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 CLÉS DONNANT ACCÈS AU MYSTÈRE CHRISTIQUE

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MessageSujet: Écriture "Vieille Europe" : le nombre PI (2)   CLÉS DONNANT ACCÈS AU MYSTÈRE CHRISTIQUE - Page 3 Icon_minitimeDim 20 Jan 2013, 23:51

Conclusions :

La définition de PI (lié au cercle) généralement admise par tous est, « à mes yeux », complètement « à côté de la Vérité ». Seul ceci peut expliquer que PI n’ait (jamais) pu être « appréhender », expliquer, rationnellement comme nombre rationnel par aucun « grand penseur », mathématicien, philosophe, maître spirituel ou génie.

La définition correcte de PI devrait être :

« Pi est le rapport du Périmètre de l’Eternel ou Ú à son diamètre, le diamètre étant un segment de droite passant par le centre, dans ce cas précis, du carré » et non pas :

Citation :
π = C’est le rapport de la circonférence d’un cercle à son diamètre. On peut également le définir comme le rapport de la superficie d’un cercle au carré de son rayon.

Si chez d’aucun, des doutes persisteraient au niveau de cette « Vérité de PI = Ú = l’Eternel » et donc son NON rapport (direct) avec le cercle de 360˚, une analyse linguistique soulève d’autres voiles encore :

1) Pi = 3,14 15 :

- 3 = lettre B
- 14 = lettre i (court)
- 15 = lettre í (long)

Essayez de prononcer « Bií » et vous verrez que cela « sonne Pi ».

2) 3,14 = 3, 5 : La 3e lettre = B est suivie de la 5e lettre = CS.

Le nombre « 5 » est la somme des lignes du CARRE de SÁTOR et, nous l'avons vu, la QUINT-essence.

B+CS donnent les mots suivant :

- BeCS = valeur ; prix (synonymes d’ « éR » (veine/artère) valeur/prix)
- BeCS = estimation
- BeCSeS = précieux/précieuse ; de grand prix ; de valeur
- BeCSüL = Considération ; Estime
- BeCSüLeT = Honneur ; Réputation

Etonnement, tous ces mots débutent par LA (véritable) première lettre de l'á !

3) Pi = 3,14 : 31 = SA et 4 = C donne le mot « SAC », diminutif du mot estimation (= saccolás), et l’expression « sac per kb. » qui signifie : à peu près ; +/- ; environ, etc.
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MessageSujet: Re: CLÉS DONNANT ACCÈS AU MYSTÈRE CHRISTIQUE   CLÉS DONNANT ACCÈS AU MYSTÈRE CHRISTIQUE - Page 3 Icon_minitimeLun 21 Jan 2013, 00:57

douceur a écrit:

1) Pi = 3,14 15 :

- 3 = lettre B
- 14 = lettre i (court)
- 15 = lettre í (long)

Essayez de prononcer « Bií » et vous verrez que cela « sonne Pi ».


A propos du disque bi :
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MessageSujet: Écriture "Vieille Europe" : Sources communes   CLÉS DONNANT ACCÈS AU MYSTÈRE CHRISTIQUE - Page 3 Icon_minitimeMar 22 Jan 2013, 01:05

Merci Chat-man...

Que l’ancien chinois, l’ancien anglais, le pré-sanskrit et les LOGO-graphes de l’Eternel ont une source commune est une certitude aujourd’hui pour moi.

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Les LOGO-graphes se lisent, s’écrivent et se comprennent dans TOUTES les langues de la même manière, quelque soit la culture et/ou le continent oú ils sont apparus. Le « Verbe » transmis par ces róvás est multi-lingue. Qui n’a pas remarqué que les Noms de FUXI et NUWA sont également « inscrits » dans le glyphe (unique) de l’Eternel comme le sont Sára et Úr ?

Mais, toutes ces Langues Sacrées furent falsifiées sans exception aucune et ce, à différentes reprises au cours de l’histoire de notre monde actuel. Sous l’égide de « réformes nécessaires », les déformations des Róvás (magyar) mais les plus importantes introduites par l’Eglise datent du 15e siècle. Etrangement, c’est à la même époque que l’hébreu semble avoir connu une altération profonde de sa propre langue (sacrée à l’origine) et par conséquent, des connaissances qu’elles véhiculent. (Je reviendrai sur cette question dans la rubrique appropriée.) Les « réformes » de la langue chinoise quant à elles proviennent essentiellement de la dynastie Qin et de l’empereur Qin Shi Huang:

Citation :
Si son règne est finalement assez court puisqu’il ne dure que onze ans, cela n’empêche pas Qin de réaliser de profondes réformes dont le pays a grand besoin. Il impose d’abord un système politique centralisé, ce qui lui permet de mieux surveiller les dirigeants des anciens Royaumes Combattants.
Puis il normalise les écritures en abolissant tous les styles régionaux. Cette réforme, qui permet aux sujets lettrés de son Empire de mieux se comprendre entre eux, sera très efficace puisque ses effets se feront sentir pendant plus de 2 000 ans… jusqu’à ce que Mao modifie à nouveau les caractères chinois en 1958 !

(...) Au niveau économique, il a l’intelligence d’unifier le système des poids et mesures, mais surtout le système monétaire en créant la sapèque, petite pièce de cuivre ronde à trou carré au centre

(…) Mais l’unificateur de la Chine est un véritable dictateur qui ne tolère aucune contestation : il fait régulièrement dresser des bûchers en place publique afin de brûler, au cours de gigantesques autodafés, tous les écrits qu’il juge subversifs et principalement ceux de Confucius. Les chroniques de l’époque rapportent qu’il lui arriva, un jour, de faire enterrer vivants 460 intellectuels qui s’opposaient à lui !

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Le Bi/Pi n’est pas « un disque », tout comme ne l’est pas le Yan/Yún d’origine, transformé plus tardivement, en « Yin(g)/Yang circulaire ». (à développer)

Au sujet de la pierre de jade que tu mentionnes, les éléments graphiques dans les dictionnaires (souvent des pictogrammes) là pour « indiquer » de quoi parle le sinogramme, nous apprend que :

Citation :
玉, yù, « la pierre de jade », vient du sinogramme 王, wáng, « le Roi, l’Empereur » (nom de famille également), avec un trait sur le côté pour symboliser la bague en jade que les Empereurs avaient coutume de porter.

Si je reprends la traduction française du texte chinois différents points attirent mon attention :

Citation :
Dans l'antiquité, on appelait le disque "bi" ou "pi" le trésor dont héritent ceux qui sont sous le ciel ". De taille variable suivant l'usage et les époques, son épaisseur varie de 1 à 10 mm. Le dictionnaire du savant Xu Shen, sous la dynastie des Han (206 avant J.C. - 221 après J.C.) le décrit de la façon suivante : "Le bi est un jade annulaire auspicieux plat. Quand le rou (disque) a le double de la largeur du hao (trou central) il est appelé bi. Dans le cas d'une couronne et d'un orifice central d'égales largeurs, nous avons affaire à un huan. Cependant quand l'orifice central est le double de la largeur de la couronne on l'appelle yuan."

- Pourquoi avoir utilisé le mot « annulaire », à la place du mot « circulaire » sans équivoque, si ce n’est pour brouiller les pistes ?

- La graphie originale et l’étymologie chinoise du mot « annulaire » sont (ici) absents. Alors que nous le savons, l’annulaire est (aussi) notre 4e doigt en partant du pouce, doigt sur lequel se porte (aujourd’hui) « l’anneau ». Et cette (mauvaise) « habitude » n’est pas le fruit du hasard !

Ces axes en partant de notre 4e orteil jusqu’en haut de la tête correspondent, à gauche, à notre 7e chacra, « ligne » énergétique oú furent placés dans le corps de l’Humain le plus grands nombres d’implants « intrusifs » et, à droite, à notre 6e chacra.

Seul le sinogramme chinois d’origine pourrait révéler s’il s’agit, oui ou non, des doigts/orteils.

- L’adjectif « auspicieux » provenant du latin auspicium (« divination ») et auspex, auspicis (« devin ») introduit la concept de « magie » auquel, je n’adhère aucunement. Aucune de ces formes « divinatoires/magiques » n’est justifiée, justifiable ! Elles sont toutes spéculatoires/manipulatoires, créant confusions/divisions.

De plus, il n’est besoin d’aucun « objet » pour voir « les bons ou mauvais auspices » envoyés par les humains inconscients ou entités intrusives, ni pour ceux dictés par le Verbe de l’Eternel.

- La remarque sur l’absence du sinogramme s’applique également pour le mot « le rou » traduit en tant que « disque » .

- Et les pièces de monnaie Yuan ayant un trou « carré » perforé au centre représentaient la vision du monde qu’avaient les chinois à l’époque qui croyaient que le ciel était rond et la terre carrée.

Le concept de la forme carrée, tout comme le « Carrée Magique Lo Shu » présentent des liens incontestables avec les logographes magyar.

Le Carrée Magique de Lo Shu : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]


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MessageSujet: Écriture "Vieille Europe" : les acides   CLÉS DONNANT ACCÈS AU MYSTÈRE CHRISTIQUE - Page 3 Icon_minitimeMar 22 Jan 2013, 01:50

Bonsoir à tous,

Revenons aux logographes de la Création, si treize d’entre eux (2A/Á), B, C, (F), J, (Ka), (Ly), R, Sa, (2)S, Sz, Ú, V sont répertoriables dans le róvás Ú, seulement neuf lettres calligraphient l’Eternel : 1xB, 1xC, 1xJ, 1xR, 1xSa/Sá, 2xS, 1xSz, 1xÚ, 1xV.

Pour lire, le cahier de tournage de la Création, l'étude de l'essence des mots formés est tout indiqué.

Voici la liste (probablement non exhaustive), dans un premier tant, des mots construits à l’aide exclusivement de ces logographes « purs » (les autres lettres n’étant QUE des voyelles-consonnes « remplissant » les « vides autour » d’Ú):

1) bú = chagrin; tristesse (bú qui se prononce "bou" !)
2) sár = boue (mot dont la première syllabe constitue le nom Sára/Femme (?!)).

3) sarc = tribut; apport; contribution (de guerre)
4) sarj = jeune pousse
5) sarj = progéniture; rejeton
6) sarjú = arrière-foin : foin fané/coupé deux fois (cf. Les 4 étapes de la fenaison.); regain : herbe qui repousse après la première fauchaison

7) sas = aigle
8) sás = laîche (genre de cypéracées, comprenant des herbes vivaces, appelées aussi carex, que l'on plante dans les dunes pour en fixer les sables.)

9) SAV = acide; (VAS = fer)

10) sáv = raie; rayure; strie

11) szú = ver (du/à bois)
12) szúr = piquer; frapper; enfoncer; point de côté

13) úr = seigneur
14) új = nouveau; neuf; inédit

Avant de donner la seconde liste, celles reprenant les glyphes dans leur ensemble, une (tentative d’) approche de notre (véritable) Histoire en analysant les informations qui s'y trouvent ouvrent à des nouvelles perceptions.


Commençons avec le mot qui s’écrit dans les DEUX sens : SAV (acide) / VAS (fer).
Pourquoi donner une signification « double » à un même mot ? Pourquoi l’acide apparaît-il si important ?

Une réaction bio-chimique (dans les Eaux Primordiales ?) qui crée les liaisons hydrogène-oxygène et carbone en est l'une des raisons principales !


Voici en survol rapide les informations importantes liées à l'acide :

Citation :
En chimie, le terme acide est très général et fait référence à une espèce qui peut, en solution aqueuse, libérer un proton.

Le proton est une particule subatomique portant une charge élémentaire positive.
Les protons sont présents dans le noyau atomique, éventuellement liés avec des neutrons par l'interaction forte (le noyau de l'isotope le plus répandu de l'hydrogène, H+, est un simple proton) ; le proton est également stable par lui-même, en dehors du noyau atomique.

Le proton n'est pas une particule élémentaire, étant composé de trois autres particules : deux quarks up et un quark down.

Tout comme le neutron, le proton est un nucléon et peut être lié à d'autres nucléons par la force nucléaire à l'intérieur d'un noyau atomique. Le noyau de l'isotope le plus courant de l'hydrogène est un simple proton.

Avant d'entrer dans le détail de la nomenclature, il important de préciser que les acides peuvent être classés en plusieurs grandes classes :

• Les acides minéraux - rencontrés en chimie analytique et inorganique
• Les acides organiques
• Les acides gras - rencontrés en biochimie

NB : L'acidité d'un composé est liée à sa capacité à libérer des protons en solution. Des composés n'ayant pas (du point de vue de la nomenclature) la dénomination acide peuvent très bien se comporter comme tels en solution.

Acides en chimie minérale
Selon leur structure : on distingue deux catégories d'acide :
Les hydracides ou acides binaires
Les oxacides ou acides ternaires

Acides en chimie organique
La chimie organique comprend essentiellement 2 grandes classes d'acides :
Les acides carboxyliques
Les acides sulfoniques

Acides en biochimie
En biochimie, un acide gras est un composé comportant une chaîne hydrophobe terminée par un groupement d'acides acide carboxylique.

Citation :
Un composé est dit hydrophobe (du grec υδρο, hydro = eau, et Φόϐος, phóbos = peur) quand il repousse l'eau ou est repoussé par l'eau . L’hydrophobicité définit la propriété de ce composé.

Citation :
En chimie organique, un groupe carboxyle est un groupe fonctionnel composé d'un atome de carbone, lié par une double liaison à un atome d'oxygène et lié par une liaison simple à un groupe hydroxyle : -COOH.

(...) Les acides carboxyliques sont liquides dans les conditions normales tant que leur chaine carbonée présente moins de 8 atomes de carbone. Ils sont solides au-delà.

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Citation :
En chimie, un acide gras est un acide carboxylique à chaîne aliphatique. Les acides gras naturels possèdent une chaîne carbonée de 4 à 36 atomes de carbone (rarement au-delà de 28) et typiquement en nombre pair, car la biosynthèse des acides gras repose sur l'acétyl-coenzyme A, une coenzyme porteuse d'un groupe acétyle qui contient deux atomes de carbone. Par extension, le terme est parfois utilisé pour désigner tous les acides carboxyliques à chaîne hydrocarbonée non-cyclique.

On parle d'acides gras à longue chaîne pour une longueur de 14 à 24 atomes de carbone et à très longue chaîne s'il y a plus de 24 atomes de carbone. Les acides gras sont présents dans les graisses animales et les graisses végétales, les huiles végétales ou les cires, sous forme d'esters.

• Les huiles végétales alimentaires contiennent une fraction d'acides gras saturés relativement faible : un peu plus de 10 % des acides gras totaux pour l'huile de tournesol, 13 % pour l'huile de maïs et pour l'huile d'olive, 15 % pour l'huile de soja, mais 92 % pour l'huile de coco (ou de coprah).

(...) Il est recommandé de ne pas absorber plus de 11 % de ses besoins énergétiques sous formes d'acides gras saturés, soit pas plus de 20 g d'acides gras saturés par jour pour une femme et 30 g par jour pour un homme.

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MessageSujet: Écriture "Vieille Europe" : le Fer   CLÉS DONNANT ACCÈS AU MYSTÈRE CHRISTIQUE - Page 3 Icon_minitimeLun 04 Fév 2013, 00:09

Citation :
Commençons avec le mot qui s’écrit dans les DEUX sens : SAV (acide) / VAS (fer).
Pourquoi donner une signification « double » à un même mot ? Pourquoi l’acide apparaît-il si important ?

Bonsoir à tous,

Que savons-nous au juste au sujet du fer (Fe) ? Les recherches m’ont fait découvrir que cet élément est à l’origine de la fabrication du Sang, mystère kristique par excellence.

« Hem-onus » (humains) ou « hum-anus » (terriens) ?
Quelles différences, ici : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]


Citation :
Fer fonctionnel

Bien que présent en très faible quantité dans l'organisme (0,005 % du poids corporel), le fer joue un rôle essentiel dans de nombreuses fonctions biologiques :

• fabrication de l'hémoglobine (pigment vital des globules rouges qui apporte le dioxygène [aussi appelé « molécule d'oxygène », ou simplement « oxygène » noté O2] à chaque cellule),
• fabrication de la myoglobine (protéine du muscle permettant de stocker l’O2),
• fabrication d'enzymes impliquées dans la respiration et d'ADN.

Dans l'organisme, le fer existe sous deux formes :

• Le fer héminique (incorporé dans la structure de l'hème) entre dans la constitution de l'hémoglobine, de la myoglobine et de certains enzymes. 70% du fer de l'organisme est sous forme héminique.
• Le fer non héminique est présent dans certaines enzymes et correspond aux formes de transport et de réserve [ou stockage] du fer.

Métabolisme du fer

L'originalité du métabolisme du fer tient au fait qu'il s'effectue quasiment en circuit fermé. L'organisme est particulièrement économe de son fer. Le pool du fer de l'organisme (4 g chez l'homme adulte ; 2,5 g chez la femme adulte) est en renouvellement permanent : le fer ayant servi à la synthèse de l'hémoglobine est récupéré après la destruction des globules rouges et réutilisé.

(…) Selon l'Organisation Mondiale de la Santé, la carence en fer constitue le trouble nutritionnel le plus répandu dans le monde. (…) Si la carence en fer conduit à un stade très avancé à l'anémie, les conséquences d'une carence modérée sur l'ensemble de ces processus physiologiques sont encore mal connues : une réduction de la capacité physique et des performances intellectuelles, une moindre résistance aux infections, des perturbations au cours de la gestation, des anomalies dans le maintien de la température corporelle...

Les principaux signes de carence en fer sont la pâleur, la fatigue, le manque de souffle, les vertiges et les troubles digestifs, manque d’appétit, problémes pour dormir, pour garder les idées claires, etc.

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

Citation :
Le fer héminique est présent uniquement dans les aliments d'origine animale où il représente environ 40 % du fer total. Il correspond au fer des hémoprotéines, essentiellement de l'hémoglobine et de la myoglobine. Sa biodisponibilité est d'environ 25 % et n'est pas influencée par les autres constituants des repas. Le fer non héminique existe lui à la fois dans les aliments d'origine animale et dans ceux d'origine végétale.

(...) Dans un régime de type occidental, les principales sources de fer sont : les produits d'origine animale (30 à 35 % du fer total), les céréales (20 à 30 %), puis les fruits et légumes, enfin les racines et tubercules amylacés. Pour les pays en voie de développement, la place du fer fourni par les aliments d'origine animale est beaucoup plus faible. Le fer non héminique représente à lui seul 90 à 95 % du fer alimentaire consommé dans les types alimentaires les plus fréquents dans le monde. Sa biodisponibilité est faible (généralement inférieure à 5 %) et peut être influencée par diverses substances contenues dans d'autres aliments.

On peut définir un coefficient d'absorption du fer pour chaque aliment (1 à 2 % pour le riz, 3 à 4 % pour les légumes secs, 16 à 22 % pour les viandes, 50 à 70 % pour le lait maternel…). Mais ces coefficients d'absorption calculés à partir d'aliments consommés isolément n'ont qu'un intérêt théorique, car il existe de nombreuses interactions entre les différents aliments pris au cours d'un même repas : certaines substances présentent dans les aliments agissent en facilitant l'absorption du fer contenu dans la ration, d'autres agissent, au contraire, comme inhibiteurs. Seul le fer non héminique (principale source de fer alimentaire dans les pays en voie de développement) est influencé par la composition du repas.

Le fer héminique (fer de l'hémoglobine et de la myoglobine) possède une grande biodisponibilité intrinsèque et à la différence du fer non héminique, il n'est pas influencé par les autres composants du repas.

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Citation :
L'hémoglobine est une protéine de structure quaternaire, dont la principale fonction est le transport du dioxygène [aussi appelé « molécule d'oxygène », ou simplement « oxygène » noté O2] dans l'organisme humain et chez les autres vertébrés. L'hémoglobine se trouve essentiellement à l'intérieur des globules rouges du sang (13.5 à 17.5 gr/dL chez l'homme et 12.5 à 15.5 gr/dL chez la femme de sang d'hémoglobine) ce qui leur confère leur couleur rouge.

(...) Le nom d'hémoglobine provient de deux mots : hème et globine. On la symbolise par « Hb ». Une molécule d'hème est constituée d'un ion fer complexé par une porphyrine.

(...) On trouve au cœur de la molécule un cycle hétérogène porphyrique (noyau tétrapyrrolique), l'hème, qui contient un ion fer. Cet ion fer est le site de fixation de l'oxygène.

L'élément fer peut exister sous 2 formes dans la molécule :

• sous forme ferreuse, ion Fe2+ : seule forme active de l'hémoglobine humaine. On parle d'oxyhémoglobine. (interaction réversible avec O2).
• sous forme ferrique, ion Fe3+ : on parle de méthémoglobine. (interaction irréversible avec O2)

L’hème est un cofacteur contenant un atome de fer servant à accueillir un gaz diatomique (souvent le dioxygène O2) au centre d’un large anneau organique appelé porphyrine.

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Citation :
Le globule rouge est une cellule sanguine circulante dont le constituant principal est l'hémoglobine (Hb). L'hémoglobine assure le transport de l'oxygène (O2) des poumons vers les différents tissus de l'organisme.

C'est dans la moelle osseuse que se trouve une cellule mère capable de donner naissance à toutes les cellules sanguines circulantes, les globules rouges, les globules blancs ou leucocytes, et les plaquettes ou thrombocytes. La fabrication des globules rouges, l'érythropoïèse, est régulée par une hormone appelée érythropoïétine (EPO) qui est produite par le rein. Cependant, d'autres facteurs sont nécessaires à la fabrication des globules rouges, en particulier le fer, la vitamine B12, et la vitamine B9 (acide folique).

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MessageSujet: Écriture "Vieille Europe" : la Fusion des Flammes Jumelles   CLÉS DONNANT ACCÈS AU MYSTÈRE CHRISTIQUE - Page 3 Icon_minitimeMer 13 Fév 2013, 00:19

Bonsoir à tous,

Une question que je me posais en 2011 et remontée par Ambre m’amène à développer mon expérience de Fusion, me permettant par la même occasion de compléter les dessins ici promis :

Citation :
Citation :

Je ne comprends pas bien où tu veux en venir...

...Je n'ai pas encore terminé le développement.

Mais il m’apparaît que les changements de proportions de la pyramide (Kristique) ne permettent l'Union en empêchant (entre autre) l'accomplissement du Vortex (dessins non encore réalisés).

Citation :
Citation :
Avez-vous remarqué que lors des Naissances/Procréations, sur les illustrations, le compas et l'équerre change de "propriétaires" et comme, transite du l'Homme vers la Femme ? (????)

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Cette question avait alors été posée en raison de ma Fusion avec ma Flamme Jumelle dont certains aspects m’échappaient, la suite du vécue n’en étant alors qu’à ses débuts.

En fait, la Fusion des Flammes amorce la Translation de l’Homme et de la Femme qu'un double déplacement en « spirale sinusoïdale », finalise.

La « Boucle » dans la main de Nüwa représentant la sinusoïde spiralée et la « Butée » dans celle de Fuxi (pièce permettant d'en maintenir une autre en la bloquant), « point d'appui ou tremplin » empêchant de se désintégrer dans le Point Central de la Création, se forment simultanément lors la Fusion.

Si les bas du corps, du couple Fuxi-Nuwa symbolisent ces spirales sinusoïdales (et non pas des « queues serpentines » de dieux (!)), les hauts du corps, eux prennent la Forme de l’Eternel.

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MessageSujet: Écriture "Vieille Europe" : Fusion des Flammes Jumelles (2)   CLÉS DONNANT ACCÈS AU MYSTÈRE CHRISTIQUE - Page 3 Icon_minitimeMer 13 Fév 2013, 00:41

Lorsque j’ai rencontré mon Âme Soeur pour la première fois ce fut une reconnaissance telle que décrite, ici, par Kernoa :

Citation :
Selon mon vécu la reconnaissance de 2 FJ ne peut pas se faire progressivement. La réaction est instantanée et fulgurante. La réunion de 2 FJ ne procède pas d'une construction mentale qui se forge peu à peu dans le temps. La reconnaissance se produit avant que le mental agisse. Malheureusement l'égo et l'intellect.

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

C’est cette relation, d’à peine quelque mois, qui me fit, après coup, tomber « au fond de l’Abysse à en toucher le fond » mais c’est, aussi, elle qui induisit « le début de mon parcours spirituel ».
Car peu de temps après, il fut mis sur mon chemin, mon Jumeau, de 5 ans mon cadet (et dont j’ai déjà parlé), Homme grâce auquel « le Vortex » fut enclenché.

Paradoxalement, alors que je ne connaissais pas le thème du Couple Sacré et par conséquent ne pouvait m’interroger sur cette question, une expérience nouvelle m’attendait : je Fusionnerai avec ma Flamme Jumelle.

Ce vécu (que d’aucun assimile à de la dévolution et à un problème d’illusion) produisit un changement en moi au début « impalpable » mais qui, petit à petit, pris forme dans mon Corps et ma Vie tel aujourd’hui ces écrits, ces dessins que j'ignorais que je comprendrais et partagerais en si peu de temps (et il semble que ce ne soit pas terminé). Le temps (linéaire) que prend leur rédaction est nettement plus long que celui de la compréhension arrivée « sans que je m’y attende le moins du monde » ou que je fasse des recherches sur le Carré de Sátor, sur Pi, et autres. Cela m’est « tombé » dessus... du jour au lendemain, SANS rationalisation.

J’ai donc pu constater que lorsque l’on ne s’attache à aucune expérience (spirituelle) de vie en particulier, lorsque nos pensées ne s’arrêtent sur aucune idées « fixes », lorsque nos vécus ne sont pas « analysés », puisque de toute façon, l’expérience suivante « éclaire » soudainement et parfaitement la précédente, il est impossible de « rester caler » à un stade antérieur. L’étape suivante arrive et nous poursuivons notre Chemin de Vie... et partageons ce que nous avons à partager.
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MessageSujet: Écriture "Vieille Europe" : les contes-mythes et histoires   CLÉS DONNANT ACCÈS AU MYSTÈRE CHRISTIQUE - Page 3 Icon_minitimeDim 17 Fév 2013, 00:01

Bonsoir à tous,

Citation :
Il semble qu’effectivement relire nos contes avec des pensées « Vierges » soit nécessaire.

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Voilà la seconde liste de mots, celle oú toutes les lettres composant le glyphe Ú, y compris cette fois, les lettres de « remplissages », sont reprises :

1) ár = courant ; marée
2) ár = prix ; (la) cote (de)
3) ár = aléne ; poincon (qui sert á percer le cuir)
4) ár = are (ou superficie)
5) ás = bêcher ; creuser ; excaver
6) ásás = fouilles ; creusement ; fouissement
7) báj = grâce ; charme ; attrait
8) búvár = plongeur ; homme-grenouille ; scaphandrier
9) fáj = mal, souffrance
10) fás = boisé ; planté d’arbre
11) fúj = souffler ; chanter ; entonner ; sonner (du cor)
12) fújás = Souffle (du vent aussi)
13) fúr = forer ; creuser
14) fúrás = forage (de puits) ; sondage du sol
15) fúvás = Souffle
16) száj = bouche
17) szár = tige ; pédoncule ; queue (de fruit)
18) szár = jambe
19) úszás = natation
20) vár = attendre ; espérer
21) vár = château (royal) ; citadelle ; forterresse
22) vásár = foire ; marché en plein air


Il est indéniable que les mots en gras font partie intégrante et intégrale de nos contes : la Belle au bois dormant, Blanche Neige, Alice au Pays des merveilles, etc.

Et si je rajoute à cette liste la lettre A (différente du Á), des mots, toujours à connotation mythique, apparaissent :

- Ara = jeune mariée
- Aras ! = moisonne !
- Arc = visage
- Varjú = corneille

Etc.
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MessageSujet: Écriture "Vieille Europe" : les contes (2)   CLÉS DONNANT ACCÈS AU MYSTÈRE CHRISTIQUE - Page 3 Icon_minitimeDim 17 Fév 2013, 00:18

Citation :
Voici la liste (probablement non exhaustive), dans un premier tant, des mots construits à l’aide exclusivement de ces logographes « purs » (les autres lettres n’étant QUE des voyelles-consonnes « remplissant » les « vides autour » d’Ú):

1) bú = chagrin; tristesse (bú qui se prononce "bou" !)
2) sár = boue (mot dont la première syllabe constitue le nom Sára/Femme (?!)).

5) sarj = progéniture; rejeton
12) szúr = piquer; frapper; enfoncer; point de côté


S’il est vrai que parmi les deux listes, le mot « boue » (= sár) soit présent en première place, je ne lis nulle part, que l’Humain a été créé « à l’image de Dieu » et ce, à partir « de l’argile » ou qu' « Eve soit sortie de la côte d’Adam ».

Elles racontent une toute autre histoire...
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MessageSujet: Le Point-Foyer, le champ de manifestation - le Créationisme   CLÉS DONNANT ACCÈS AU MYSTÈRE CHRISTIQUE - Page 3 Icon_minitimeJeu 28 Fév 2013, 20:18

Bonsoir à tous,

Un parallèle peut être fait entre le « Créationnisme » ayant démontré que

Citation :
(...) Tous les phylums du règne animal connus à ce jour, sont apparus en même temps à la surface du globe, pendant une période de temps géologique connu sous le nom de Cambrien.

Citation :
les fossiles de la période cambrienne ont « retourné » l’arbre (évolutif) de Darwin « de haut en bas » :
La base de l’arbre est « large » et il se resserre graduellement à l’image d’un cône renversé ou d’une pyramide.

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et l’Arbre de Vie Kristique qui :

- d’une part, s’il peut être comparé à une pyramide forme en réalité, en plan, l’Octaèdre Kristique ;
- d’autre part, comprend en son sein, le Champ de Manifestation d’un individu (ou son Potentiel Créatif) à ne pas confondre avec le Point UN (de la Création) ou point-foyer de l’Eternel.

Donc, les Créatures animales, végétales, humaines n'ont été créées à partir d'un « centre/point »
unique.

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Il est aussi intéressant de remarquer que ces même créationnistes affirment que :

Citation :
« Une espèce recevrait toute une série de caractéristiques lors de sa création. Certaines caractéristiques seraient utilisées par elle au cours de son existence et d’autres resteraient en « sommeil ». Si besoin s’en fait ressentir (changement de milieu ou pour toute autre raison), l’espèce pourrait s’adapter et utiliser les caractéristiques qui sont en sommeil en elles. Mais en aucun cas, elle ne pourrait développer de nouvelles caractéristiques non prévues dans son « programme initial ».

(...) Ils partent du principe que l’observation montre que le chaos ne peut produire l’ordre car sans direction, il y a détérioration. L’univers est régi par des lois très compliquées. La plus simple des cellules vivantes est extrêmement complexe.

(p. 83-84 du livre Origine de la Vie)
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MessageSujet: Re: CLÉS DONNANT ACCÈS AU MYSTÈRE CHRISTIQUE   CLÉS DONNANT ACCÈS AU MYSTÈRE CHRISTIQUE - Page 3 Icon_minitimeDim 10 Mar 2013, 12:50

AMBRE a écrit:
LE SCORPION

Méditation spirituelle pour le temps du Scorpion

Depuis les débuts de la Période de la Terre, la hiérarchie créatrice du Scorpion a donné à l'humanité des modèles de formes-pensées cosmiques. Ces modèles ont appris à l'Homme à construire les véhicules dans lesquels il s'incarne aujourd'hui. D'où l'appellation de «Seigneurs de la Forme» attribuée aux membres de la hiérarchie du Scorpion. Selon Rudolf Steiner, le cerveau-intellect de l'Homme n'est en fait qu'une coupe servant à puiser dans ces pensées archétypales. A l'aube de l'évolution humaine, les étudiants des Mystères du Temple pouvaient contacter directement les hiérarchies créatrices et prendre conscience de l'énorme service qu'elles rendent à la race humaine. Voilà pourquoi on intégra l'astrologie spirituelle au programme d'étude du Temple; aucun candidat n'y avait accès sans s'être conformé au préalable à une longue et difficile période probatoire.

Le principal mot-clé du Scorpion est transmutation. Entre l'équinoxe d'automne et le solstice d'hiver, alors que la Force christique pénètre toujours plus profondément dans notre globe, l'Archange Michaël -second en fait de gloire et de puissance après le Christ Lui-même- s'efforce de nettoyer et de transmuer les désirs vils de l'Homme. L'accumulation de ces émotions négatives prend la forme d'un sombre nuage miasmique suspendu au-dessus de la terre. Le Christ et Michaël purifient et transmuent les formes-pensées mauvaises générées par l'humanité et qui imprègnent l'atmosphère mentale de la planète. Grâce à ces deux Archanges de lumière, l'Homme a accès à une substance-pensée et désir plus pure qui lui permet d'affiner ses corps mental et astral. Ainsi purifiés, ceux-ci renforcent à leur tour les véhicules éthérique et physique.

Le Scorpion demeure le signe-mystère du zodiaque. On lui attribue deux formes: un scorpion, animal qui transporte le dard de la mort dans sa queue, et un aigle, l'oiseau qui peut s'élever le plus près du soleil. Ces symboles représentent deux aspects fort différents du signe que nous étudions. Sous l'influence du scorpion, l'Homme peut atteindre les profondeurs de la dégradation; sous celle de l'aigle, sa nature inférieure se transmue et l'élève vers les sommets spirituels les plus transcendants.

Un autre aspect du «paradoxe Scorpion» concerne les influences Eau et Feu qui s'exercent par ce signe constitué d'éléments opposés: en effet, le Scorpion, signe d'Eau, se trouve gouverné par Mars , planète de Feu. Cette situation attire de nouveau notre attention sur les propriétés mystiques du Scorpion et sur son rôle dans la régénération qui doit nécessairement précéder l'illumination. Car celle-ci ne devient possible qu'après l'union harmonieuse des principes Eau et Feu.

Ce Mariage Mystique se produisit jadis au moment où le Rayon igné de l'Archange Christ prit possession du corps du Maître Jésus. Membre de la race humaine, Jésus fait partie de la hiérarchie des Poissons, harmonisée au principe aqueux. Ce qu'accomplit par la suite l'Être composite connu sous le nom de Christ Jésus démontre avec éclat l'idéal auquel parviendront, à un degré ou à un autre, tous les Hommes qui auront appris à unir en eux les principes Feu et Eau. Le Christ enseigna cette vérité à Nicodème lorsqu'il lui dit: «En vérité, en vérité je te le dis, à moins de naître d'eau et d'Esprit [le principe igné], nul ne peut entrer au Royaume de Dieu.»

L'Homme ne maîtrisera son environnement que le jour où il harmonisera les forces discordantes qui agissent en lui. Il accédera alors au mystère si bien gardé du Scorpion. La génération deviendra régénération et on ne verra plus jamais de tragédies comme celles de Caïn et Abel ou d'Hiram Abiff et Salomon. Les facteurs qui ont trop longtemps divisé ces deux courants opposés de l'humanité se soumettront alors au principe qui unit et harmonise tout. Plusieurs mythes et légendes -religieux et profanes- témoignent de cette vérité; cependant, seule l'étude de l'astrologie spirituelle nous fait comprendre pleinement et clairement son sens le plus profond.

Versés dans les mystères des astres, les anciens Égyptiens diffusèrent leurs conceptions de la polarité sous forme d'images afin que, par le biais de symboles appropriés, tous puissent s'approcher intuitivement de ces enseignements. Ainsi, ils représentaient le Scorpion par un squelette couché dans une tombe ouverte surplombée d'un arc-en-ciel. Dans le thème astrologique, le Scorpion gouverne la maison huit, celle de la mort mais aussi de la régénération. On l'appelle par conséquent la maison du scorpion et de l'aigle. Les formes impures et imparfaites sont heureusement sujettes à mourir. Seule devient immortelle l'essence de l'expérience physique amassée et incorporée dans la nature supérieure de l'Homme. C'est cette essence que l'âme assimile. Grâce à l'influence du Scorpion sur la régénération, les formes physiques et la mort deviennent pour l'esprit des échelons menant à une vie plus élevée, à une incarnation dans des véhicules comportant des éléments d'immortalité.

En tant que symbole des pouvoirs du Scorpion, le squelette représente également le fonctionnement de la loi karmique. Il devient alors le spectre à la faux qui vient abattre l'humanité, faucher les formes de nature transitoire. Mais ce symbole comporte aussi une autre signification: bien que l'Homme ait identifié à tort la vie à ces formes éphémères, elle ne dépend pas d'elles pour exister. Parmi les corps abattus se lèvent en effet de nouvelles mains, de nouveaux bras, de nouveaux pieds, preuve de la suprématie de l'esprit sur la matière et de l'action de la loi cyclique des renaissances. L'arc en ciel surplombant la tombe représente l'humanité. Ce symbole éclaire ainsi une autre facette de l'aspect régénérateur du Scorpion : la promesse du jour où la tristesse, la douleur et la mort ne seront plus.

Le sentier de la sainteté à travers le Scorpion

Le disciple qui foule le sentier de la sainteté en suivant le Rayon d'or du Christ vers le centre de la terre profite du mois du Scorpion pour parfaire en lui et dans son existence quotidienne le processus de la transmutation. Il s'efforce alors de sublimer le mal en bien, l'obscurité en lumière, le négatif en positif dans tous les secteurs de sa vie. Il se consacre ainsi à transmuer le vil métal de sa nature inférieure en or pur de l'esprit. Le laboratoire où s'accomplit ce Grand Oeuvre est le cordon médullaire qu'on appelle aussi parfois «le sentier de la qualité de disciple». Lorsqu'il s'éveille, le Feu purificateur du cordon médullaire s'active premièrement à la base de l'épine dorsale. Pendant son ascension, il vient s'unir à un Feu spirituel de nature similaire qui, lui, vient d'en-haut. Ces deux Feux deviennent de plus en plus forts et intenses jusqu'à illuminer tout le corps du disciple. Cette lumière, tous ceux qui possèdent la vision intérieure peuvent la voir. Alors, pour la première fois, un Feu céleste consume littéralement sa nature inférieure. L'aspirant devient lui-même la lampe qui le guidera désormais le long de la voie qui mène au centre de la terre, là où réside la Gloire du Christ. Plus sincère sa consécration, plus loin il se retrouvera sur ce sentier à chaque retour de la saison du Scorpion. Puis un jour viendra où on le trouvera digne de participer à la fête de la lumière célébrée lors de la Sainte Nuit.

Sous l'angle biblique ou astrologique, deux phrases-clés sont associées au Scorpion, Elles illustrent bien ce que nous venons de dire de ce signe mystérieux. Voici la phrase-clé donnée au néophyte: «Heureux les coeurs purs, car ils verront Dieu ». Et celle offerte à l'illuminé: «ma bouche clamera des choses cachées depuis la fondation du monde ».

Parabole biblique pour le temps du Scorpion Le figuier stérile

Comme il entrait en ville de bon matin, il eut faim. Apercevant un figuier près du chemin, il s'en approcha, mais n 'y trouva rien que des feuilles. Il lui dit alors: «Jamais plus tu ne porteras de fruit!» Et à l'instant même le figuier devint sec. A cette vue les disciples furent tout étonnés: «Comment, en un instant, le figuier est-il devenu sec?» Jésus leur répondit: «En vérité, je vous le dis, si vous avez une foi qui n 'hésite point, non seulement vous ferez ce que je viens défaire au figuier, mais même si vous dites à cette montagne: "Soulève-toi et jette-toi dans la mer", cela se fera.

Le Scorpion possède une énorme puissance. Son influence s'étend à la fois aux phases les plus basses de la dégradation et aux niveaux les plus élevés de la régénération. Il dissimule des abysses insoupçonnés et des sommets transcendants. Lorsque l'aspirant apprend à s'harmoniser parfaitement aux forces du Scorpion, il peut accomplir des miracles sur les plans physique et spirituel. La parabole associée au Scorpion demeure l'une des plus controversées de toute la Bible; en elle se cachent de profondes vérités ésotériques.

Le symbolisme spirituel associe le figuier à la génération. Le Christ, Seigneur de la vie et de l'amour, n'aurait jamais maudit une chose vivante à seule fin de la faire périr, car Ses paroles et Son toucher ne confèrent que la vie. Cette parabole ne renferme pas une malédiction mais l'énoncé d'une vérité immuable. La loi qui régit la génération n'est pas éternelle. Son mauvais emploi, duquel découlèrent guerres, maladies, vieillissement et mort, ne faisait pas partie du plan divin originel. La perversion de la force créatrice expulsa Adam et Ève du jardin d'Eden. L'Apocalypse mentionne 144 000 élus marqués au front du sceau du Christ et qui reçurent permission de franchir les portails du Temple . Ce sont les pionniers qui ont transmué la génération en régénération.

La génération des corps, telle que pratiquée aujourd'hui, ne constitue qu'une phase transitoire du cycle évolutif. Au cours du nouvel âge, les pionniers sauront discerner le réel de l'irréel, le permanent du transitoire. L'amour supplantera la luxure et l'immortalité, la mortalité. Comme l'a dit saint Paul, l'Homme trouvera en lui le Christ, «l'espérance de la gloire ». Là réside la signification des paroles qu'adressa notre Seigneur béni au figuier: «Jamais plus tu ne porteras de fruit!» Et, à l'instant même, le figuier devint sec.

Le signe du Scorpion nous offre une vue kaléidoscopique du statut évolutif de l'humanité. La sublimation de la génération en régénération est symbolisée non par l'image du scorpion rampant qui transporte le dard de la mort dans sa queue, mais par celle de l'aigle s'élevant en ligne droite jusqu'au soleil.

extrait d un texte de Jean paul Barrière que j ai déjà partagé il y a un an sur nouvelle énergie...
mais d actualité
...encore et pour toujours... :50:
voir aussi cette page:
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http://assoc.pagespro-orange.fr/rosae-crucis/
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MessageSujet: Écriture "Vieille Europe" : la Couronne sur l'Arbre de Vie   CLÉS DONNANT ACCÈS AU MYSTÈRE CHRISTIQUE - Page 3 Icon_minitimeSam 20 Avr 2013, 01:27

Citation :
Les Authentiques Kabbalistes positionnaient le « KRN » (KoRoNa), la couronne Kether non pas « directement » sur la 10e sphère de l’Arbre (qui en réalité, est un Arbre de Vie à 12 centres Kristiques) mais au-dessus de la Tente de Dieu ou Tente des Justes, sur le glyphe de l' « Ú ».

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Au sujet des couleurs utilisées :

Citation :
Il me fut permis à différentes reprises d’expérimenter les couleurs dites « invisibles à l’oeil » et de découvrir les Couleurs « hors du spectre des 7 couleurs primaires » (ou couleurs de l’arc-en-ciel).

« Au-delà » de la 12e (couleur) blanche Solaire du Midi apparaît le Turquoise Pâle, puis le Jaune Pâle et ENFIN, le « Rose » Pastel (ou rose bonbon comme je l’ai appelé, c'est-à-dire le magenta). Ces Trois couleurs « supplémentaires » sont TOUTES liées à la Femme/Sára.

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Citation :
Sepher ha-Bahir chapitre 91 :

« Mais pour quelle raison est-elle [Kether, la Couronne] à la fin du mot écrit, et non pas en tête ? Pour t’enseigner que cette couronne monte haut, toujours plus haut.

Que faut-il entendre par là ?

Que cette couronne est une pierre dont toutes choses proviennent et sont couronnées, ainsi qu’il est écrit : La pierre que les constructeurs ont rejetée est devenue la pierre d’angle » (Psaumes 118, 22).
Et elle remonte jusqu’au lieu d’où elle fut taillée, ainsi qu’il est écrit : « dont le Nom fit vibrer la Pierre d’Israël »
(Genèse 49, 24) ».

Eléazar de Worms :

« Lorsque la Atarah est sur la tête du Créateur, elle porte le Nom Akatriel, alors cette Couronne (Kether) est cachée à tous les anges saints, elle se dissimule dans cinq cent mille parasanges. Alors, les anges demandent l’un à l’autre : « Où est le lieu de sa gloire ? » À son propos David dit : « Toi qui siège dans la cache du Très-Haut, toi qui loges à l’ombre de Chaddaï » (Psaumes 91 :1) – nous logeons dans les prières de Chaddaï puisque la prière est l’Ombre du Saint béni soit-Il, et elle siège à la gauche du Saint béni soit-Il comme une jeune épouse auprès du jeune époux et elle est appelée fille de roi. Parfois, en raison d’une mission elle est appelée « fille de la voix ». À son propos Salomon dit : « Je serai une habitante auprès de Lui » (Proverbes 8 : 30).

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MessageSujet: Différences entre les 4e et 7e chacra et le SEPT et QUATRE    CLÉS DONNANT ACCÈS AU MYSTÈRE CHRISTIQUE - Page 3 Icon_minitimeLun 29 Avr 2013, 23:37

Bonsoir á tous,

Une différence Cruciale transparaît tant entre le 7e chacra de corps humain et le " Sept de l'Eternel" qu'entre le 4e chacra (cardiaque) et le " Quatre de la Tente de Dieu ", Lieu de la Compréhension.

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MessageSujet: Écriture "Vieille Europe" : Le Signe de la Croix X   CLÉS DONNANT ACCÈS AU MYSTÈRE CHRISTIQUE - Page 3 Icon_minitimeDim 12 Mai 2013, 22:35

Bonsoir à tous,

A la suite d’une Vision attirant mon attention sur la manière dont deux Nombres furent dévoyés, mes pas me menèrent au « Signe de la Croix » et plus précisément, au dernier mot du : (Au Nom) du Père, du Fils et du Saint-Esprit, AMEN.

C’est au moment oú je m’interrogeais sur le pourquoi de cette Nécessité d’étudier le Signe de la Croix que me sauta aux yeux le miroir de « Amen ». Concrètement, le mot Amen donne « Néma » signifiant un (une) MUET(te).

Cette re-connaissance qu’une PERSONNE fut PRIVEE DE LA PAROLE (et l’est encore aujourd’hui), me conduisit à analyser la Vibration énergético-sonore de Néma/AMEN.

Celle-ci s’avéra correspondre aux chiffres de ma Vision à savoir le 53/8- qui me fut également montré spéculairement sous la forme de 35/8-. Selon, ce que j’en ai vu, ces chiffres ont été perverti par « liens régressifs entre eux ».

Le Rapport du Nombre « 8 » avec le Signe de la Croix n’apparaît entièrement que lorsque les mots Père, Fils et Saint-Esprit sont détaillés à la manière du mot néma/amen.

- Père = ATYA : 1+34+1= 36 = 9 ;
- Fils = FIÚ : 10+14+37 = 61 = 7 ;
- Saint-Esprit = SZENT LÉLEK : 32+7+22+33+19+9+19+18 = 159 = 6 ;

Et
- Amen = NÉMA : 22+9+21+1 = 53 = 8-
- Amen = NÉMA : 4+9+3+1 = 17 = 8-

--> LA FILLE, est la Personne a qui la Parole fut « interdite » par des groupes d’entités régressives.*

Citation :
Citation :
* Voici comment et pourquoi, les Femmes ont pu être « diabolisées » et le sont encore aujourd’hui, alors pourtant que la Fille naît d’une « double Vertu », propriété de « La Femme 4 » ! : Lány = 19+2+23 = 44 = 8

- NOM = NéV : 22+9+40 = 71 = 8

- Diable = ÖRDÖG : 26+29+6+26+11 = 98 = 17 = 8 (NB. : Ördög = Gödör = Diable = Fosse ; excavation)
Et « son reflet exacte » :
- Satan = SÁTÁN : 30+2+33+2+22 = 89 = 17 = 8
** Ce début d’analyse du nombre « 17/8 » met en évidence l’importance que revêtent les MOTS mais surtout le Nom porté par les Entités. C’est, en effet, « Le Nom » ou Vibration Sonore, Energétique et Lumineuse qui permet de RE-connaître et de distinguer les entités déchues de celles qui ne le sont pas.

A l’aide de cette méthode, nous découvrons que le Nom METATRON, par exemple, s’avère bien être au/de « Premier Plan ». Tout simplement, parce que la Valeur rovasique de ce Nom est 170 « Tout Rond » : Metatron 21+7+33+1+33+29+24+22 = 170 = 17 = 8.

(…) Les kabbalistes hébraïques ont brouillé les pistes en ne distinguant pas le nombre « 8+ » du nombre « 8- » : METATRON = 314= 8- qui porte dans les écrits, également le nom de « NAAR » de valeur 53/8-.

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A la lumière de ce qui précède, des constatations s’imposent d’elles-même car :

1) Ces quatre chiffres 6-8 (groupe pair) et 7-9 (groupe impair) non seulement, correspondent respectivement aux Polarités féminines et masculines mais donnent aussi, la SOMME de 3, le Nombre de Dieu/ÚR/la Lumière : 66 = 12 = 3.

2) Le 3e róvás X, l’équivalent de la lettre latine « B » donne un seul et unique MOT (= Szó = 12 = 3) d’une syllabe, le mot

- qui se traduit par ABONDANCE, Foisonnant ; Ample, Vaste ; Copieux, Riche.

- qui a également une valeur de Trois : BŐ = 3+27 = 3+9 = 12 = 3.

- et dont le pictogramme exacte est KX, róvás qui si lu en latin, peuvent se prononcer Krist. Ces lettres semblent correspondre à l’ACRONYME du Couple Sacré puisque le graphe K réfère Ő c’est-à-dire Lui/Elle et oú donc, Lui/Elle forment le X, la Croix.

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3) Le Signe de la Croix de l’Eternel s’écrivait bien à l’origine X et non pas + ou . C’est ce 3e signe rovásique X qui donna le TaV/TaW phénicien et puis seulement, celui des langues sémitiques.

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4) La « mise à la verticale » de ce X pour former le + s’est fait « vers l’arrière » de manière rétrograde. Cette manœuvre permit de justifier la (fausse) existence d’un Dieu Masculin tout comme la Primauté de l’Homme (Adam) sur la Femme au détriment de l’Equivalence des Energies Polarisées et ainsi instaurer la fictive élévation verticale dite Transcendance.

5) Si nous positionnons sur l’authentique Croix, les Nombres correspondant aux Polarités, nous constatons :

- que 8 (la Fille) + 7 (le Fils) = 15 = (6 ou l’ENFANT Solaire).
- que 9 (le Père) + 6 (le Saint-Esprit) = 15 = (6)


Au sujet du 7 et 8 = 15 cf. également le développement sur Les Róvás et le Tarot - Le Chariot ou Char de Triomphe : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
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MessageSujet: Écriture "Vieille Europe" : Le Signe de la Croix X (2)   CLÉS DONNANT ACCÈS AU MYSTÈRE CHRISTIQUE - Page 3 Icon_minitimeDim 12 Mai 2013, 23:30

Voici, le mouvement rétrograde que la Croix de l’Eternel X a subi pour devenir la croix latine de la crucifixion empêchant la Circulation des Flux énergétiques dans l’Arbre de Vie Corporel :
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Au moment de la Fusion, l’Homme ET la Femme se retrouvent, tous deux, sur le Plan Horizontal parce que les Polarités individuellement sont simultanément tant dans l’Espace que sur la Terre. Cet état de fait a été confirmé par l’étude du carré de Sátor et Rotás dans lequel le Plan Horizontal, nommé la Prairie (ou RéT) est de Valeur énergétique identique à celle de l’Espace (ou TéR) à savoir le 8.

En images, cela donne :

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Croix dite Monadique
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Cette approche remet, bien entendu, en question la notion de « Finalisme » et par conséquent, les concepts de Transcendance et d’Immanence enseignés dans les religions ainsi que parmi les kabbalistes et sociétés secrètes de toutes obédiences.

Citation :
Le finalisme est une option théorique qui affirme l'existence d'une cause finale de l'univers, de la nature ou de l'humanité. Elle présuppose un dessein, un but, une signification, immanents ou transcendants, présents dès leur origine. Le finalisme se retrouve souvent dans l'évocation de processus d'évolution biologique, dont le « but final » serait par exemple l'apparition de l'espèce humaine. Cette perspective est aussi dite téléologique.

(…) Spinoza a critiqué le finalisme au XVIIe s. notamment dans l'appendice à la première partie de Éthique, par un argument propre à sa philosophie selon laquelle le monde et l'être suprême ne se distinguent pas : si l'être suprême poursuivait des finalités, alors il ne serait pas suprême. En effet, l'être suprême est absolument infini or seul un être fini ne se suffit pas à lui-même et doit donc chercher hors de son état initial ce qui serait susceptible de le compléter. Par ailleurs, ce philosophe se propose aussi d'expliquer les causes de la croyance selon laquelle des finalités qui nous dépassent seraient à l'œuvre dans la nature : c'est par ignorance des causes réelles qui déterminent les phénomènes naturels et parce qu'ils se connaissent uniquement comme cherchant ce qui leur est utile, que les hommes croient connaître quelque chose quand ils en ont imaginé une cause finale. Le finalisme repose sur l'idée qu'il existerait une volonté comparable à celle de l'homme ayant organisé toutes choses dans la nature pour son utilité. Or tout ce qui existe dans la nature n'existe qu'en tant que façon d'être de Dieu, autrement dit mode de la substance absolument infinie. Rien ne peut donc être déterminé par des causes finales. Autrement ce serait considérer Dieu comme imparfait, manquant de quelque chose puisqu'il aurait besoin de la réalisation de ces fins pour son utilité.
Donc, le finalisme est incompatible avec le panthéisme : si le fonctionnement et le développement de l'univers s'expliquent par une pensée suprême recherchant des effets, il faut qu'elle soit transcendante (et non immanente) à celui-ci, visant des fins pour l'univers et non pour elle-même.

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Le panthéisme

Système philosophicoreligieux qui affirme l’identité substantielle de Dieu et du monde et n’admet d’autre Dieu qu’une substance infinie dont tous les êtres sont des modes.

Le panthéisme est l'idée fondamentale de la doctrine de Bouddha, mais c'est un panthéisme raffiné. Or, le panthéisme, quand on le raffine, mène loin : s'il n'y a qu'une substance absolue dont toutes les existences particulières sont des manifestations, on sera facilement conduit à nier que ces existences soient autre chose que de purs phénomènes, c'est-à-dire des apparences, ….

(Jean-Jacques Ampère, La Chine et les travaux d'Abel Rémusat, Revue des Deux Mondes, 1832, tome 8)


Citation :
Symbolique du signe de la croix

Le geste de tracer un signe de croix sur le front est un des rites chrétiens les plus antiques. La croix, symbole principal du christianisme, est considérée de nos jours comme l'image du gibet de la crucifixion du Christ, mais sa symbolique est plus ancienne. Tracer une croix sur le front comme symbole d'appartenance à la communauté messianique était déjà utilisé comme marque distinctive par les esséniens.

Il se réfère à une prophétie du livre d'Ézéchiel : Ézéchiel 9:4-6 - « Passe par le milieu de la ville, et marque d'un signe le front des hommes ». Les « 144 000 élus » mentionnés dans l'Apocalypse portent également au front un signe marquant leur consécration à Dieu, qui serait ce Tav. Le geste de tracer une croix sur le front avec le pouce était utilisé lors du baptême, ou tracé usuellement en symbole de protection.

Évolution

Jusqu'au VIIe siècle, le signe de croix resta en général un geste effectué sur le front avec le pouce, le signe du TAV, désigne Dieu. Cette lettre Tav pouvait, au temps du Christ, être représentée par le signe + ou le signe x. La façon de se signer a ensuite évolué au fil du temps et des schismes qui ont séparé les Églises chrétiennes, en un geste plus ample et intégrant d'autres symboliques.

À partir du septième siècle, les chrétiens en Orient (le monde grec) et en Occident (le monde latin) se signent avec trois doigts. Exactement, comme se signent encore aujourd'hui les chrétiens orthodoxes.

À partir du XIIe siècle et le schisme entre chrétiens orthodoxes et catholiques, le catholicisme fait évoluer le signe de croix (on ne signe ne plus avec trois doigts mais avec la main), pour les catholiques. Les orthodoxes continuant de se signer avec trois doigts.

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Les Premières Images chrétiennes. Du symbole à l’icône est un essai dans lequel Frédérick Tristan étudie la formation des premières images du christianisme des origines jusqu’au VIe siècle. Le fil rouge de cette étude est la notion de l’hébreu kabod (la gloire) qui connote le tau de la Septante (tav hébreu) dans un sens lumineux. Ce n’est qu’au VIe siècle, avec les Évangiles de Rabula, que la représentation de la croix glorieuse se changera en crucifixion.

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Citation :
Les Évangiles de Rabula, ouvrage conservé à la Biblioteca Medicea Laurenziana de Florence, cod. Plut. I, 560, sont un manuscrit enluminé syriaque des évangiles du VIe siècle. Il a été achevé en 586 au monastère de Saint-Jean-de-Zagba, situé probablement en Syrie. Il a été signé par son scribe, Rabula (Rabbula), au sujet duquel on ne sait rien d'autre. Le manuscrit comporte 292 folios.

(...) Le manuscrit est enluminé avec un texte encadré de motifs floraux et architecturaux élaborés. Il y a aussi quelques miniatures, dont une de la Crucifixion, de l'Ascension et de la Pentecôte.
L'histoire du manuscrit est inconnue jusqu'au XIe siècle. Il est mentionné en 1289 dans un monastère de Maipuc, et en 1361, il est localisé au monastère de Qannoubine.

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MessageSujet: Écriture "Vieille Europe" : Le Signe de la Croix X (3)   CLÉS DONNANT ACCÈS AU MYSTÈRE CHRISTIQUE - Page 3 Icon_minitimeLun 13 Mai 2013, 00:29

Bonsoir à tous,

En plus du Signe de la Croix (tronquée de la Fille), mon attention fut attirée sur les Doubles Valeurs sémantiques de certains MOTS Clés.

En effet, mise sur la piste de l’existence de l’écriture spéculaire, en miroir, grâce au mot « NOM/Név » mettant à jour, dans les cas développés, la ruse utilisée par les entités déchues pour Tromper les Humains,

- NOM = NéV : 22+9+40 = 71 = 8
- NOM = NéV : 4+9+4 = 17 = 8-

je remarquais que parmi les mots septenaires tels : :

- Arbre de Vie = ÉLETFA : 9+19+7+33+10+1= 79= 16 = 7
- Arbre de Vie = ÉLETFA : 9+1+7+6+1+1= 79= 25 = 7 ; 9+10+7+6+10+1 = 43 = 7

- Matrice = MÉH : 21+9+13 = 43 = 7
- Matrice = MÉH : 3+9+4 = 16 = 7

- Sphère = GÖMB : 11+26+21+3 = 61 = 7
- Sphère = GÖMB : 2+8+3+3 = 16 = 7

- Terre = FÖLD : 10+26+19+6 = 61 = 7
- Terre = FÖLD : 1+8+1+6 = 16 = 7

le chiffre SEPT s’obtenait autan par 6+1=7 (Fils = FIÚ : 61=7) que par 4+3=7 ou encore par 2+5=7 tel le Chariot du Tarot.

Citation :
1) Diadal = TRIOMPHE = 47 = 11 (ou la lettre « G », le Verbe) = 2 ;
Si le Nombre 11 et le Verbe sont équivalents, le deux ne représente pas la « dualité » (Noir/Blanc) du monde d’en-bas (!) mais bien, le Verbe véhiculé par La Papesse ou La « Prudence ».
2) Szekér = CHAR, Chariot = 95 = 14 = 5

---> 2 + 5 = 7, Le Chariot

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Citation :
p. 362 : entretien 82

(...) Soudain, un étrange rêve qu’Hanna avait jadis raconté me revient. Pendant leurs années d’études, alors que Joseph et elle se rendaient au festival de Dürer à Nuremberg, tous deux avaient, la même nuit, fait le rêvé suivant :
Dans le Nuremberg médiéval, Hanna désespérée courait derrière un chariot sur lequel Joseph, enchaîné, était conduit au supplice. Joseph avait rêvé la même chose : il était assis sur le chariot et Hanna désespérée, courait derrière lui.
Je me demande, n’ont-ils accepté tous deux, il y a fort longtemps, ce rôle de « faible », de « victime » ? Je me garde de poser cette question à Hanna qui de toute façon doit endurer beaucoup.
Tard le soir, à nouveau, je note une partie :


... l’amante cède,
si l’amant vient.

Les deux sont un.
Il n’y a plus dorénavant de liens,
parce qu’il n’y a plus de brèches
.
Tremblement éternel, glorification, apothéose.

Le mystère de la Sainte Trinité est :
Amante - amour - amant.
Les trois sont un,
et pourtant distincts.

L’Eternel agissant est le Verbe, [= iGe]
le OUI. [= iGe + N = igen]
L’enseignement :
Lui/Elle EST.


p. 363 : entretien 83

L’héritage, l’existence éternelle, que Lui/Elle vous a légué,
la vigne, l’éternelle fructifère.

Mystérieux, merveilleux enseignement
l’immaculée, l’éternelle conception.

A l’existence éternelle Sept marches conduisent.
Sept pas, qu’effectuer vous pouvez.
La première naissance, la païenne, est la matière.
La deuxième est la purification, la plante.
La troisième, le don de soi, l’harmonie.
La quatrième est la maison, la chambre nuptiale décorée.
Par les trois marches d’en haut
Descend le Fiancé : la LUMIERE.
Si le Fiancé trouve la Fiancée,
avalée est la mort pour toujours.


Les trois pas sont le temps :
Le passé : purification.
Le présent : don total de soi-même.
Le futur : noces.

Les deux Amants sont issus DE LUI/ELLE,
de l’éternel Natif.
A LA PLACE DE LA LUMIERE SANS CORPS,
ET DU CORPS SANS LUMIERE,
LE NOUVEAU : LES DEUX AMANTS UN.
LE VERBE DEVINT CHAIR,
ET LA MATIERE DEVINT LUMIERE.

C’est cela la conception, c’est cela l’amour
éternel et immaculé.
Après, il n’y a plus de Bethléem,
plus de tombeau, et plus de résurrection.
Le Nouveau Krist est robe de lumière,
ses yeux sont feux, ses cheveux flamboyant.
Il n’y a plus de naissance, et plus de mort.
La mort fait mal, et la naissance fait mal,
parce qu’elles sont encore plaie, elles sont encore brèche.

Félicité, Union.
La nouvelle maison est la Quatrième,
bâtie depuis l’éternité
décorée pour le Fiancé...

Avant de poursuivre, la Somme 3+4 = 7 mérite que l’on s’y attarde un moment puisqu’elle cache en son sein, son Rapport Direct avec le VERBE. Le Verbe ou iGe a valeur sémantique de 34 (Trois + Quatre = SEPT), en sachant que la Valeur du mot « MOT = Szó » est de TROIS et celle de « S, la Tente des Justes », de QUATRE !

Quant á l’addition des chiffres 2+5 = 7, elle correspond aux valeurs des mots PAIN et VIN :
- Pain = KENYÉR : 18+7+23+9+29 = 86 = 14 = 5
- Vin = BOR : 3+24+29= 56 = 11= 2

---> 5 + 2 = 7, Le Pain et le Vin.

- Pain = KENYÉR : 18+7+23+9+29 = 86 = 14/5 ou 32/5
- Corps = TEST : 33+7+31+33 = 104/5 ou 23/5 (avec 6+7+4+6)
- Vie = ÉLET : 9+19+7+33= 68 = 14/5 ou 23/5
- Main = KÉZ : 18+9+41 = 68 = 14/5 ou 23/5
- Doigt = UJJ : 36+16+16 = 68 = 14 ou 23/5
- Jumeau = IKER : 14+18+7+29 = 68 = 14/5 ou 23/5

Úr ou Űr ? L’Eternel n’est pAS identique au Néant ou Vide.

- Néant = ŰR : 39 + 29 = 68 = 14 = 5 (seulement)

- Oiseau = MADÁR : 21+1+6+2+29 = 59 = 14 ou 23/5
- Plume = TOLL : 33+24+19+19 = 95 = 14 ou 23/5
- Gauche = BAL : 3+1+19 = 23/5

---> Tous ces mots n’ont qu’une valeur linéaire de CINQ et se situent dans la « Matière Polarisée », c’est-à-dire dans le Carré de l’Arbre de Vie et donc SOUS la tente de Dieu.
(cf. le Carré de Sátor et Rotás, « en-dessous » de l’Eternel ÚR)

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Oui MAIS (!), comme en mains endroits au cours de notre histoire, des mots à sonorité différente, sont introduits en lieu et place d’autres mots. Dans les religions chrétiennes, c’est le mot « vin » qui prend la place du mot SANG, cachant ainsi les Liens existant entre l’Arbre de Vie (15), la Fleur de Vie (15) et justement le Sang (15), tous vibrant à une fréquence dimensionnelle de Quinze.

En effet, le Nombre Quinze, hormis son lien incontestable avec l’ENFANT/Fils Solaire, met en évidence l’importance des Mots SANG et FLEUR puisque tous deux ont une valeur énergético-sonore de 15.

- Fleur = VIRÁG : 40+14+29+2+11 = 96 = 15
- Fleur = VIRÁG : 4+5+2+2+2 = 15

- Sang = VÉR : 40+9+29 = 78 = 15
- Sang = VÉR : 4+9+2 = 15

Citation :
Et comme « par hasard », ce mot hongrois « vér » signifie justement « sang » en hongrois.
- Vér = (le) Sang ;
Et son verlan « rév » est, au figuratif, un synonyme pour dire « Havre de Salut ».
- Rév = port ; passage ;

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Cette Compréhension ici développée à l’aide des Róvás est identique à l’activation de mon propre Corps Arborescent ainsi qu’à l’expérience de Fusion avec ma Flamme qui n'est PAS mon Jumeau.

Le Jumeau du Plan de la Matière (= 23/5) n’est pas assimilable à la Flamme jumelle (= 15) improprement rattachée à cause d'un Nom semblable au premier et ainsi confondue avec lui.

Affaire à suivre…


Dernière édition par douceur le Mer 22 Mai 2013, 20:13, édité 1 fois
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MessageSujet: Écriture "Vieille Europe" : Le VERBE s'est fait Chair   CLÉS DONNANT ACCÈS AU MYSTÈRE CHRISTIQUE - Page 3 Icon_minitimeJeu 16 Mai 2013, 18:57

Citation :
Avant de poursuivre, la Somme 3+4 = 7 mérite que l’on s’y attarde un moment puisqu’elle cache en son sein, son Rapport Direct avec le VERBE. Le Verbe ou iGe a valeur sémantique de 34 (Trois + Quatre = SEPT), en sachant que la Valeur du mot « MOT = Szó » est de TROIS et celle de « S, la Tente des Justes », de QUATRE !
Comment Le Verbe s’est-il fait Chair ?

La Chair si dit « Hús » : H = XX ou l’ossature de l’Arbre de Vie Polarisée, Ú ou l’Eternel Infini et S, le chevron Λ ou la Tente.

Notre Arbre de Vie corporel polarisé est lié à la 15e Dimension, tout comme la Fleur de Vie aux 15 Pétales polarisées dans lesquels circulent le Sang Kristique provenant du Cœur Kristique ou « SzíV », chacun séparément de Vibrations égales à 15 : Szív = 32+15+40 = 15.

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Synonyme de CE Cœur Kristique, le « Soleil Intérieur » (ou Monade) fait croître Graines, Arbres et Fleurs de Vie « Solaires » puisque

- Úr = 66 ;
- Graine = MAG : 33 = 6 ;
- Soleil = NAP : 6 ;
- Fleur = 15 = 6 ;
- Sang = 15 = 6 ;
- Cœur = 15= 6

Ce dernier n'est, par conséquent, pas assimilable au simple cœur (physique).
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MessageSujet: Écriture "Vieille Europe" : Huit = 70 ou 60+10   CLÉS DONNANT ACCÈS AU MYSTÈRE CHRISTIQUE - Page 3 Icon_minitimeMer 22 Mai 2013, 20:06

C’est sans surprise que je constate que le mot magyar Huit ou « Nyolc » à lui tout seul fait 70 (septante) c'est-à-dire SOIXANTE-DIX :

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Mais si c’est ce chiffre 70 qui correspond, dans l’alphabet hébraïque, à Ayin, l’Oeil, c’est une Valeur 60 que possède le mot magyar SZEM/œil.

Il est à relever que Szem signifie aussi bien Oeil que Graine !

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Serait-ce pour pouvoir discerner, distinguer la différence entre le 70 et le 60 que le HUIT, l’Intuition ou intelligence du Coeur a une si grande importance ?

Serait-ce parce qu’au milieu de 60+70 = 13 (ou XX) se situe le centre de ce qui est dit être la GRAINE de Dieu ?



- SzÁm = Nombre : 32+2+21= 55 = 10 = 1 donc UN donc SEPT puisque 7 = 1.
SzÁm = Nombre : 5+2+3= 10

- SzEm = Oeil et/ou Graine : 32+7+21= 60 = 6 qui est LE chiffre Solaire par excellence.
SzEm = Oeil et/ou Graine : 5+7+3= 15 = 6

Dans la charte des lettres hébraïques, la 15e lettre est Samech qui se prononce „x”. Et c’est à celle-ci qu’ on associe le SOLEIL !

Citation :
Midi, c’est-à-dire 12 heures (sur un cadran solaire) est donc à l’opposé de 6 heures (et/ou 7 car tous les deux, 6 et 7 ont une provenance commune).

En positif :

- HaT = six, 6
- HéT = sept, 7
- Hét = la semaine

En négatif :

- HáT = dos ; (le) revers ; par derrière
- HiT = croyance


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MessageSujet: Re: CLÉS DONNANT ACCÈS AU MYSTÈRE CHRISTIQUE   CLÉS DONNANT ACCÈS AU MYSTÈRE CHRISTIQUE - Page 3 Icon_minitimeVen 31 Mai 2013, 09:45

Citation :
Sujet démarré sur le forum Antahkarana dans la section "Clés donnant accès au mystère christique" dont certaines informations non pu être partagées avant sa mise en sommeil... PAR DOUCEUR
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Le SEPT :

JESUS (Jézus) = 133/7
Trinité (Háromság) = 133/7

La ROSE (Rózsa) = 16/7
Le (point) Zéro = 16/7
La Matrice (Méh) = 16/7
---> 777

" Ce que les hommes cherchent pourrait être trouvé dans une seule Rose " Antoine de Saint-Exupéry, dans Le Petit Prince.

Le CHEMIN = 70 (= Út ou la 8e note musicale, le do aigu).
Huit = 70
Sátor/Rotás = 70
---> 777

Le ROUGE (Vörös) = 8
Sára, la Femme = 8
La Fille = 8
---> 888

Cf. : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

Pourquoi la Femme a pu-t-elle être assimilée à « Dieu » ?
Parce que le mot Dieu (Isten) a valeur de « 8 » également.
Cf. : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

"Le rouge est Eros – l’amour terrestre.
Le bleu – l’amour du ciel.
Le Pourpre – est SA couleur. [SA = Ő = Il /Elle = la Couleur du Couple Sacré]
(Sa voix prononce ce Ő avec un profond respect)"
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

La FLEUR = 15/6
Le Cœur = 15/6
Le Sang = 15/6
---> 666

Pourquoi est-il dit que : « la Rose est à l’Occident, ce que le Lotus à l’Orient » ?
Car la Fleur de Lotus vaut 7/Sept tout comme la Rose.

L’ARGENT = 150/6
La Lumière = 15/6
L’Etoile = 15/6
---> 666
---> Cf. la « Graine d’Etoile » (≠ la « Poussière d’étoile » ou Néant)

« Ignorez-vous que vos corps sont les membres du Christ ? » (1. Cor. 6/15)

Pourquoi Jésus dit-il : « Je Suis le Chemin, la Vérité, la Vie » ?

Le CHEMIN (Út) = 70
La Vérité = 3
La Vie = 5, la Quintessence
---> 7 + 3 + 5 = 15/6

Pourquoi la Vie est-elle assimilée à la Quintessence?
Parce que le mot Vie (Élet) a valeur de 68, Nombre qui comprend le 6, la Graine et le 8, la Femme/Fille.

Livre Dialogues avec l’Ange ou « L’Ange répond »
p. 331 : entretien 73

La femme, la matière vierge,
dans sa matrice reçoit.
Si elle ne conçoit pas,
si le Nouveau ne grandit pas en elle,
elle rejette la demie graine,
tout le sang, toute la force et la matière
qui lui ont été donnés.
Rejeter la matière morte !
Elle se détache de vous !
D'elle une nouvelle vie peut germer.
Ainsi, ce qui est mort peut aussi être délivré.
Ne vous attachez pas !
Ne craignez pas de couper ce qui est mort !
Cela ne vous fera pas défaut.
Puisque a été greffé en vous le Nouveau, qui croît.

Le secret du jugement dernier est :
Dans SA main rien n’est perdu.
Le Nouveau Bourgeon croît, porte fruits.
La vieille branche est avalée par la fosse,
et devient nourriture, là, en bas.
Elle n’est plus corps mort.

TRANSFORMATION !

Elle n’est pas déchet, pas ordure, mais terre,
qui de nouveau nourrit l’arbre vert.

CE QUI EST AU-DEHORS – EST ENSEVELI.
CE QUI EST AU-DEDANS – S’ACCOMPLIT. [ au-dedans = Belül = 86 ; le 6 Grain et le 8 Femme/Fille ]
Nous parlons SA parole.
Vous, vivez-la !
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MessageSujet: Le carré Rotas de Conimbriga, Portugal   CLÉS DONNANT ACCÈS AU MYSTÈRE CHRISTIQUE - Page 3 Icon_minitimeDim 13 Oct 2013, 22:02

Bonsoir à tous,

Si les différentes démonstrations effectuées au cours des précédents mois, on permit de mettre en lumière le fait que le carré de Sator-Arepo a été récupéré et assimilé à un système de guématrie kabbalistique judaïque, il n’a été relevé ni que la forme écrite Rotas précède celle du Sator inversé, apparue au moyen-âge, ni que ce carré devint un talisman en raison de sa falsification et à fortiori de son tronquage afin d’en faire oublier tant son origine que sa signification originelle.

Pour étayer ces dires, étudier les artéfacts confirmant, sans équivoque possible, la postériorité de Rotas sur Sator semble un bon point de départ. Nous disposons  pour ce faire, de plusieurs spécimens. Dans un ordre chronologique décroissant, l’on peut citer les carrés découverts en Angleterre à Cirencester-Corinium et à Manchester-Mamucium remontant respectivement au IIIe siècle et à 185 de notre ère, celui de Hongrie retrouvé à Budapest-Aquincum daté de 105 après J.-C., ceux de Pompéi réalisés aux environs de l’an 62 après J.-C. et enfin, le fragment de Conimbriga, Portugal. Il est à remarquer que tous ces anacycliques* ont été retrouvés dans des villes antiques de l’époque romaine.

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Citation :
*Un anacyclique est un mot ou phrase que l’on peut lire à l’envers ou à l’endroit. Le palindrome est un cas particulier d’anacyclique où la signification est la même selon le sens de lecture ; dans le cas général, l’anacyclique a une signification différente selon le sens de lecture. Par définition, un anacyclique est une anagramme.

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Avant d’exposer le tracé historique découlant des constatations des tablettes retrouvées parmi les ruines des cohortes romaines, commençons par analyser en profondeur le plus ancien Rotas. Il s‘agit de la pièce de musée de Conimbriga, datée par le professeur Robert Etienne, participant aux fouilles franco-portugaises, du milieu du Ier siècle précédant l’ère chrétienne.

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L’utilisation d’une lettre n’appartenant pas aux alphabets greco-latins est ce qui, de prime abord, saute aux yeux sur cette photo. Il s’agit du [N] pris par les latinistes pour un [n] majuscule alors que dans plusieurs cas, comme sur cette pièce justement, il se trouve clairement représenté en miroir [И] soulignant ainsi son antagonisme. Ensuite, l’on note que la consonne centrale du carré magique des écoles de mystères change de place. En effet, le [N-И] délaisse le centre de la croix palindromique Te[N-И]eT pour s’écrire juste après les quatre [t] tout en se multipliant par le nombre de [t] présent au sein de la quadrature. Graphiquement, ces permutations font apparaître un graphe central inconnu : TИ- ?- ИT.

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MessageSujet: Le carré Rotas de Conimbriga, Portugal-Terv ou PLAN   CLÉS DONNANT ACCÈS AU MYSTÈRE CHRISTIQUE - Page 3 Icon_minitimeDim 13 Oct 2013, 22:56

Finalement, c’est le décentrage de certains caractères, par rapport aux lettres environnantes, qui attire l’attention puisqu'il met en exergue les parties devenues illisibles. Bien qu’une déduction logique permet de reconstruire exactement ces lettres initiales, deux de ces lettres incomplètes, celles placées en diagonale, deviendront pourtant un [p] latin ou un rhô grec donnant naissance à l’hapax « arepo ». Alors, aux côtés gauches décentrés visibles et ressemblant au chiffre arabe « 1 » inversé, un seul et unique graphe s’agence parfaitement à la suite de ce tracé, il s’agit du 40e caractère de l’alphabet rovasique, à savoir la lettre [V] latine.
Paradoxalement, ce rovás peut être confondu avec un [m]. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]


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Dès que j’eu lu que l’abjad T+R+V formait - à l’aide de la voyelle [e] neutre sans laquelle aucune prononciation n’est possible - le mot « TeRV » ou « PLAN » en français, je ne pu rejeter cette approche. A fortiori parce que l’anacyclique TéR/Rét ou espace/prairie, des mots également présents dans le carré originel de Conimbriga sont en lien direct avec les Plans des Architectes soient-ils des plans de bâtiment, de jardins ou de corps humains représentés en plan, ou encore avec les plans des Maîtres d’Œuvres d’art et maîtres d’ouvrages. Et puis la Religion naturelle (chrétienne) ne parle-t-elle pas de Dieu en tant que « Grand Architecte » ou « Architecte de l’Univers » ?

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Seule une attentive observation permet d’exclure avec certitude les langues sémitiques de cette analyse. Car reconnaissons-le, le [И] à savoir le rovás [r] roulé pourrait graphiquement presqu’être confondu soit avec un Nun [n] phénicien, soit avec un Mem [m] hébraïque dont la cursive donne [N] en plus d’avoir une valeur sémantique de 40. Ou si l’on utilise l’écriture spéculaire, une occlusive [t] accompagnée d’un Aleph [a] mis en miroir, et placé à côté d’une demie lettre tenue pour la voyelle hébraïque Vav [u] inversée, se liraient en latin T+A+U et donneraient la Croix de Tau (ou Taw), un symbole dit païen. Oui mais, cette démarche, si non dénuée de sens, reposerait cependant seulement sur des conjectures d’inversions de lettres et de mélanges de langues et surtout ferait fit de tous les autres éléments visibles sur l’objet d’étude tout en entrant en complète contradiction avec le principe de l’alphabet hébreu consonantique qui ne note par conséquent aucune voyelle.

Revenons à ces [И] qui s’avèrent être, comme cela a précédemment été démontré, le rovás [r] et regardons la manière dont ils se positionnent dans le carré. Ces quatre [r] entourent la lettre du milieu, pour certains, ils seraient placés en rond (rund en allemand) autour de la croix centrale, à l’image de la symbolique de la Rose-Croix ou encore celle de la Rotes-Kreutz, la Rose-Croix Rouge.

Maintenant que le sens originel de la Croix TeRV/Plan du carré Rotas réapparaît et que l’importance cruciale du [V] triangulaire pointe doucement à la surface, se concentrer sur les lettres placées en forme de chevron autour de cette croix semble primordial. Ces trois lettres, respectivement le [o], le [r- И] et le [a] se lisent óRa signifiant horloge, montre, chronomètre ; heure (le temps) ; classe, leçon, cours. Nous comprenons mieux la raison pour laquelle au « Grand Architecte » de l’Univers s’associe également l’expression « le Grand Horloger » en tous les cas dans De la nature des dieux, livre II, §2 du romain Cicéron : « Quoi de plus manifeste et de plus clair, quand nous avons porté nos regards vers le ciel et contemplé les corps célestes que l'existence d'une divinité d'intelligence absolument supérieure qui règle leurs mouvements ? [...] non seulement la demeure céleste et divine a un habitant, mais celui qui l'habite exerce sur le monde une action directrice, il est en quelque sorte l'architecte d'un si grand ouvrage et veille à son entretien [...]». Si le mot óra/heure, horloge se lit bien de gauche à droite dans le sens des heures qui passent et pas dans un sens rétrograde, sa lecture spéculaire mais initiale, les rovás se gravant de droite à gauche, donne « A ró » ou un(e) (en)coche, une marque, tous les traits faits exclusivement sur ou dans un corps dur et solide.

Si nous poursuivons et relions les quatre chevrons entre eux, nous voyons se dessiner sous nos yeux une croix ancrée à 8 pointes, l’emblème que reprendront au XIIe et XIIIe siècle les chevaliers et templiers, prédécesseurs des rosicruciens. Mais toutes ses sociétés secrètes savaient-elles que les quatre lettres ainsi jointes par le centre veut dire littéralement « A roVó », l’Outil de gravure à savoir le chevron [V] mais plus précisément « LE Graveur » ? Ou avaient-ils connaissance du fait que « a ró óV » c’est-à-dire « la marque Protège » et à plus forte raison parce que ce rovás central [V] provient directement de la Source-Dieu, [V] ce dernier étant l’idéogramme de víz ou l’eau ? En tout état de cause, si les templiers, rosicruciens et franc-maçons ont réellement perçu la profondeur de l’enseignement véhiculé par les rovás et surtout s’ils ne ne désiraient pas se démarquer de cette écriture pour une raison pour le moment inconnue, ils n’auraient jamais eu le besoin de créer des alphabets secrets que seuls les initiés peuvent lire et comprendre puisque l’antique alphabet hongrois en lui-même reste indéchiffrable à ceux ne l’usitant pas.

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MessageSujet: Digression historique sur les R+C et les templiers   CLÉS DONNANT ACCÈS AU MYSTÈRE CHRISTIQUE - Page 3 Icon_minitimeMer 16 Oct 2013, 21:18

Dans La Confessio Fraternitatis de 1615, au chapitre IX, les frères de la Rose-Croix font mention d’une écriture non latine décrite comme magique et dont ils dispos(ai)ent, je cite :

Citation :
« Nous avons une écriture magique, reproduction de ce divin alphabet avec lequel Dieu a transcrit Sa volonté sur la nature terrestre et céleste. Avec ce nouveau langage nous lisons la volonté de Dieu pour toutes ses créatures ; aussi, de même que les astronomes prédisent les éclipses, ainsi nous pronostiquons les obscurations de l’église et leur durée. Notre langage est semblable à celui d’Adam et d’Enoch avant la chute et bien que nous comprenions ces mystères et sachions les expliquer dans cette langue sacrée, nous ne pouvons pas en faire autant en latin, qui est une langue contaminée par la confusion de Babylone. »

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Bien que cet alphabet, prétendument mis au point pour éviter les persécutions religieuses et politiques, soit devenu, selon leurs dirigeants, obsolète aujourd’hui, les glossaires dont celui de la Rose-Croix d’Or définissent pourtant encore toujours « la langue sacrée » comme étant « le témoignage des envoyés de la Fraternité transmis par écrit ou oralement aux hommes pour les inciter à retrouver la liaison avec l'Originel ». Être au fait que toutes les écriture secrètes de ces sociétés reprennent des lettres basées sur l’usage du triangle et de la forme en découlant c’est-à-dire du carré - les deux caractéristiques principales de l’alphabet rovasique - permet de se questionner sur la véritable origine de ses graphies. Dans les sociétés secrètes, l’utilisation du triangle se justifie par la loi ésotérique qui exprime que « dès lors que deux conditions de nature opposée sont réunies, elles en produisent une troisième ». Nous verrons que si cette loi ternaire se manifeste jusqu'aux mots répétés trois fois, comme dans la formule rosicrucienne « Videte, Videte, Videte. Celui qui a des yeux pour voir, peut voir et verra correctement », dans la quadrature Rotas-Terv, la forme triangulaire est celle qui fait surgir l’Arbre de Vie Kristique au cœur du carré. 

Pour conclure sur les écritures secrètes des écoles de mystères qui ne sont pas le centre du sujet ici développé, je signale que le code templier a mis en évidence la lettre [N] latine en l’associant au X, ce fameux Tau hébraïque, et non pas au signe +, la croix « carrée droite » qu’ils portaient. Ceci n’est pas la fruit du hasard. Isoler ces deux croix l’une de l’autre nous permettra dans cette analyse de percevoir la raison de cette différenciation. 

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Alors le mouvement allemand Rozenkreutz ou Le chrétien de la Rose et de la Croix, dont la création est attribuée à l’allemand Johan Valentin Andrea (1586-1654), auteur des Noces Chymiques de Christian Rozenkreutz, publié en 1616, plus exactement les rosicruciens du XVIIe siècle, sont-ils entrés en contact avec l’écriture rovasique ? Je puis aujourd’hui, sans contestation possible, répondre par l’affirmative. 

En effet, sur le dos d’un livre de 1483 de la bibliothèque du prince Dietrichstein de famille noble autrichienne a été retrouvée une page intitulée L’abc de Nikolsburg qui, au-dessus de 42 róvás et de 4 ligatures dessinés et expliqués, porte le titre de Lıtte2e Sıculo2um quas ſculpūt vel cıdunt in lıgnis traduit simplement en « Voici les lettres seklers ». Ce parchemin est reconnu avoir fait partie d’un calendrier sekler, écrit probablement entre 1490 et 1526 et contenant en bas de pages les mois de l’année écrits à l’aide de lettres hébraïques. Parmi les membres de la Maison d’Autriche, Rodolphe II de Habsbourg, roi de Hongrie en 1572, puis roi de Bohême en 1575 et finalement empereur d'Allemagne en 1576, ésotérique notoire, féru d'alchimie et d’astrologie possédait une des plus mystérieuses collections artistiques dont les livres secrets et manuscrits illustrés ne formaient qu’une infime partie. L’alchimiste Michael Maïer, apologiste des Rose-Croix devint le conseiller d’état de cet empereur. Ce ne fut d’ailleurs pas le seul roi chrétien à manifester un intérêt caché pour les alphabets sacrés. Pendant la période carolingienne de 821-822, le roi français Louis le Pieu dit le Débonnaire, aura représenté sur la dernière page dans sa bible latine, vol. II, le carré de Sator aux côtés des lettres hébraïques. 

Image de Sator dans la bible de Louis le Pieu, p. 432 : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

Cela ne s’arrête pas à ces seuls écrits. En 1598, le professeur János Telegdi écrit, en latin, Rudimenta Priscae Hunnorum linguage, un livre didactique sur la langue des Huns, système d’écriture antique usité par tous du VIIe au Xe siècle. Les copies des copies de ce livre, le manuscrit original ayant disparu, bien que remplies d’erreurs car reconnues avoir été rédigées par des scribes ne comprenant pas les rovás ont cependant été retrouvées dans des bibliothèques allemandes. L’université de Giessen fondée en 1607 produit une copie du livre en 1709. Puisque ces documents sont d’une authenticité irrécusable, et qu’ils attestent de la connaissance de cet antique alphabet dans les pays de langue allemande - comme dans les autres contrés - , nous pouvons être certain que le latiniste Johan Valentin Andrea, écumeur tant de l’Allemagne que de nombreux autres pays, en tant que spécialiste des langues anciennes, était au fait de cette vieille langue écrite. Tout comme devaient l’être les érudits allemands Herder, Sperber, Kazauer qui assurent que La Fama et La Confessio Fraternitatis (1614-1615) circulaient en manuscrit dès 1610, donc six ans, au moins, avant leur impression. D'ailleurs bien avant cela, ce sont les chroniques latines de Simon de Kéza, prêtre à la cour du roi Ladislav IV de Hongrie qui mentionnent vers 1282, les rovás dans le Gesta Hunnorum et Hungarotrum. Cet ecclésiastique se rendit fréquemment en Allemagne, en dehors de ses voyages en Italie et en France si bien que, si le soi-disant Christian Rosencreutz né en 1378 s’avérait malgré tout être un personnage réel, un siècle aurait amplement suffit pour qu’il prenne connaissance de ce manuscrit. Vous remarquerez que cette dernière preuve documentaire nous rapproche des siècles liés aux templiers. Le XIIe siècle est l’époque historique pendant laquelle les relations franco-hongroises devinrent plus fréquentes grâce au roi Géza II, qui durant son règne, de 1141 à 1162, envoya une ambassade en France. Et c’est sous le roi Béla III (1172-1192), l’un de ces plus grand rois, que la France devint l’allié de la Hongrie contre l’influence allemande menaçante.

Citation :
« Ces relations ne sont pas unilatérales. Plusieurs chevaliers français virent s’établir  en Hongrie. Les ancêtres français des « clans » Kökényes-Rénold, Becse-Gergely et Zsamboki avaient trouvé à la cour royale donations et emplois.

Non seulement des nobles, mais des gens du peuple émigraient en Hongrie : ainsi un grand nombre de Français de la Moselle, des Flamands, des Wallons ; des Français du Rhin, nommés « latini » ou par erreur « italiens », qui étaient surtout des agriculteurs ; parmi eux, beaucoup d’artisans et de commerçants ; de surcroît des architectes, dont on peut admirer les oeuvres. Ces émigrants jouirent de privilèges et de faveurs. Il y eut encore une foule de prêtres et religieux français : tels les Cisterciens et les Prémontrés. La première installation des Cisterciens eut lieu sous le règne de Géza II en 1142 : fondation de Cikador par des moines venant du monastère autrichien de Heiligenkreuz, mais qui étaient presque tous français. D’autres Cisterciens arrivèrent en 1179 : de Pontigny à Egres ; en 1182, d’Acey à Pilis ; en 1184, de Troisfontaines à Szentgotthard et de Clairvaux à Zirc. Plus tard, une partie des moines d’Egres essaima à Paszto et à Karc, en Transylvanie.

L’implantation des Prémontés eut lieu presqu’en même temps : ils arrivèrent en 1178 de Valroi, en Lorraine, à Garab ; un peu plus tard de Valroi encore à Bozok, à Szentkereszt, à Türj, à Varadelöfok.

Les deux ordres reçurent en donations des propriétés, des villages entiers. Longtemps les moines gardèrent leur langue maternelle, car le recrutement était principalement français. Les maisons mères françaises envoyaient des « visiteurs » contrôler la vie monastique. Enfin, les moines français établis en Hongrie ont assuré une correspondance régulière avec la France. »

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MessageSujet: Le carré Rotas de Conimbriga Portugal-Arbre de Vie Kristique   CLÉS DONNANT ACCÈS AU MYSTÈRE CHRISTIQUE - Page 3 Icon_minitimeMer 16 Oct 2013, 21:30

Bien que cette digression historique soit très instructive et permet de comprendre plus facilement l’essaim de carrés de Sator apparu au Moyen-Age tant en France qu’en Allemagne, en Autriche et en Italie, je me recentre sur le carré Kristique de Conimbriga. Le terme « Kristique » se justifie par l’emplacement des consonnes [r] qui se positionnent en réalité en un carré sur sa pointe, une forme géométrique qui fait apparaître un rovás supplémentaire à savoir le [K-] que l’on retrouve doublé dans le mot « Kék » ou bleu. Dans le cas de la forme arrondie, symbolisée par la Rose, ce passe totalement inaperçu. Se référer à la couleur bleue comme étant la couleur liée à l’eau/víz [V], à la Source-Dieu ou au ciel restreindrait notre champ d’investigation. Par contre, si on ajoute cette teinte bleue aux lettres V+R correspondant à Vér ou sang ; à Rév ou port, passage, havre de salut ; mais encore à Érv, voulant dire preuve, argument, raison, notre palette de compréhension s’étend à l’ensemble de la quadrature de Rotas. Devons-nous en déduire que la phrase « [le] sang bleu, [est la] preuve [du] salut, [du] passage » est cruciale ? En tout état de cause, la signification ésotérique de l’expression « être de sang bleu » semble devoir être redécouverte puisqu'elle s’est vue limitée dans l’histoire à une origine strictement royale ou impériale et par extension à la seule noblesse.

Relevons que si ni le mot rouge, ni celui de rond ne débutent en hongrois par un [r] roulé, l’unique consonne [r] produit, par contre à lui tout seul, sept mots clés. Listés par ordre alphabétique, nous découvrons áR ou courant, marée mais encore prix, valeur ; éR, vaisseau, artère, veine, petit ruisseau ; íR ou le verbe écrire ; őR signifiant gardien ; úR, Dieu, Seigneur ; űR, vide ou espace cosmique et finalement , écrire dans le sens de graver. Et ne sont-ce pas les vaisseaux sanguins, les artères qui circulent aussi bien dans nos corps, que dans les végétaux, dans les veines des minéraux et des pierres marbrés, sur les planètes sous forme de ruisseaux et fleuves, et dans les courants, les océans de l’espace ? En réalité, l’enseignement sacré qui a pu être caché, qui a été gardé secret afin de le travestir est l’Arbre de Vie Kristique illustré dans sa forme originelle parfaite au centre du Carré Kristique. En mélangeant dans un premier temps, des lettres latines aux lettres rovasique comme sur cette tablette de Conimbriga, puis dans un deuxième temps, en effaçant les rovás originaux, et enfin en les déplaçant de case, les deux formes triangulaires prises par les lettres [r] périphériques au carré placé sur sa pointe, au , ne transparaissent tout simplement pas ! Voyez comment cet Arbre se positionne exactement en angle à 45° dans le système de la Création de la Source. 


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MessageSujet: JE SUIS celui qui guérit - R+C ou éRC/AIRAIN   CLÉS DONNANT ACCÈS AU MYSTÈRE CHRISTIQUE - Page 3 Icon_minitimeMer 23 Oct 2013, 21:55

Je reviens un moment à la fonction christique de l’écrit Rotas-Terv. Ce n’est pas tant le [K-◊] qui confirme son essence Kristique que la valeur sémantique du mot Krisztus ou Christ équivalant à quarante qui se résume à quatre, le point central du carré. Cette valeur, qui correspond au 40e rovás, au [V], apparaît lorsque l’on réduit tous les nombres entiers au sein du mot Krisztus (K=18=9 ; R=29=2 ; I= 14=5 ; ...) aux nombres unitaires. Ces enseignements christiques sont ancestraux, Krist suivit de US signifiant l’Us/Ős ou l’Ancêtre, terme que l’on retrouve encore dans l’expression ‘les us et coutumes’ et qui se calligraphiait [VS] durant la période de la proto-écriture.

Afin de bien cerner toutes les facettes des connaissances transmises via ce carré, je propose de poursuivre son étude, en se limitant en premier lieu, aux neuf cases en son milieu, celles qui dévoilent en leurs intérieurs la présence de l’Arbre de Vie. Plongeons donc en lui.

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C’est lorsque nous faisons abstraction de l’enveloppe linéaire extérieure de l’arbre que transparaît la structure principale de ce noble végétal. Ses trois principaux axes internes dessinent le 12e rovás [GY] - qui se prononce comme [djinn] et non pas [girafe] - comparable à une croix à double traverse. La présence de ce graphe structurel prend tout son sens grâce au seul mot de valeur égale à quatre et composé d’un double [gy] à savoir « GYóGY ». Ce mot référant la santé et signifiant médicinal est celui qui peut être ajouté au [K-◊] pour former « KiGYóGYiT » ou guérir ; se rétablir dans le sens de sortir d’une maladie sachant que « Ki » se traduit par [en] dehors ; hors de. Nous pouvons également lire dans ce verbe l’interrogation « Ki Gyógyit ? » (Qui est-ce qui guérit ? Puisque [ki] signifie aussi [celui qui]). Mais si nos buts ne sont pas la transparence et le transmission du pouvoir de guérison à chacun d’entre nous, nous serons amenés par le menteur à y voir soit « [le] Ki gyógyit » (le Chi/Qi guérit) bien que ce mot ne soit, en hongrois, qu’une locution adverbiale ou encore pire, « [a] kigyó gyógyit » ([le] serpent guérit) parce qu’effectivement, « kigyó » signifie bien serpent. 

L’unique raison pour laquelle l’humanité a été amenée à associer, le serpent, pourtant aux desseins destructeurs, au monde de la santé alors qu’il en était tout le contraire est le fait de ne pas avoir tenu compte du [V] comme LA lettre à placer en toute première place. Les [V], [GY], [K] auxquels on ajoute, dans l’ordre alphabétique, les deux seules voyelles [a] et [o] du carré donnent la phrase « VaGYoK » dont le français est « JE SUIS ». Au complet, nous lisons « VAGYOK ki gyógyit » ou « JE SUIS celui qui guérit » ! Et au début de la bible en Ex.3. 13-15, Moïse ne demande-t-il pas à Dieu ? : « S’ils me disent :  Quel est son nom ? [en parlant de Dieu] – que leur dirais-je ? » Dieu dit à Moïse : « JE SUIS QUI JE SERAI. » Il dit : « Tu parleras ainsi aux fils d’Israël : JE SUIS m’a envoyé vers vous. » Dieu dit encore à Moïse : « Tu parleras ainsi aux fils d’Israël : Le SEIGNEUR [Az ÚR en hongrois], Dieu de vos pères, Dieu d’Abraham, Dieu d’Isaac, Dieu de Jacob, m’a envoyé vers vous. C’est là mon nom à jamais, c’est ainsi qu’on m’invoquera d’âge en âge. » Bien entendu, la quadruple répétition du mot [Dieu] n’est pas anodine. En effet, « VAGYOK », à la condition sine qua none d’avoir connaissance des diacritiques, peut également se lire « [V], a GYöK » dont la traduction donne « [V], est la Racine » de l’Arbre de Vie Originel. Et comme le radical [GYö] du mot gyök se prononce précisément ‘dieu’, la phrase biblique mentionnant quatre fois ce nom divin n’utilise en réalité un pléonasme que pour insister sur la parfaite synonymie du nom Dieu et de mot Racine : le Dieu-Racine devient ainsi l’équivalent du Dieu-Source JE SUIS.

Comme nous avons vu l’importance cruciale de débuter la phrase par le [V], qui joint aux [a]-[GY]-[o]-[K] possède une TRIPLE signification intrinsèque, nous pouvons affirmer et ceci, sans la moindre extrapolation, que Thôt-Hermes Trismégiste, le prétendu créateur de l’écriture, s’est bien coupé de la Source-Dieu [V] puisque c’est le pouvoir du serpent [K+GY, kigyó] qui est associé à ce Menteur ainsi nommé par l’ange dans le livre, dialogues avec l’ange, p. 296.

Citation :
Le temps du Menteur est fini.
Ce qu’il attendait
- la puissance, qui était donné -,
se perdra.
Lui, voulait pour lui-même,
et il a tout caché
avec le mensonge.
Mais ce qui était secret
est proclamé au grand jour,
et la puissance lui est reprise.
Le mensonge est mort.
Ses jours sont comptés.
C’est LUI qui a dit :

ASSEZ !

Le mensonge de Thôt- Hermes Trismégiste est d’autan plus criant que dans le livre de Nombres, en Nb.2. 7-9, nous apprenons que : « Le peuple vint trouver Moïse en disant : « Nous avons péché en critiquant le SEIGNEUR et en te critiquant ; intercède auprès du SEIGNEUR pour qu’il éloigne de nous les serpents ! » Moïse intercéda pour le peuple, et le SEIGNEUR lui dit : «  Fais faire un serpent brûlant et fixe-le à une hampe : quiconque aura été mordu et le regardera aura la vie sauve. » Moïse fit un serpent d’airain et le fixa à une hampe et lorsque le serpent mordait un homme, celui-ci regardait le serpent d’airain et il avait la vie sauve. » Dans le contexte actuel, les preuves flagrantes que la montée de ce feu du serpent provoque bien des dégâts, sont les nombreux témoignages - présents aussi dans cette partie du forum - des personnes ayant été mordues par ce serpent mortel. Au sujet du fameux serpent d’airain, dont la forme concrète fut cachée sous l’image de ce reptile justement, il est bon de savoir qu’il ne représente rien que moins que la structure interne de l’Arbre de Vie Originel. Le graphe [GY] est comparable au rovás [R] écrit couché, et transpercé par le rovás [C] fléché dont l’idéogramme indique le but à atteindre. L’union du [R] et du [C] articulé ‘tz’, fait apparaître le mot « éRC », prononcé ‘értz’ se traduisant, en français, par AIRAIN ; métal ; cuivre rouge ; bronze. Ce sont ces deux lettres, sous la formule de R+C qui furent reprises par l’ordre des Roses-Croix.

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Dernière édition par douceur le Ven 01 Nov 2013, 18:41, édité 1 fois
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MessageSujet: Courants primordiaux áR provenant de la Source Primordiale   CLÉS DONNANT ACCÈS AU MYSTÈRE CHRISTIQUE - Page 3 Icon_minitimeMer 23 Oct 2013, 22:11

Le dangereux feu du serpent n’est pas identique à la sève qui alimente notre Arbre de Vie corporel. Ce chi/qi-là n’a pas une origine semblable à la sève qui circule dans les réseaux, les filets « ReCe », anagramme de Érc. Seules les courants primordiaux áR en provenance de la Source Primordiale [V - ressemblant à des vagues ‘M’] sont des énergies de qualité pure. Ceux-ci pénètrent en nous tant par la racine, le pied de l’Arbre que par son sommet et son cœur. C’est ainsi, par ces trois points essentiels, que l’Arbre de Vie est rattaché à l’Univers, à l’UN comme à la planète Terre. Cet arbre contrairement à l’arbre de la kabbale baigne réellement dans la Source-Dieu infinie. Le révélation de l’existence de cet Arbre Kristique au centre du carré Rotas-Terv mettra fin, tôt ou tard, aux nombreux débats des partisans trompés par les écoles éso-occultes promouvant, parfois á leur insu, l’arbre kabbalistique dévoyé.

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Statues aux jambes en ‘M’ symbolisant la Source Primordiale 'V'

Nous pouvons momentanément conclure que toutes les antiques écoles hermétiques appliquant les théories du dieu Thôt égyptien à tête d’ibis ne pouvaient posséder, par conséquent, par simple déduction logique, qu’une partie des authentiques enseignements christiques, qui eux, provenaient directement, « en ligne droite », de la Source Kristique, de Kriszt-US. C’est dire aussi que les sociétés secrètes descendant de l’Egypte thotienne, des néoplatoniciens, alchimistes, kabbalistes, templiers, illuministes, aux rosicruciens en passant par les franc-maçons et les théosophes, sans nommer tous les ordres, ont été quasi dans leur totalité, fourvoyées par des enseignements tronqués et pervertis.

Avant de terminer cette partie, je signale encore que les Neuf Preux Chevaliers qui seraient constitués de trois cavaliers païens, de trois Juifs et trois Chrétiens considérés comme les ancêtres des templiers auraient portés, sur leur poitrine non pas la croix pâtée-ancrée rouge des templiers mais bien la croix à double traverse semblable à la croix soi-disant de Lorraine. En réalité, l’étendard de la Maison de Lorraine provient de la Famille d’Anjou, famille française qui donna, au Moyen-Âge, le plus grand nombre de rois et reines de Hongrie, pays dont les armoiries ont toujours contenu la croix en forme du 12e rovás [GY] au cœur du mot maGYar en prime. Cette branche hongroise d’Anjou qui débuta sous le règne de Charles Martel (1271-1295) et de Clémence de Habsbourg de la famille autrichienne du même nom, s’éteignit en 1399. Par ce mariage débuta l'ensevelissement de l’histoire des Magyars par les Habsbourg.   


Citation :
La croix de Lorraine (appelée auparavant croix d'Anjou) est une croix à double traverse. En héraldique, on l'appelle croix archiépiscopale ou croix patriarcale ; elle figure dans les blasons des archevêques, et dans l'iconographie ancienne, pour signaler cette fonction.

Cette croix figurait dans la symbolique des ducs d'Anjou devenus ducs de Lorraine à partir de 1431 (René d'Anjou 1409 † 1480).

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Citation :
Daniel Réju c’est intéressé très tôt à l’histoire de l’Ordre du Temple, à ses origines et ses premières raisons d’être. Si la réputation de cet auteur n’est plus à faire, certains de ses travaux, devenus très vite ‘travaux certains’ furent soigneusement éclipsés des milieux concernés… Et jamais repris par quelques autres auteurs ténors en la matière.

Ceux qui connaissent ses écrits et ses recherches savent leur valeur indiscutable et leur force documentaire. Daniel savait explorer des cheminements oubliés de tous en ce qui concerne l’Ordre du Temple et ce qui lui permit de fonder sa puissance… Il fut sans doute le seul à supposer, puis affirmer et enfin prouver que la fameuse ‘croix pattée’ qui devint inséparable de l’imagerie populaire templière ne fut qu’une seconde ‘vitrine’ dissimulant une réalité ‘crucifère’ nettement plus hermétique, si faire se pouvait. C’est avec surprise que fut d’abord reçue l’information que l’insigne religieux primitif des chevaliers au blanc manteau n’était autre que… la Croix de Lorraine, symbole qui sera ensuite, des siècles plus tard celui de la résistance et de la liberté de notre pays de France 

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