconnues avoir été rédigées par des scribes ne comprenant pas les rovás ont cependant été retrouvées dans des bibliothèques allemandes. L’université de Giessen fondée en 1607 produit une copie du livre en 1709. Puisque ces documents sont d’une authenticité irrécusable, et qu’ils attestent de la connaissance de cet antique alphabet dans les pays de langue allemande - comme dans les autres contrés - , nous pouvons être certain que le latiniste Johan Valentin Andrea, écumeur tant de l’Allemagne que de nombreux autres pays, en tant que spécialiste des langues anciennes, était au fait de cette vieille langue écrite. Tout comme devaient l’être les érudits allemands Herder, Sperber, Kazauer qui assurent que La Fama et La Confessio Fraternitatis (1614-1615) circulaient en manuscrit dès 1610, donc six ans, au moins, avant leur impression. D'ailleurs bien avant cela, ce sont les chroniques latines de Simon de Kéza, prêtre à la cour du roi Ladislav IV de Hongrie qui mentionnent vers 1282, les rovás dans le Gesta Hunnorum et Hungarotrum. Cet ecclésiastique se rendit fréquemment en Allemagne, en dehors de ses voyages en Italie et en France si bien que, si le soi-disant Christian Rosencreutz né en 1378 s’avérait malgré tout être un personnage réel, un siècle aurait amplement suffit pour qu’il prenne connaissance de ce manuscrit. Vous remarquerez que cette dernière preuve documentaire nous rapproche des siècles liés aux templiers. Le XIIe siècle est l’époque historique pendant laquelle les relations franco-hongroises devinrent plus fréquentes grâce au roi Géza II, qui durant son règne, de 1141 à 1162, envoya une ambassade en France. Et c’est sous le roi Béla III (1172-1192), l’un de ces plus grand rois, que la France devint l’allié de la Hongrie contre l’influence allemande menaçante.

Citation :
« Ces relations ne sont pas unilatérales. Plusieurs chevaliers français virent s’établir  en Hongrie. Les ancêtres français des « clans » Kökényes-Rénold, Becse-Gergely et Zsamboki avaient trouvé à la cour royale donations et emplois.

Non seulement des nobles, mais des gens du peuple émigraient en Hongrie : ainsi un grand nombre de Français de la Moselle, des Flamands, des Wallons ; des Français du Rhin, nommés « latini » ou par erreur « italiens », qui étaient surtout des agriculteurs ; parmi eux, beaucoup d’artisans et de commerçants ; de surcroît des architectes, dont on peut admirer les oeuvres. Ces émigrants jouirent de privilèges et de faveurs. Il y eut encore une foule de prêtres et religieux français : tels les Cisterciens et les Prémontrés. La première installation des Cisterciens eut lieu sous le règne de Géza II en 1142 : fondation de Cikador par des moines venant du monastère autrichien de Heiligenkreuz, mais qui étaient presque tous français. D’autres Cisterciens arrivèrent en 1179 : de Pontigny à Egres ; en 1182, d’Acey à Pilis ; en 1184, de Troisfontaines à Szentgotthard et de Clairvaux à Zirc. Plus tard, une partie des moines d’Egres essaima à Paszto et à Karc, en Transylvanie.

L’implantation des Prémontés eut lieu presqu’en même temps : ils arrivèrent en 1178 de Valroi, en Lorraine, à Garab ; un peu plus tard de Valroi encore à Bozok, à Szentkereszt, à Türj, à Varadelöfok.

Les deux ordres reçurent en donations des propriétés, des villages entiers. Longtemps les moines gardèrent leur langue maternelle, car le recrutement était principalement français. Les maisons mères françaises envoyaient des « visiteurs » contrôler la vie monastique. Enfin, les moines français établis en Hongrie ont assuré une correspondance régulière avec la France. »

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MessageSujet: Le carré Rotas de Conimbriga Portugal-Arbre de Vie Kristique   CLÉS DONNANT ACCÈS AU MYSTÈRE CHRISTIQUE - Page 3 Icon_minitimeMer 16 Oct 2013, 21:30

Bien que cette digression historique soit très instructive et permet de comprendre plus facilement l’essaim de carrés de Sator apparu au Moyen-Age tant en France qu’en Allemagne, en Autriche et en Italie, je me recentre sur le carré Kristique de Conimbriga. Le terme « Kristique » se justifie par l’emplacement des consonnes [r] qui se positionnent en réalité en un carré sur sa pointe, une forme géométrique qui fait apparaître un rovás supplémentaire à savoir le [K-] que l’on retrouve doublé dans le mot « Kék » ou bleu. Dans le cas de la forme arrondie, symbolisée par la Rose, ce passe totalement inaperçu. Se référer à la couleur bleue comme étant la couleur liée à l’eau/víz [V], à la Source-Dieu ou au ciel restreindrait notre champ d’investigation. Par contre, si on ajoute cette teinte bleue aux lettres V+R correspondant à Vér ou sang ; à Rév ou port, passage, havre de salut ; mais encore à Érv, voulant dire preuve, argument, raison, notre palette de compréhension s’étend à l’ensemble de la quadrature de Rotas. Devons-nous en déduire que la phrase « [le] sang bleu, [est la] preuve [du] salut, [du] passage » est cruciale ? En tout état de cause, la signification ésotérique de l’expression « être de sang bleu » semble devoir être redécouverte puisqu'elle s’est vue limitée dans l’histoire à une origine strictement royale ou impériale et par extension à la seule noblesse.

Relevons que si ni le mot rouge, ni celui de rond ne débutent en hongrois par un [r] roulé, l’unique consonne [r] produit, par contre à lui tout seul, sept mots clés. Listés par ordre alphabétique, nous découvrons áR ou courant, marée mais encore prix, valeur ; éR, vaisseau, artère, veine, petit ruisseau ; íR ou le verbe écrire ; őR signifiant gardien ; úR, Dieu, Seigneur ; űR, vide ou espace cosmique et finalement , écrire dans le sens de graver. Et ne sont-ce pas les vaisseaux sanguins, les artères qui circulent aussi bien dans nos corps, que dans les végétaux, dans les veines des minéraux et des pierres marbrés, sur les planètes sous forme de ruisseaux et fleuves, et dans les courants, les océans de l’espace ? En réalité, l’enseignement sacré qui a pu être caché, qui a été gardé secret afin de le travestir est l’Arbre de Vie Kristique illustré dans sa forme originelle parfaite au centre du Carré Kristique. En mélangeant dans un premier temps, des lettres latines aux lettres rovasique comme sur cette tablette de Conimbriga, puis dans un deuxième temps, en effaçant les rovás originaux, et enfin en les déplaçant de case, les deux formes triangulaires prises par les lettres [r] périphériques au carré placé sur sa pointe, au , ne transparaissent tout simplement pas ! Voyez comment cet Arbre se positionne exactement en angle à 45° dans le système de la Création de la Source. 


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MessageSujet: JE SUIS celui qui guérit - R+C ou éRC/AIRAIN   CLÉS DONNANT ACCÈS AU MYSTÈRE CHRISTIQUE - Page 3 Icon_minitimeMer 23 Oct 2013, 21:55

Je reviens un moment à la fonction christique de l’écrit Rotas-Terv. Ce n’est pas tant le [K-◊] qui confirme son essence Kristique que la valeur sémantique du mot Krisztus ou Christ équivalant à quarante qui se résume à quatre, le point central du carré. Cette valeur, qui correspond au 40e rovás, au [V], apparaît lorsque l’on réduit tous les nombres entiers au sein du mot Krisztus (K=18=9 ; R=29=2 ; I= 14=5 ; ...) aux nombres unitaires. Ces enseignements christiques sont ancestraux, Krist suivit de US signifiant l’Us/Ős ou l’Ancêtre, terme que l’on retrouve encore dans l’expression ‘les us et coutumes’ et qui se calligraphiait [VS] durant la période de la proto-écriture.

Afin de bien cerner toutes les facettes des connaissances transmises via ce carré, je propose de poursuivre son étude, en se limitant en premier lieu, aux neuf cases en son milieu, celles qui dévoilent en leurs intérieurs la présence de l’Arbre de Vie. Plongeons donc en lui.

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C’est lorsque nous faisons abstraction de l’enveloppe linéaire extérieure de l’arbre que transparaît la structure principale de ce noble végétal. Ses trois principaux axes internes dessinent le 12e rovás [GY] - qui se prononce comme [djinn] et non pas [girafe] - comparable à une croix à double traverse. La présence de ce graphe structurel prend tout son sens grâce au seul mot de valeur égale à quatre et composé d’un double [gy] à savoir « GYóGY ». Ce mot référant la santé et signifiant médicinal est celui qui peut être ajouté au [K-◊] pour former « KiGYóGYiT » ou guérir ; se rétablir dans le sens de sortir d’une maladie sachant que « Ki » se traduit par [en] dehors ; hors de. Nous pouvons également lire dans ce verbe l’interrogation « Ki Gyógyit ? » (Qui est-ce qui guérit ? Puisque [ki] signifie aussi [celui qui]). Mais si nos buts ne sont pas la transparence et le transmission du pouvoir de guérison à chacun d’entre nous, nous serons amenés par le menteur à y voir soit « [le] Ki gyógyit » (le Chi/Qi guérit) bien que ce mot ne soit, en hongrois, qu’une locution adverbiale ou encore pire, « [a] kigyó gyógyit » ([le] serpent guérit) parce qu’effectivement, « kigyó » signifie bien serpent. 

L’unique raison pour laquelle l’humanité a été amenée à associer, le serpent, pourtant aux desseins destructeurs, au monde de la santé alors qu’il en était tout le contraire est le fait de ne pas avoir tenu compte du [V] comme LA lettre à placer en toute première place. Les [V], [GY], [K] auxquels on ajoute, dans l’ordre alphabétique, les deux seules voyelles [a] et [o] du carré donnent la phrase « VaGYoK » dont le français est « JE SUIS ». Au complet, nous lisons « VAGYOK ki gyógyit » ou « JE SUIS celui qui guérit » ! Et au début de la bible en Ex.3. 13-15, Moïse ne demande-t-il pas à Dieu ? : « S’ils me disent :  Quel est son nom ? [en parlant de Dieu] – que leur dirais-je ? » Dieu dit à Moïse : « JE SUIS QUI JE SERAI. » Il dit : « Tu parleras ainsi aux fils d’Israël : JE SUIS m’a envoyé vers vous. » Dieu dit encore à Moïse : « Tu parleras ainsi aux fils d’Israël : Le SEIGNEUR [Az ÚR en hongrois], Dieu de vos pères, Dieu d’Abraham, Dieu d’Isaac, Dieu de Jacob, m’a envoyé vers vous. C’est là mon nom à jamais, c’est ainsi qu’on m’invoquera d’âge en âge. » Bien entendu, la quadruple répétition du mot [Dieu] n’est pas anodine. En effet, « VAGYOK », à la condition sine qua none d’avoir connaissance des diacritiques, peut également se lire « [V], a GYöK » dont la traduction donne « [V], est la Racine » de l’Arbre de Vie Originel. Et comme le radical [GYö] du mot gyök se prononce précisément ‘dieu’, la phrase biblique mentionnant quatre fois ce nom divin n’utilise en réalité un pléonasme que pour insister sur la parfaite synonymie du nom Dieu et de mot Racine : le Dieu-Racine devient ainsi l’équivalent du Dieu-Source JE SUIS.

Comme nous avons vu l’importance cruciale de débuter la phrase par le [V], qui joint aux [a]-[GY]-[o]-[K] possède une TRIPLE signification intrinsèque, nous pouvons affirmer et ceci, sans la moindre extrapolation, que Thôt-Hermes Trismégiste, le prétendu créateur de l’écriture, s’est bien coupé de la Source-Dieu [V] puisque c’est le pouvoir du serpent [K+GY, kigyó] qui est associé à ce Menteur ainsi nommé par l’ange dans le livre, dialogues avec l’ange, p. 296.

Citation :
Le temps du Menteur est fini.
Ce qu’il attendait
- la puissance, qui était donné -,
se perdra.
Lui, voulait pour lui-même,
et il a tout caché
avec le mensonge.
Mais ce qui était secret
est proclamé au grand jour,
et la puissance lui est reprise.
Le mensonge est mort.
Ses jours sont comptés.
C’est LUI qui a dit :

ASSEZ !

Le mensonge de Thôt- Hermes Trismégiste est d’autan plus criant que dans le livre de Nombres, en Nb.2. 7-9, nous apprenons que : « Le peuple vint trouver Moïse en disant : « Nous avons péché en critiquant le SEIGNEUR et en te critiquant ; intercède auprès du SEIGNEUR pour qu’il éloigne de nous les serpents ! » Moïse intercéda pour le peuple, et le SEIGNEUR lui dit : «  Fais faire un serpent brûlant et fixe-le à une hampe : quiconque aura été mordu et le regardera aura la vie sauve. » Moïse fit un serpent d’airain et le fixa à une hampe et lorsque le serpent mordait un homme, celui-ci regardait le serpent d’airain et il avait la vie sauve. » Dans le contexte actuel, les preuves flagrantes que la montée de ce feu du serpent provoque bien des dégâts, sont les nombreux témoignages - présents aussi dans cette partie du forum - des personnes ayant été mordues par ce serpent mortel. Au sujet du fameux serpent d’airain, dont la forme concrète fut cachée sous l’image de ce reptile justement, il est bon de savoir qu’il ne représente rien que moins que la structure interne de l’Arbre de Vie Originel. Le graphe [GY] est comparable au rovás [R] écrit couché, et transpercé par le rovás [C] fléché dont l’idéogramme indique le but à atteindre. L’union du [R] et du [C] articulé ‘tz’, fait apparaître le mot « éRC », prononcé ‘értz’ se traduisant, en français, par AIRAIN ; métal ; cuivre rouge ; bronze. Ce sont ces deux lettres, sous la formule de R+C qui furent reprises par l’ordre des Roses-Croix.

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MessageSujet: Courants primordiaux áR provenant de la Source Primordiale   CLÉS DONNANT ACCÈS AU MYSTÈRE CHRISTIQUE - Page 3 Icon_minitimeMer 23 Oct 2013, 22:11

Le dangereux feu du serpent n’est pas identique à la sève qui alimente notre Arbre de Vie corporel. Ce chi/qi-là n’a pas une origine semblable à la sève qui circule dans les réseaux, les filets « ReCe », anagramme de Érc. Seules les courants primordiaux áR en provenance de la Source Primordiale [V - ressemblant à des vagues ‘M’] sont des énergies de qualité pure. Ceux-ci pénètrent en nous tant par la racine, le pied de l’Arbre que par son sommet et son cœur. C’est ainsi, par ces trois points essentiels, que l’Arbre de Vie est rattaché à l’Univers, à l’UN comme à la planète Terre. Cet arbre contrairement à l’arbre de la kabbale baigne réellement dans la Source-Dieu infinie. Le révélation de l’existence de cet Arbre Kristique au centre du carré Rotas-Terv mettra fin, tôt ou tard, aux nombreux débats des partisans trompés par les écoles éso-occultes promouvant, parfois á leur insu, l’arbre kabbalistique dévoyé.

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Statues aux jambes en ‘M’ symbolisant la Source Primordiale 'V'

Nous pouvons momentanément conclure que toutes les antiques écoles hermétiques appliquant les théories du dieu Thôt égyptien à tête d’ibis ne pouvaient posséder, par conséquent, par simple déduction logique, qu’une partie des authentiques enseignements christiques, qui eux, provenaient directement, « en ligne droite », de la Source Kristique, de Kriszt-US. C’est dire aussi que les sociétés secrètes descendant de l’Egypte thotienne, des néoplatoniciens, alchimistes, kabbalistes, templiers, illuministes, aux rosicruciens en passant par les franc-maçons et les théosophes, sans nommer tous les ordres, ont été quasi dans leur totalité, fourvoyées par des enseignements tronqués et pervertis.

Avant de terminer cette partie, je signale encore que les Neuf Preux Chevaliers qui seraient constitués de trois cavaliers païens, de trois Juifs et trois Chrétiens considérés comme les ancêtres des templiers auraient portés, sur leur poitrine non pas la croix pâtée-ancrée rouge des templiers mais bien la croix à double traverse semblable à la croix soi-disant de Lorraine. En réalité, l’étendard de la Maison de Lorraine provient de la Famille d’Anjou, famille française qui donna, au Moyen-Âge, le plus grand nombre de rois et reines de Hongrie, pays dont les armoiries ont toujours contenu la croix en forme du 12e rovás [GY] au cœur du mot maGYar en prime. Cette branche hongroise d’Anjou qui débuta sous le règne de Charles Martel (1271-1295) et de Clémence de Habsbourg de la famille autrichienne du même nom, s’éteignit en 1399. Par ce mariage débuta l'ensevelissement de l’histoire des Magyars par les Habsbourg.   


Citation :
La croix de Lorraine (appelée auparavant croix d'Anjou) est une croix à double traverse. En héraldique, on l'appelle croix archiépiscopale ou croix patriarcale ; elle figure dans les blasons des archevêques, et dans l'iconographie ancienne, pour signaler cette fonction.

Cette croix figurait dans la symbolique des ducs d'Anjou devenus ducs de Lorraine à partir de 1431 (René d'Anjou 1409 † 1480).

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Citation :
Daniel Réju c’est intéressé très tôt à l’histoire de l’Ordre du Temple, à ses origines et ses premières raisons d’être. Si la réputation de cet auteur n’est plus à faire, certains de ses travaux, devenus très vite ‘travaux certains’ furent soigneusement éclipsés des milieux concernés… Et jamais repris par quelques autres auteurs ténors en la matière.

Ceux qui connaissent ses écrits et ses recherches savent leur valeur indiscutable et leur force documentaire. Daniel savait explorer des cheminements oubliés de tous en ce qui concerne l’Ordre du Temple et ce qui lui permit de fonder sa puissance… Il fut sans doute le seul à supposer, puis affirmer et enfin prouver que la fameuse ‘croix pattée’ qui devint inséparable de l’imagerie populaire templière ne fut qu’une seconde ‘vitrine’ dissimulant une réalité ‘crucifère’ nettement plus hermétique, si faire se pouvait. C’est avec surprise que fut d’abord reçue l’information que l’insigne religieux primitif des chevaliers au blanc manteau n’était autre que… la Croix de Lorraine, symbole qui sera ensuite, des siècles plus tard celui de la résistance et de la liberté de notre pays de France 

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MessageSujet: Re: CLÉS DONNANT ACCÈS AU MYSTÈRE CHRISTIQUE   CLÉS DONNANT ACCÈS AU MYSTÈRE CHRISTIQUE - Page 3 Icon_minitimeMar 05 Nov 2013, 21:24

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MessageSujet: La Fleur de Vie et l'Aorte   CLÉS DONNANT ACCÈS AU MYSTÈRE CHRISTIQUE - Page 3 Icon_minitimeMar 05 Nov 2013, 21:37

Or donc si le petit carré imbriqué dans le grand recèle l’Arbre de Vie au centre duquel surgit « eGY » [‘edj’ en hongrois] qui veut dire UN, seul l’UN peut donner naissance au bourgeon, [R+GY] RüGy, de la fleur. Quoi de plus naturel en somme que ce soit de cette Source [V] que « Virág » ou la Fleur de Vie fasse émerger ses propres racines sachant que [V] est la Racine [a GyöK] commune. Dès lors, tout végétal coupé de la source à l’origine de la vie se trouve dans l’incapacité de produire les ramifications porteuses de cette Fleur de Vie. Cet état de fait est confirmé par la signification intrinsèque du mot fleur où [V]+[ír]+[ág] révèlent en substance que la Source-Dieu « écrit/ír », dans le sens de dessine, crée les « branches/ág » de l’Arbre de Vie garantissant l’éclosion des pétales de la Fleur de Vie dont le nard ou ÍR produit un baume vulnéraire et un parfum capiteux sous la forme d’une huile de couleur ambrée.

Citation :
On sait que l'utilisation du nard est très ancienne, d'une part car elle fait partie intégrante de la tradition ayurvédique indienne, et d'autre part parce qu'elle était considérée dans l'Égypte ancienne, au Moyen-Orient et dans la Rome antique comme un parfum de luxe. Dans son Histoire naturelle, Pline dénombre douze espèces de nard. De nombreux textes anciens considèrent le nard comme un produit de grande valeur, monétaire comme spirituelle. Il était utilisé dans de nombreux rites religieux, en partie pour ses effets sédatifs et narcotiques.

On en trouve quelques occurrences dans la Bible : dans le Cantique des cantiques (1:12 et 4:13), Marc 14 et Jean 12. Dans l'Évangile selon Marc, une femme brise « un flacon d'albâtre contenant un nard pur de grand prix » et le verse sur la tête de Jésus (Marc, XIV:3), et dans celui de Jean, « prenant une livre d'un parfum de nard pur, de grand prix, Marie-Madeleine oignit les pieds de Jésus et les essuya avec ses cheveux ; et la maison s'emplit de la senteur du parfum » (Jean, XII:3).

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Alors pour que les branches de notre arbre corporel puissent se développer, l’irrigation de l’Arbre de Vie est assurée par l’aorte dont l’existence est signalée par les trois rovás [V], [R] et [R] ou Verőér signant l’artère [éR] principale de notre organisme c’est-à-dire celle qui bat [Verő]. Cette artère, qui part de notre cœur et à l’origine des toutes les autres, est non seulement la voie de passage de l’ensemble du sang [VéR] oxygéné du corps mais aussi la voie de passage des énergies circulant dans l’univers ou l’UN[ivers] et ce, en raison des aortas qui se situent aux quatre points cardinaux du grand carré. Etant donné que les cinq lettres de aorta, synonyme de verőér, dessinent la calligraphie du rovás [a] ; et que le [a] auquel on rajoute le [r] ou áR signalant que les courants qui balaient l’univers sont identiques à ceux circulant dans notre corps, et si l’on adjoint à ceci, ce qui a été exposé jusqu’ici, présupposer, à ce niveau de l’étude, que le carré de Conimbriga porte gravé sur lui les Connaissances de la Création de l’Univers et de la Vie, tout court, n’a rien d’illusoire comme nous le verrons plus loin.

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EDIT :  La Fleur de Vie est à l’origine du nard ou ÍR produisant un baume vulnéraire et un parfum capiteux sous la forme d’une huile de couleur ambrée.

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MessageSujet: Grand Architecte de l'Univers construit en base-12 SÁTOR=120   CLÉS DONNANT ACCÈS AU MYSTÈRE CHRISTIQUE - Page 3 Icon_minitimeMar 05 Nov 2013, 21:55

Bien qu’il ait déjà été indiqué que l’enveloppe de l’Arbre de Vie Kristique donne douze, en multipliant les six [r] par leur valeur numérique comme ceci, 6x29 = 174 = 12, il n’a pas encore été relevé que le cœur de l’Arbre vaut également douze lorsque l’on ajoute au [K-◊] le nombre correspondant au [v] : (4x29)+40 = 12. D’ailleurs, la valeur de douze tant interne qu’externe de cet arbre Kristique est renforcée par le 12e rovás [GY]. En poussant l’observant plus en amont, nous comprenons que la base-12 renferme une information encore plus cruciale. Et c’est le cas de le dire, puisque ce douze revient dans l’ensemble du carré à commencer par « Sátor » se traduisant par la tente. En effet, la numération de ce mot révèle une somme égalant cent-vingt tout rond, nombre qui ce simplifie en douze et trois ; 31+2+33+25+29 = 120 [= 12 = 3] ; et quoi de plus normal, qu’à la tente triangulaire de Dieu, identifiée à la tente des Justes, soit associé le nombre ternaire de cent-vingt.

Si donc à la périphérie du carré, sont disposés les douzaines, à l’intérieur du carré, à l’opposé de l’Arbre de Vie aux douze centres positionné à 45˚, nous découvrons que la somme de l’autre oblique donne cent-vingt en raison de la présence des trois [v] : 3x40 = 120. Ajouter à cela, le « Grand Architecte de l’Univers » émet des vibrations en base-12 puisque sa dénomination hongroise Építész [Épít-ész ↔ szépít], qui définit celui qui construit [Épít] avec son esprit, son intelligence, sa raison [Ész] pour embellir [Szépit], verbe formé depuis l’anagramme du mot építész, revient bien à douze. De plus, l’Architecte, pour distiller sa Parole ou Szó, mot hongrois ayant une numération égalant douze, a créé un alphabet dont la somme totale des lettres [A=1; Á=2; B=3, ...] vaut 903 ou 9+3 = 12 !

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MessageSujet: Écriture vieille europe - nombre six; 9+6=15= 6; 9+7=16= 7    CLÉS DONNANT ACCÈS AU MYSTÈRE CHRISTIQUE - Page 3 Icon_minitimeMar 05 Nov 2013, 23:10

Ainsi si le nom d'architecte corrobore les créations universelles en base-12, le titre de « Grand Horloger » ne prend tout son sens que lorsque l’on réalise être en présence, au travers de ce carré, du modèle de l’Horloge Cosmique et qui plus est, solaire. Pour s’en persuader, il suffit de savoir que les mots « soleil » , « lumière », « étoile » autant que ceux de « graine », « fleur », « cœur », « sang » sont tous égaux à six. La graine [Mag : 21+1+11 = 33 = 6] a besoin de la lumière directe [Fény : 10+9+23 = 42 = 6] du soleil [Nap : 22+1+28 = 51 = 6] pour s’épanouir, tout comme notre cœur [Szív : 32+15+40 = 87 = 15 = 6] est nourri par le Soleil central de l’Univers non assimilable à la planète du même nom, celle visible dans notre ciel. Quant au visible, et à l’invisible, ils ne se perçoivent qu’avec le véritable Œil ou Szem que le signifié numérique soixante [32+7+21 = 60 = 6] rend assimilable au 3e œil ou 6e chacra. A ce niveau de compréhension, la signification quadruple de ce mot, chiffre lié à la Source-Dieu, apparaît même être normale ; szemœil ; szem, grain ; szem, bourgeon, bouton ; szem, point, maille.

Au total, si cette tablette renferme cinq fois le nombre rond de cent-vingt ; 5x120 = 600 = 6, la somme totale des chiffres la composant donne également six. De plus, ce carré est constitué de six lettres, quatre consonnes et deux voyelles, une miniaturisation des 42 [6] rovás d’essence divine dont la décomposition en 27[9] consonnes et 15[6] voyelles est à l’origine de l’addition 9+6 = 15 = 6. Quinze et six correspondent premièrement, aux valeurs numériques de [V] est la Racine [96/15/6], deuxièmement, à celle de Virág [96/15/6], la Fleur de Vie et troisièmement au mot eau ou Víz [96/15/6]. Quant au calcul arithmétique 9+7 = 16 = 7, il représente le signifié numérique du verbe guérir ou gyógyít, MAIS sans le préfixe [ki] ne permettant ainsi aucune confusion possible avec le serpent ou kígyó et les reptiles dans leur ensemble. D’ailleurs, ce n’est pas le fruit du hasard si le secret ‘sod’ en kabbale vaut soixante-dix, l'addition des consonnes consécutives à l’authentique nom du Seigneur ; [V], [GY], [K] et dont les kabbalistes font exclusivement usage, donnant précisément soixante-dix ; 40 + 12 + 18 = 70 [7] !

En gematrie cependant, le 9+6 = 15 prétend être écrit à la place du nom de YHWH frappé d’un interdit de prononciation dans le judaïsme et pour cause, si le véritable nom du Créateur est JE SUIS et non pas, ce nom imprononçable. Tout comme l’autre soi-disant nom ineffable de Dieu subdivisé en 9+6 = 16. Comme la numération hébraïque est en réalité de type décimal où YHWH s’écrirait, yod [10] et [5] pour 10+5=15, et yod [10] et waw [6] pour 10+6=16, nous pouvons en déduire que les textes kabbalistiques étaient bien en possession du savoir originel mais furent déformés. Toute autre explication serait frelatée d’autan plus, que si on ajoute aux 22 lettres hébraïques, les 6 consonnes qui furent retirées* de cet alphabet et les 14 points-voyelles ou diacritiques de la massore, l’on obtient un alphabet de 42 lettres comparable à celui de l’alphabet des runes seklers. Ces points-voyelles, constitués de cinq sons longs, cinq brefs et quatre très-brefs se prononcent de la même manière que les voyelles des rovás [á, é, í, ó, ö, ő, ...].

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6 lettres furent supprimées de l’alphabet hébreu pour construire l’arbre kabbalistique tronqué.
Abordé ici : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

EDIT1 : L’Œil = le 3e oeil ou 6e chacra, le grain, le bourgeon, le point.
EDIT2 : Les textes kabbalistiques possédaient à l’origine la connaissance authentique.


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MessageSujet: Magyar = M+Gy+R ou l'HOMME   CLÉS DONNANT ACCÈS AU MYSTÈRE CHRISTIQUE - Page 3 Icon_minitimeMer 06 Nov 2013, 00:25

Afin que la suite de l'exposé soit claire, le nombre quarante désignant la Source et son nombre unitaire quatre demandent développement. Etrangement, c’est le mot « maGYar » avec [GY] en son centre, dont l’étymologie est d’ailleurs inconnue, qui dévoile ce mystère. En proto-hongrois, magyar se disait megyer. Bien que les dictionnaires ne définissent ce mot qu’en tant qu’ethnonymie ou nom de peuple, j’y lis personnellement « eM eGy ér », une phrase complète, portant en elle une information clé, et dont la traduction en français est « M vaut Gy ». La signification intrinsèque de cette phrase ne se révèle que lors de sa numération selon les runes seklers ou rovás :

eM   eGy   éR
21    12    vaut

La validité de l’affirmation « M/21 vaut Gy/12 » est appuyée par l’addition de 2+1 = 3 et 1+2 = 3. D’ailleurs, le point d’origine de l’expression hongroise, « Trois est la vérité magyar - Három a magyar igazság » est incontestablement et probablement inconsciemment, l’énoncé de la phrase eM eGy ér. Dit différemment, ces rovás [m] et [gy] sont identiques au troisième rovás de la liste alphabétique sekler et concrètement, à la consonne [b]. Comme il est démontré que, nous pouvons, sans risque de nous tromper, remplacer le [gy] par ce 3e rovás, c’est-à-dire par la lettre [b] et dès lors que nous appliquons ce changement, le mot « EmBer » signifiant l’Homme, l’Etre Humain apparaît en pleine lumière.

Il est aussi intéressant de noter que les nombres 21 et 12 additionnés donnent trente-trois ;  21+12 = 33, qui est la valeur sémantique du mot mag ou la graine à savoir le radical de magyar, la terminaison [ar] revenant quant à elle à trente donc trois. Rappelons que le [y] n’existant pas en tant que lettre séparée dans les rovás, aucun chiffre ne lui est assigné.

En résumé je dirais que le terme magyar/megyer, ne m’apparaissant pas référer une nation unique et étant donné que cet énoncé s’avère être en lien direct avec l’Etre Humain en général, il ne sait être attribué au seul peuple des Hongrois. Le nomadisme caractéristique des régions entourant la mer Noire survint à dessein pour essaimer les Humains. Il est clair qu’aujourd’hui, cette connaissance s’est totalement perdue car les gens ignorent que c’est le mot Ember/Homme converti en nombre unitaire qui donne le quatre ; [Ember : 7+21+3+7+29 = 67 = 13 = 4]. Le retour à la Source-Dieu [V] de valeur quarante ne peut avoir lieu que si l’homme transcende son état ternaire d’homme créé afin de produire l’état quaternaire d’Ember ou d’Homme Créateur. L’enclenchement de ce processus rend possible l’arrivée au septième jour de la Création qui est dit être le jour du repos bien mérité, celui de la liberté, du sabbat, mot hébreu dénaturé par les Massorètes ne comprenant pas que « SZABAD » signifie[ait] simplement Libre, mot possédant un signifié numérique de sept.

Dans la phrase biblique « az eMBeR az áBRáM » qui se traduit par « l’Homme est mon image », né de la Source et non pas modelé à partir de terre glaise ou de poussière si rappel fut nécessaire, il est directement fait référence aux premiers noms propres du patriarche Ábrám et de son épouse Sarai. Tous deux, AVANT leur pacte sanguin avec l’entité Jehovah donc YHWH qui les renomma par la suite et pour cause puisqu’il restreint leur potentiel, furent créé sur une base-12 ; Ábrám = 57 = 12 [= 3] ; Sarai = 75 = 12 [= 3]. Remarquons qu'à l'intérieur de ces noms propres, les polarités masculine et féminine [57 et 75] sont le miroir l’une de l’autre. Le lien entre masculin et féminin, qui constitue un des secrets ‘sod’ supplémentaires liés à la Kabbale, reçoit entière explication, comme nous le verrons plus loin, et ce toujours, grâce au carré de Conimbriga.


En complément d’information sur la véritable langue de la Bible

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MessageSujet: Écriture vieille Europe - les « Sept [tribus] Magyars »    CLÉS DONNANT ACCÈS AU MYSTÈRE CHRISTIQUE - Page 3 Icon_minitimeLun 11 Nov 2013, 02:42

Alors la phrase megyer ou « M vaut Gy » ne se limite pas à confirmer la similitude entre l’Etre Humain et le Créateur puisqu’elle affirme aussi en substance que « M/21 vaut eGy/12 » qui peut se lire « douze égale à UN » car egy est le chiffre un. Pourtant, si l’on additionne l’ensemble des lettres dessinant l’arborescence de l’Etre Humain, nous obtenons sept et non pas le premier chiffre unitaire, les six [r] plus le [v], sept lettres au total, donnant (6x29)+40 = 214 = 7. Qu’est-ce à dire si l’on sait déjà que dans la Kabbale, le nombre deux-cent-quatorze est synonyme de Ruah, Ruach ou Souffle de Vie, Esprit de Dieu par théomorphisme et que les rovás indiquent que l’enveloppe et le centre de notre arbre corporel valent douze par trois ?

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Etant donné, comme nous l’avons vu plus haut, que ce chiffre sept est à la clé de notre libération, il ne peut être lié qu’à la Vie Eternelle Une et unique. Et de fait car il nous est démontré que le signifié numérique de « hét » ou sept est exactement UN tandis que les mots vie, « Lét » tout comme SourceForrás et Arbre de vie, Életfa égalent tous sept. Ecrit de manière arithmétique, nous aurions la formule 1 = 7 = la Vie = la Source = l’Arbre de Vie = 12 [= 3], une formule qui remettrait à l’ordre du jour les « Sept [tribus] Magyars » fondateurs de la nation humaine qui sont en réalité une façon différente de représenter les peuples authentiques des Douze Tribus Humaines !

Contrairement aux apparences, nous retrouvons tous ces chiffres, sans distinction aucune, mentionnés sous forme de parabole, dans le Nouveau Testament, en Jean 14-6, où Jésus déclare, répondant à l’incrédule Thomas « Je suis le chemin, la vérité, et la vie. Nul ne vient au Père que par moi. » Je suis, de valeur 95/5 et chemin [út], de 70/7 donnent réunis 12 par 7+5 ; la vérité [igazság] vaut 3 ; alors que la vie [a lét] revient à 7. Et la somme du cinq auquel on rajoute sept, trois, sept se réduit à quatre. Jésus adjoint à ses mots « Nul ne vient au Père que par moi » d’une part, parce qu’il est, lui-même, un véritable Être Kristique Polarisé à Vie Eternelle [Jézus : 16+9+41+36+31 = 133 = 7] et d’autre part, parce que le Père ou Atya [1+34+1= 36 = 9] est similaire à la croix droite carrée constituée des mots TERV ou Plan dont la numération fait apparaître le chiffre neuf. Ce Chiffre « a la curieuse propriété de toujours se reproduire lui-même lorsqu'on le multiplie par tout autre nombre, il symbolise la matière ne pouvant être détruite. Neuf est le nombre de celui qui accomplit la volonté divine ». 

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A ce stade, retenons en premier lieu que, les chiffres quatre et neuf, liés tous deux à la croix carrée, correspondent respectivement aux énergies magnétiques de la femme quatre [ : 22+27= 49 = 13 = 4] et aux vibrations électriques de l’homme neuf [Férfi : 10+9+29+10+14 = 72 = 9], qui dans la langue des oiseaux, sonne comme l’homme nouveau. En second lieu que, les quatre mots pouvant être formés à partir du rovás [v] sont éV, an, année ; íV, arc, arche, arcade, courbe ; óV, préserver, protéger contre, mettre en gardeöV, zone, ceinture ; öV, zone, ceinture.
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Citation :
Jésus est au centre de la relation de foi entre Dieu et nous. Nous devons suivre les traces de Thomas pour accepter Jésus en tant que Dieu. Thomas, l'incrédule a fait ce saut de la foi :

24 "Thomas, appelé Didyme, l'un des douze, n'était pas avec eux lorsque Jésus vint. 25 Les autres disciples lui dirent donc : Nous avons vu le Seigneur. Mais il leur dit : Si je ne vois dans ses mains la marque des clous, et si je ne mets mon doigt dans la marque des clous, et si je ne mets ma main dans son côté, je ne croirai point. 26 Huit jours après, les disciples de Jésus étaient de nouveau dans la maison, et Thomas se trouvait avec eux. Jésus vint, les portes étant fermées, se présenta au milieu d'eux, et dit : La paix soit avec vous ! 27 Puis il dit à Thomas : Avance ici ton doigt, et regarde mes mains ; avance aussi ta main, et mets-la dans mon côté ; et ne sois pas incrédule, mais crois. 28 Thomas lui répondit : Mon Seigneur et mon Dieu ! Jésus lui dit : 29 Parce que tu m'as vu, tu as cru. Heureux ceux qui n'ont pas vu, et qui ont cru !" (Jean 20.24-29)

(…) Dieu renverse les situations, c'est son projet pour l'humanité toute entière, un projet de délivrance et de salut. Ce projet, Dieu le met en place par l'œuvre accomplie par Jésus, le Messie (le Christ) :

16 "Il se rendit à Nazareth, où il avait été élevé, et, selon sa coutume, il entra dans la synagogue le jour du sabbat. Il se leva pour faire la lecture, 17 et on lui remit le livre du prophète Esaïe. L'ayant déroulé, il trouva l'endroit où il était écrit : 18 L'Esprit du Seigneur est sur moi, parce qu'il m'a oint pour annoncer une bonne nouvelle aux pauvres ; Il m'a envoyé pour guérir ceux qui ont le cœur brisé 19 pour proclamer aux captifs la délivrance, et aux aveugles le recouvrement de la vue, pour renvoyer libres les opprimés, pour publier une année de grâce du Seigneur. 20 Ensuite, il roula le livre, le remit au serviteur, et s'assit. Tous ceux qui se trouvaient dans la synagogue avaient les regards fixés sur lui. 21 Alors il commença à leur dire : Aujourd'hui cette parole de l'Ecriture, que vous venez d'entendre, est accomplie." (Luc 4.16-21)

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MessageSujet: Écriture vieille Europe - Vegy, élément chimique complexe    CLÉS DONNANT ACCÈS AU MYSTÈRE CHRISTIQUE - Page 3 Icon_minitimeJeu 21 Nov 2013, 18:57

Les consonnes [v] et [gy] assemblées créent le mot Vegy c’est-à-dire le terme traduisant aussi bien la chimie dans son ensemble qu’un élément chimique complexe en particulier. Les réactions chimiques sont assurées au travers des artères [ér] qui se lient [ pour le rovás ‘c’] entre elles pour construire la structure de l’arbre de vie donnant naissance aux minerais et plus précisément aux métaux bruts vierges ou Érc, le nom naturel des minéraux métalliques. L’eau [V pour víz] ainsi que le feu [T pour tűz], dont la présence est signalée dans le carré, engendrent par dépôts hydrothermiques autour des sources d'eaux thermales et en milieu volcanique, les éléments tels le soufre [K pour kén], l’or, l’argent, l’étain qui selon Paracelse « se rapprochant plus de l’or et de l’argent que du cuivre et du fer, contient surtout ces deux premiers métaux, et il est plus grand, plus fort, plus brillant, plus aimable, plus recherché, plus respecté, plus vrai que les deux autres. » 

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L’hermétisme des lettres R+C comme l’appellation biblique toute aussi obscure de l’airain s’expliquent par le désir de mettre en évidence le mercure d’Hermes au détriment du [c] référant cin, l’étain qui nous le savons aujourd’hui contient plus d’or que d’argent. Les mots fém [40], métal et cin [40], étain, tous deux exactement de valeur quarante telle la Source [V-40], donnent naissance au cinómber ouvrant le chemin, connu en Chine dont la proto-écriture égale les rovás, sous le nom de « Voie du cinabre ». Le cinabre, dont le nom d’origine,  « cenobre* » en français, s’est perdu, est un minerai de mercure que l’on trouve le plus souvent à l’état naturel, soit pur, soit mélangé à d’autres minerais. Le cinabre ou sulfure de mercure rouge prenant la forme d’un cristal rhomboédrique est représenté entourant l’arbre de vie, au centre du carré de Conimbriga. Cette tablette met également en évidence la couleur rouge sang de ce cristal, les rovás [V+R+S] additionnés des voyelles [e-é] et  [ö] donnant effectivement les mots véres, taché de sang, sanglant et vörös ou rouge.

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Citation :
*CINABRE n. m., une première fois sous la forme cenobre (XIIIe s.), puis sinabre (1394) et cinabre (1552), est emprunté au latin cinnabaris. Lui-même est emprunté au grec kinnabari « substance d'où est tiré le vermillon » soit minéral (bisulfure de mercure), soit végétal (garance), mot d'origine orientale, probablement persane. La graphie cinnabre (1606) ne s'est pas imposée.

❏  Le mot ne désigne en français que le bisulfure de mercure utilisé pour la fabrication du vermillon et, par métonymie, le rouge vermillon (1552) dans quelques emplois littéraires ou techniques.    

❏  CINABRIN, INE adj. (1553), « de la couleur du cinabre », a été employé par les poètes de la Pléiade comme épithète poétique pour les lèvres, le teint.  ◆  Il a été repris sous la forme CINABARIN, INE (1838), par réminiscence du grec kinnabarinos, mais est demeuré littéraire et rare. 

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Dernière édition par douceur le Lun 25 Nov 2013, 17:59, édité 1 fois
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MessageSujet: Écriture vieille Europe - Le chaudron d'argent   CLÉS DONNANT ACCÈS AU MYSTÈRE CHRISTIQUE - Page 3 Icon_minitimeJeu 21 Nov 2013, 19:33

Il n’y a rien d’étonnant au fait que le cinabre soit associé au sang [vér] car je cite « Le cinabre fait circuler l'énergie et stimule la fluidité de la pensée. Le Cinabre est associé à la circulation, à la dynamisation des flux. En effet, il soigne et purifie le sang et vitalise le système circulatoire. Le cinabre donne de la fluidité au mental et à la parole. » En réalité, ce cristal rhomboédrique ne constitue rien d’autre que cette fameuse pierre philosophale des alchimistes à la source de la vie éternelle. Il nettoie donc les cellules du sang des morsures du serpent caché insidieusement sous la figure d’un dieu guérisseur, Hermes porteur d’un caducée dit symboliser l’équilibre entre le soufre et le mercure. Seulement, s’il n’est nulle part précisé, que le chaudron, dans lequel les réactions chimiques appropriées fabriquent le sulfure de mercure rouge, doit être d’argent à l’image des eaux ferrugineuses de Spa, en Belgique qui ne produisent leurs effets qu’à la condition d’être versées dans une baignoire en cuivre, aucun bienfait salvateur ne se fera sentir au niveau de la santé. Ce carré magique révèle donc la présence du chaudron magique au travers du mot Argent, Ezüst signifiant « ez üst » ou « c’est le chaudron ». Ce chaudron se situe à l’endroit exacte où l’aorte [V+R+R], totalisant une valeur solaire de cent-cinquante [150/6], le nombre de l’argent [150/6], assure la fixation des minerais [érc : 42/6] sur l’arbre de vie. Les demies vérités inscrites dans la table d’émeraude, telle celle spécifiant « Parfait est ce que j’ai dit de l’œuvre du soleil » dont une version différente est « Ce que j'ai dit de l'opération du soleil est accompli, & parachevé » ne reprennent tous leur sens que replacées dans leur contexte initial.

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V+egy assoie, sans conteste possible, la quintessence des éléments chimiques lors de sa numération. En effet, Vegy de valeur 95/5 correspond en tout point au mot cinq ou ÖT valant 95/5 qui est aussi le nombre sacré de Vagyok, Je suis.. Afin de pouvoir retracer l’exact processus de la Création, autrement dit, celui de l’Origine de la Vie toujours incertaine à ce jour et par conséquent, sujets à moult débats extrapolés, les éléments chimiques manquant au tableau périodique de Mendeleïev doivent dévoiler leur secret, être compris et assimilés. Aujourd’hui, ces éléments absents, les 113/Uut, 115/Uup et 117/Uus s’ils sont reconnus exister, ne savent pourtant pas encore être pris en considération dans ce processus auquel ils sont cependant étroitement liés, ainsi la totale lumière sur l’apparition de la vie ne peut être faite sans que cela ne soit dénigré ou décrié par les scientifiques. Alors laissons-leur le temps nécessaire pour faire ces découvertes qui ne sauraient tarder puisque les confirmations arrivent.

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Citation :
L'ununtrium est le nom provisoire d'un élément chimique, non encore validé par l'UICPA, qui possède le symbole provisoire Uut et le numéro atomique 113. Ce fut l'un des éléments prédits par Mendeleïev, qui lui donna le nom d’éka-thallium.

Historique

Le 1er février 2004, l'ununtrium et l'ununpentium ont été obtenus par une équipe de scientifiques russes (de l'Institut unifié de recherches nucléaires, JINR) et américains (du Laboratoire national de Lawrence Livermore, LLNL). Cette découverte n'a pas encore été confirmée.
Ils ont d'abord produit de l'ununpentium avec de l'américium et du calcium, puis l'ununpentium s'est rapidement — après environ 90 millisecondes — désintégré en ununtrium. Les noyaux d'ununtrium se sont alors eux-mêmes transmutés, après environ 1,2 seconde en noyaux plus légers.

Le 28 septembre 2004, une équipe de scientifiques japonais a déclaré avoir réussi la synthèse de l'élément.

Le nom ununtrium relève de la dénomination systématique de l'UICPA, il est composé des mots latins signifiant « un-un-trois » et du suffixe -ium générique pour les noms d'éléments chimiques. Des éléments tels que celui-ci (possédant un numéro supérieur à 92, celui de l'uranium) sont produits artificiellement et sont souvent nommés d'après un scientifique.
En septembre 2012, une équipe japonaise du RIKEN (Wakō, préfecture de Saitama, près de Tokyo) annonce la création de trois atomes de l’élément 113 (278 Uut), dont le noyau contient 113 protons et 165 neutrons, obtenus après 553 jours de bombardement d'atomes de zinc sur une cible de bismuth. 

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Citation :
L'Ununpentium est le nom provisoire d'un élément chimique, non encore validé par l'UICPA, qui possède le symbole provisoire Uup et le numéro atomique 115.


Histoire

Le 1er février 2004, l'ununtrium et l’ununpentium ont été obtenus
par une équipe de scientifiques russes (de l'Institut unifié de recherches nucléaires, JINR) et américains (du Laboratoire national de Lawrence Livermore, LLNL). Cette découverte n'a pas encore été validée par l'UICPA.
Ils ont bombardé de l'américium avec du calcium pour produire quatre atomes d'ununpentium qui se sont changés en ununtrium après environ 90 millisecondes. Cette durée de vie, assez longue pour des éléments aussi massifs, renforce l'hypothèse de l'existence d'unîlot de stabilité pour des noyaux super-welters.

Le nom ununpentium relève de la dénomination systématique de l'UICPA, et est composé de racines gréco-latines signifiant « un-un-cinq » et du suffixe -ium générique pour les noms d'éléments chimiques. Des éléments tels que celui-ci (possédant un numéro supérieur à 92, celui de l'uranium) sont produits artificiellement et sont souvent nommés d'après le patronyme d'un scientifique (comme l'einsteinium ou lenobélium par exemple).

Le 27 août 2013, une équipe semble confirmer l'existence de cet élément 115

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Citation :
L'ununseptium est l'élément chimique de numéro atomique 117 et de symbole Uus ; ce nom relève de la dénomination systématique attribuée par l'UICPA aux éléments chimiques inobservés ou dont la caractérisation expérimentale n'est pas encore formellement validée.

L'élément 117 est le dernier élément à avoir été observé. Il l'a été en 2010 au Flerov Laboratory of Nuclear Reactions (FLNR) du JINR à Dubna en Russie en projetant des ions calcium 48 sur une cible de berkélium 249 pour produire les nucléides 293 117 et 294 117 

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MessageSujet: Écriture vieille Europe-Spirale de Vie vs spirale Fibonacci   CLÉS DONNANT ACCÈS AU MYSTÈRE CHRISTIQUE - Page 3 Icon_minitimeLun 25 Nov 2013, 19:05

La forme intrinsèque de la relique de Conimbriga, cinq lignes à cinq cases, vingt-cinq cases au total, valorise le nombre 25 [7]. Dès lors que nous découvrons que « AD » ou [il] donne est un mot de valeur sept, l’objectif pédagogique de cette tablette ne sait être remis en question. Et puisqu’enseignement concret il y a, déduire que ces vingt-cinq cases décrivent détails à l’appui, le processus évolutif exact, n’est en rien illusoire. Et de fait, puisque le nombre 25 correspond à la numération exacte du mot « Anya », la Mère primordiale Source de Vie. Et n’est-ce pas la Mère [25/7] qui donne vie au Fils [Fiú : 25/7] et la Femme [4] à l’Homme [Ember : 13/4] ?

Le point de départ de l’explication de l’évolution de la vie nous est fourni par le glyphe du 25e rovás, à savoir la voyelle [ó] véhiculant l’idéogramme d’une spirale.
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Cette spirale [ó], qui ressemble à un [G] latin majuscule la tête en bas, se traduit « csiga vonal » en hongrois, textuellement ligne d’escargot, expression valant respectivement pour les mots ligne, 106/7 [vonal] et pour escargot, 31/4 [csiga ; « sika » en sumérien]. La valeur quaternaire de l’escargot se retrouve également dans son synonyme, le tourbillon [csavar : 76/13/4] tout comme dans le mot homme [Ember : 67/13/4], ce dernier suivant une évolution en spirale identique à celle de l’univers. La ligne existentielle spiralée, et par conséquent, non pas fermée tel l’ourobos enroulé à l’image du serpent qui se mord la queue, se déploie dans un rapport doublé, rapport confirmé par la valeur sémantique de « csiga vonal » ou 4+7 = 11 = 2. En effet, le déploiement de la Spirale de Vie Kristique suit une formule arithmétique où les termes, succédant au terme [1+1= 2], tiennent compte, en raison de la nature magnétique de la Source, de l’ensemble des chiffres constituant les termes qui le précédent. Cela donne le schéma suivant 1+1= 2 ; 1+1+2=4 ; 1+1+2+4=8 ; 1+1+2+4+8=16 ; 1+1+2+4+8+16=32 ; ... Tous ces résultats sont divisibles par le nombre quatre de la Source [V]. Autrement dit, ces nombres émanent en ligne droite de la Source. 

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Si cette démonstration ne suffisait pas à prouver que seul un contact direct avec la Source est la garantie de la Vie Eternelle, la décomposition numérique linéaire de la ligne spiralée apporte d’autres éléments de preuves.

__________________________
1. A : 0,1 
2. Á : 0, 1 = 1..........................................................11=2 → Csiga [4], vonal [7], ligne spiralée : 4+7 = 11= 2
3. B : 0, 1, 1 = 2 
___________________________________________________
4. C  : 0,1, 1,2 = 4
5. Cs : 0, 1, 1, 2, 4 = 8 (2x4)
6. D  : 0, 1, 1, 2, 4, 8 = 16 (2x8)............................[16 = 7] → Dél, MIDI = 7 ; Lét, l’ETRE, l’Existence = 7, 
7. E  : 0, 1, 1, 2, 4, 8, 16 = 32 (2x16).....................[32 = 5] → Élet, LA VIE = 5 ; la QUINTESSENCE

Comme nous pouvons le voir, non seulement un lien direct fait jour entre l’alphabet runique sekler qui provient du Son, du Verbe [Ige : 32/5] et cette spirale kristique mais en prime, il y est fait mention du sixième jour de la création, celui de l’Etre Humain Solaire et du septième jour, qui en Genèse 2-3 mentionne que « Dieu bénit le septième jour et le consacra car il avait alors arrêté toute l’oeuvre que lui-même avait créée par son action. » La Spirale de Vie est l’illustration parfaite de cet achèvement de l’oeuvre divine.

Bien entendu, cette succession de chiffres ne correspond pas à la suite de Fibonacci dont les sommes ne sont pas divisibles par le quatre de la source-Dieu étant donné qu’ils en sont coupés signant ainsi la spirale de mort. Les décès surviennent sur la terre dont la création se produit le troisième jour de la création tel que signalé en Genèse 1, 9-13  « Dieu dit : «  Que les eaux inférieures au ciel s’amassent en un seul lieu et que le continent paraisse ! » Il en fut ainsi. Dieu appela « terre » le continent ; il appela « mer » l’amas des eaux. Dieu vit que cela était bon. Dieu dit : « Que la terre se couvre de verdure, d’herbes qui rend féconde se semence, d’arbres fruitiers qui, selon leur espèce, portent sur terre des fruits ayant en eux-mêmes leur semence ! » Il en fut ainsi. La terre produisit de la verdure, de l’herbe qui rend féconde sa semence selon son espèce, des arbres qui portent des fruits ayant en eux-même leur semence selon leur espèce. Dieu vit que cela était bon. Il y eut un soir, il y eu un matin : troisième jour. » La phrase « Il y eut un soir, il y eu un matin » est précisément une manière différente de faire référence aux cycles de mort et de naissance touchant toutes les espèces végétales crééent sur le terre dont l’arbre de mort, un végétal parmi tant d’autres.

__________________________
1. 0,1 
2. 0, 1 = 1................................................... 11=2 → Csiga [4], vonal [7], ligne spiralée : 4+7 = 11= 2
3. 0, 1, 1 = 2 
___________________________________________________
4. 0,1, 1,2 = 3
5. 0, 1, 1, 2, 3 = 5   
6. 0, 1, 1, 2, 3, 5 = 8.............................................→ Sommes qui se coupent de la source UNE
7. 0, 1, 1, 2, 3, 5, 8 = 13 = 4



Erratum : le mot « AD » est construit à partir de la 1e et 6e lettre de l’alphabet runique sekler.
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MessageSujet: Re: CLÉS DONNANT ACCÈS AU MYSTÈRE CHRISTIQUE   CLÉS DONNANT ACCÈS AU MYSTÈRE CHRISTIQUE - Page 3 Icon_minitimeSam 07 Déc 2013, 02:03

Edit : Dans un soucis de clarté, ce dernier post a été restructuré (au niveau des dessins) et complété.
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MessageSujet: Écriture vieille Europe - la Pierre de la Source Köv-Kő   CLÉS DONNANT ACCÈS AU MYSTÈRE CHRISTIQUE - Page 3 Icon_minitimeDim 08 Déc 2013, 18:52

Le mot pierre à savoir « » dont aujourd’hui, le lien avec la Source ne transparaît plus, s’écrivait en proto-hongrois [K-◊] plus [V], pour former « KöV », et possédait à l’origine une nature sémantique de 84/12, nombre associé entre autre aux douze apôtres dans le Nouveau Testament. Il n’y a rien d’étonnant à cela, dès que l’on sait que de « köv » proviennent aussi bien les termes « KöVeT » référant tant le verbe suivre que les mots messager, délégué, un titre à l’heure actuelle attribué, en politique, aux ambassadeurs, que celui de « Követő », le disciple, le fidèle, l’adepte, l’apôtre, tous des synonymes.

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En Exode 17.1-6, Moïse apparaît comme un messager suivi par le peuple d’Israël : « Toute la communauté des fils d’Israël partit du désert de Sîn, poursuivant ses étapes sur ordre du SEIGNEUR. Ils campèrent à Refidim [endroit non identifié] mais il n’y avait pas d’eau à boire pour le peuple. Le peuple querella Moïse : « Donnez-nous [le pluriel s’adresse à Moïse et à Aaron] de l’eau à boire », dirent-ils. Moïse leur dit : « Pourquoi me querellez-vous ? Pourquoi mettez-vous le SEIGNEUR à l’épreuve ? ». Là-bas [où ça ?], le peuple eut soif ; le peuple murmura contre Moïse : « Pourquoi donc, dit-il, nous as-tu fait monter d’Egypte ? Pour me laisser mourir de soif, moi, mes fils et mes troupeaux ? » Moïse cria au SEIGNEUR : « Que dois-je faire pour ce peuple ?  Encore un peu, ils vont me lapider [il y a des pierres, l’endroit est par conséquent semi-désertique]. » Le SEIGNEUR dit à Moïse : « Passe devant le peuple, prends avec toi quelques anciens d’Israël ; le bâton dont tu as frappé le Fleuve [le Nil], prends-le en main et va. Je vais me tenir devant toi, là, sur le rocher – en Horeb [où est-ce ?]. Tu frapperas le rocher [qu’est- ce que cela signifie ?], il en sortira de l’eau, et le peuple boira. » Moïse fit ainsi, aux yeux des anciens d’Israël. »

Les Massorètes, dans leur incapacité à comprendre la proto-langue des écrits sacrés, expliquent cette partie de l’histoire de l’Exode de manière miraculeuse alors qu’il n’en est rien. « Kútostor » [13/4] ; kút, puits ; ostor, fouet, cravache dont les bergers doivent se servir lorqu’ils puisent de l’eau à l’aide d’un puits à balancier constitué d’un bâton que l’on pose sur le balancier à l’aide de nos mains et auquel une corde ou une lanière de cuir, en l’occurrence le fouet du berger, est accrochée, est LE mot que ces scribes interprètes n’ont pas su traduire correctement. En effet, la phase « Tu frapperas (= le fouet) le rocher ou « KaVa » (= les blocs de pierre entourant généralement les sources creusées dans le sol) avec ton bâton (= la bascule du puits) et l’eau sortira de la pierre (=  en réalité du sol) » est tout simplement le descriptif des puits à bascule que l’on trouve dans les semi-déserts telles les pusztas et les steppes. 



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MessageSujet: Écriture vieille Europe - La Montagne de Dieu   CLÉS DONNANT ACCÈS AU MYSTÈRE CHRISTIQUE - Page 3 Icon_minitimeDim 08 Déc 2013, 19:11

L’expression massorétique « passe devant » c’est-à-dire « ouvre le chemin » provient quant à elle du mot puits ou « KúT » [16/7] que se décompose en [K-◊] et [Út], le chemin vers la Source-Dieu qui se tient bien là, devant sur le rocher – en Horeb. C’est à l’Horeb que l’ange, le messager direct de Dieu apparut à Moïse dans le Buisson ardent (Ex 3 :1-3). En hongrois, « buisson ardent » désigne concrètement l’églantier ou rosier sauvage ; Csipkebokor ; csipke, dentelle ; bokor, buisson.  En français, ce sont les Pyracantha, buissons épineux de la famille des Rosaceae qui sont communément appelés « buisson ardent ». Il est dit que le mot Pyracantha vient du grec pyros, le feu. Par contre, piros veut dire rouge en hongrois, langue plus ancienne que le grec. Nous sommes donc en présence d’une plante décrite en tant que rosier rouge, couleur de feu. Cet arbuste épineux a été associé à un buisson embrasé pourtant, l’usage de l’adjectif brûlant ne semble pas approprié vu que Moïse se demande lui-même : « pourquoi le buisson ne brûle-t-il pas ? ». De plus, le mot désignant ce rosier en hébreu est Cenah, un terme qui proviendrait d’une racine du sens de piquer tout comme csíp, la première syllabe de csipkebokor renvoie à piquer, brûler mais aussi aux verbes cingler, fouetter par les éléments  naturels. Cena(h), dont le [h] n’est qu un rajout ultérieur comme dans Sara(h), Tora(h), se lit aussi a cén, qui est l’anthracène. Ce composé chimique, naturellement présent dans les combustibles fossiles, tels le charbon, le gaz naturel, le pétrole, ou produit par les éruptions volcaniques, réagit aux ultra-violets du soleil. En tout état de cause, comme il est dit à Moïse debout à côté du buisson : « Ne t’approche pas d’ici ! » et comme celui-ci « se voila la face », qui en hongrois est « ferma les yeux », szemet huny, pour protéger ceux-ci, nous pouvons en déduire que le rosier en question se trouvait dans un endroit où une réaction semble-t-il luminescente se produisit.


Citation :
L'anthracène est incolore, mais présente une fluorescence bleue à 400 et 440 nm lorsqu'il est soumis aux ultraviolets, lesquels peuvent également provoquer sa photodimérisation : Il est utilisé comme scintillateur dans la détection de particules de haute énergie telles que photons, électrons etparticules α. C'est également un semiconducteur organique.

Selon une étude faite sur Daphnia pulex (espèce fréquemment utilisée pour les tests de toxicité), le caractère toxique de l’anthracène peut être synergiquement exacerbée par les UV solaires ou la lumière du soleil

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Dans sa forme la plus pure, est fréquemment employé en physique nucléaire comme substance scintillante pour la détection des radiations de haute énergie

[INERIS, 2004 ; Rütgers Chemicals ; RPA, 2002]. 
Alors, la seule dénomination répertoriée du rocher d’Horeb, associé erronément au mont Sinaï par les biblistes dont les avis divergent sur de nombreux autres points encore, est la « Montagne de Dieu ».

En réalité, cette montagne sacrée, qui se dit [H+Egy] « Hegy » littéralement Un [H], est notre Temple Intérieur, celui sur lequel la Pierre fondatrice de notre Eglise fut posée. Cette affirmation est reprise par Jésus : « Il leur dit : « Et vous, qui dites-vous que je suis ? » Prenant la parole, Simon-Pierre répondit : « Tu es le Christ, le Fils du Dieu vivant. » Reprenant alors la parole, Jésus lui déclara : « Heureux es-tu, Simon fils de Jonas, car ce n’est pas la chair et le sang qui t’ont révélé cela, mais mon Père qui est aux cieux. Et moi, je te le déclare : « Tu es Pierre, et sur cette Pierre je bâtirai mon Eglise, et la Puissance de la mort n’aura pas de force contre elle. » (Mt 16.15-18) En effet, cette Pierre de Source « Köv » construit la structure interne [H-xx] de notre Arbre de Vie, en produisant par la même occasion, les lettres [h+b+r]. Par conséquent, le mot horeb devrait s’inscrire dans le définistaire* car n’existant tout simplement pas et ce, pour être définesté en « HűBéR », fief à tenure noble ou terre de noble tenure, mot constitué de , d’une grande vérité ; fidèle, dévoué et de Bér, affermer (la terre), donner en bail, en location. Et peut-on nier que notre corps de matière nous est offert par la Source mais qu’en réalité, il lui revient ?


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Citation :
*Définistaire :
[Nom Masculin] Recueil de mots n'existant pas, où de mots éxistants dont la définition a été revue afin de contribuer largement à l'évolution du langage en lui occtroyant une signification plus adaptée au contexte moderne.

Par extension, notons l'apparition récente du verbe Définister, et de ses déclinaisons : Un mot définisté est donc un Définiston.

[Apparition XIIème scl.] Le Définistaire trouverait son origine dans la culture celtique excentrée et isolée du monde civilisé, où les tribus s'acharnaient à reformuler les mots, montrant par là-même, leur indépendance culturelle et leur pouvoir toujours croissant sur les tribus rivales.


Dernière édition par douceur le Mer 18 Déc 2013, 18:06, édité 1 fois
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MessageSujet: Écriture vieille Europe - Le Tailleur de Pierre "Ács"   CLÉS DONNANT ACCÈS AU MYSTÈRE CHRISTIQUE - Page 3 Icon_minitimeDim 08 Déc 2013, 19:47

Pour construire notre Temple Intérieur, l’intervention du tailleur « Ács » ou équarrisseur de pierre à angles droits est requise. Cette pierre équarrie voit son prix inestimable mentionné pour la toute première fois par le prophète Esaïe en 28.14-20 : « Ecoutez donc la parole du Seigneur, vous, les railleurs qui gouvernez ce peuple à Jérusalem. Vous dites : « Nous avons conclu une alliance avec la Mort, nous avons fait un pacte avec le séjour des morts. Le fléau déchaîné, quand il passera, ne nous atteindra pas, car nous nous sommes fait du mensonge un refuge et dans la duplicité nous avons notre abri. » Cependant ainsi parle le Seigneur DIEU : Voici que je pose dans Sion [à l’origine Sion désignait la plus ancienne partie de Jérusalem] une pierre à toute épreuve, une pierre angulaire, précieuse, établie pour servir de fondation. Celui qui s’y appuie ne sera pas pris de court. Je prendrai le droit comme cordeau* et la justice comme niveau* [*instruments du maçon]. Et la grêle balaiera le refuge du mensonge, et les eaux emporteront votre abri. Elle sera effacée, votre alliance avec la Mort, votre pacte avec le séjour des morts ne tiendra pas. Le fléau déchaîné, quand il passera, vous écrasera. Chaque fois qu'il passera, il vous reprendra, car il repassera matin après matin, le jour et la nuit, et ce sera pure terreur d’en comprendre la révélation. Le lit sera trop court pour s’y étendre, la couverture trop étroite pour s’y envelopper. » Et au psaume 118.22, nous apprenons que cette pierre de grand prix fut mise de côté par les bâtisseurs eux-même : « La pierre que les maçons ont rejeté est devenue la pierre angulaire ». Effectivement, lorsque l’on regarde le carré de Conimbriga nous ne pouvons que constater que la pièce taillée à angles droits ne s’étale pas sur la croix mais, au contraire, dépasse du Plan [T+R+V] devenant ainsi la principale de l'angle à 45˚.


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MessageSujet: Écriture vieille Europe - la Ville, la Nouvelle Jérusalem   CLÉS DONNANT ACCÈS AU MYSTÈRE CHRISTIQUE - Page 3 Icon_minitimeMer 18 Déc 2013, 18:49

Où se situe Sion, le siège de la pierre de fondation ? Est-ce réellement un lieu géographique ? Voilà des questions qui méritent éclaircississement. Sion (Siy'on), un autre nom du mont Hermon, provenant de Siy’, hauteur généralement traduit par s’élever, est défini comme « un lieu élevé ». Dans la Traduction œcuménique de la Bible (TOB), comme écrit plus haut, Sion désignerait « la plus ancienne partie de Jérusalem », ville à l’origine dénommée Urušalim, en akkadien puis Ūršalīm en arabe et enfin Salem en grec, latin et Shalem en hébreu dont le synonyme serait ville paisible, cité de paix en raison du lien fait entre shalem et shalom.


Citation :
Le mont Hermon a plusieurs appellations dans la Bible : Sihon, Shanir et Sirion. En arabe il est aussi appelé Jabal el-Sheikh (« le vieux »), en raison de sa couverture neigeuse. Le nom Hermon vient de la racine hébraïque hrm signifiant « lieu sacré ».

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Comme Plan il y a dans le carré, il devrait par le même occasion induire l’existence d’une « Ville ». Et de fait, puisque le mot ville y est littéralement gravé sous sa forme proto-hongroise [V+á+R+a+S], Váras, à ne pas confondre avec vörös, rouge. Le terme váras, dit actuellement város, vient de UR traduit en Ville de Dieu, Ville du Seigneur aussi bien que Ville de l’Homme car Úr de valeur douze signifie le Seigneur-Dieu comme le maître, le propriétaire terrien, le patron ou simplement le chef de famille et l’homme. Ville se disait URR ou UR, lu ainsi à la place de [VR], aussi bien en hongrois qu’en dravidien dont la provenance reste encore incertaine bien que certains chercheurs aient déjà rattaché la langue de la vallée de l’Indus et celles principalement du sud de l’Inde aux langues ouraliennes dont le hongrois ferait partie. C’est précisément ce [Ursa] ou [Vrsa] suivit du suffixe hongrois [lem], un affixe qui si ajouté à un mot base (racine ou radical) en vient à constituer un nouveau mot et dans ce cas précis, UrSAlem qui sera associé au lieu de Jérusalem où Melkizedek aurait été roi ainsi qu’il est écrit en Genèse 14.18 : « C’est Melkisédeq, roi de Salem, qui fournit du pain et du vin. Il était prête de Dieu, le Très-Haut ». 

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Or donc nous sommes en présence d’une ville, qui plus est fortifiée, étant donné que le palindrome de Plan [T+R+V] donnant VéRT [V+R+T] ou ARMURE de chevalier, harnais de cheval nous le signale clairement. Cette ville constitue en réalité un château fort [V+á+R] entouré d’une zone de protection, Öv et de Gardiens, Őr dont la mission n’est pas seulement de protéger, Óv à l’ aide d’un collier de défense ÖrV, la ville  mais surtout, celle de prémunir contre tout anéantissement son Jardin intérieur ou KERT [K+R+T] possédant une valeur de quinze [15/6], au cœur duquel pousse l’Arbre de Vie dont la proto-orthographe était [Fo+V] ou FoV. Si la Genèse en 2.9 : « Le SEIGNEUR Dieu fit germer du sol tout arbre d’aspect attrayant et bon à manger, l’arbre de vie au milieu du jardin et l’arbre de la connaissance de ce qui est bon ou mauvais. » indique l’emplacement de cet arbre, l’invincibilité de la cité sacrée le ceignant n’est pas mentionnée alors même que ce Premier Niveau de Création plus précisément, cette Grille Structurelle Fondatrice que représente l’Arbre de Vie au sein du Jardin ne sait être réduite à néant.

Cette omission volontaire de l’existence d’une Grille de Construction inviolable, inaltérable et indestructible permit la falsification des Ecrits originaux et ce, grâce au concours d’une Assemblée insidieusement assimilée ultérieurement à l’Eglise. Dans les écrits bibliques massorétiques puis canoniques, l’Assemblée en tant que soit disant Eglise est désignée sous le vocable hébreu Kahal (Qahal). Les langues sémitiques étant consonantiques, présumer que Kahal s’écrivait à l’origine Kohol n’est pas extrapoler. Le verbe hongrois kohol renvoie au vieux français controver (con-, tous ensemble, avec et trover, inventer) devenu controuver signifiant forger de toutes pièces, inventer mensongèrement. Oui, la Bible contient des mensonges à détecter !

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La Ville parée d’une armure invincible est la « Nouvelle Jérusalem »
improprement associée à un lieu géographique concret
où domine encore aujourd’hui Babylone, c’est-à-dire la division.



************************


Dernière édition par douceur le Dim 05 Jan 2014, 19:24, édité 1 fois
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MessageSujet: La Jérusalem céleste ou Nouvelle Jérusalem   CLÉS DONNANT ACCÈS AU MYSTÈRE CHRISTIQUE - Page 3 Icon_minitimeMer 18 Déc 2013, 19:02

Citation :
La Jérusalem céleste - appelée aussi nouvelle Jérusalem, tabernacle de Dieu, ville sainte - est un concept traditionnel juif et chrétien, associé à la fois au jardin d'Eden, à la terre promise et à la reconstruction du Temple après la fin de la captivité des juifs à Babylone [sont-ils vraiment sortis de Babylone ???] selon les traditions elle peut être une ville littérale, un lieu spirituel, ou représenter l'aboutissement de l'Histoire et le retour à la perfection initiale. 


Selon le Livre de l'Apocalypse, attribué à Jean l'évangéliste et où il décrit ses visions surnaturelles, la Jérusalem céleste est l'image du lieu où les fils et filles de Dieu vivront leur éternité. Elle serait la Ville sainte, la demeure de Dieu. Un lieu spirituel.

À partir des images proposées dans le texte, Saint Jean fait une description bien détaillée de ce lieu de bâtiments en pierres précieuses, en or pur et toujours baigné par la lumière divine. Le texte affirme que, pour rester dans ce lieu, il faut être pur, sans fautes qui puissent maculer cette pureté exigée [?]. 

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MessageSujet: Re: CLÉS DONNANT ACCÈS AU MYSTÈRE CHRISTIQUE   CLÉS DONNANT ACCÈS AU MYSTÈRE CHRISTIQUE - Page 3 Icon_minitime

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