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 CLÉS DONNANT ACCÈS AU MYSTÈRE CHRISTIQUE

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MessageSujet: 21 décembre ou "Pierre" !   CLÉS DONNANT ACCÈS AU MYSTÈRE CHRISTIQUE - Page 2 Icon_minitimeVen 21 Déc 2012, 01:42

Citation :
Saint Pierre, le « prince des apôtres », possède deux clés : l'une en or, céleste, l'autre en argent, terrestre. Il a ainsi la capacité d'ouvrir et de fermer les portes du Paradis.

Un homologue païen romain est le dieu Janus, porteur de clés lui aussi, mais qui sont celles du passé et de l'avenir.

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Citation :
Dans la mythologie romaine, Janus est un dieu à une tête mais deux visages opposés, gardien des passages et des croisements, divinité du changement, de la transition, auquel le mois de janvier est consacré.

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Prénom Pierre
Fête : le 29 Juin, le 21 Décembre

Signification prénom : Ce prénom à la signification transparente vient du substantif grec petros, le roc, la pierre, symboles de fidélité et de fermeté, voire d'entêtement.

Il doit son exceptionnelle diffusion dans tous les pays européens à celui que le Christ lui-même désigna comme le premier de ses apôtres : saint Pierre. Dès le haut Moyen Âge, il est répandu sous différentes graphies en Italie comme en Espagne, en Allemagne comme en Angleterre ou en Russie. En France, il est attesté depuis le VIIIe siècle et, contrairement à beaucoup d'autres prénoms, ne connut pas d'éclipse. Il est au premier rang des prénoms masculins jusqu'au XIVe siècle et ensuite occupe généralement le deuxième rang, derrière Jean. Cet éclatant succès se prolonge jusque vers 1930, époque à laquelle il entame une légère décrue, jusqu'en 1980. Depuis, il a renoué avec le succès et, sans figurer de nouveau au palmarès des prénoms masculins, se classe aujourd'hui à la dix-huitième ou vingtième place.

Saint Pierre était un pêcheur du lac de Tibériade en Galilée. Avec son frère André, il fut un jour appelé par le Christ et n'hésita pas à le suivre. Il s'appelait alors Simon mais Jésus le surnomma Kephas, équivalent de Pierre en araméen, en lui expliquant : " Tu es Pierre et sur cette pierre je bâtirai mon Église. "

Après la mort du Christ, l'Apôtre évangélisa les Samaritains et demeura longtemps en Palestine. En 58 ou 60 de notre ère, il partit pour la capitale de l'Empire, Rome, dont il fut le premier évêque. Il y fut arrêté en 64, lors de la persécution de Néron, et subit le martyre, crucifié la tête en bas.
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MessageSujet: Re: CLÉS DONNANT ACCÈS AU MYSTÈRE CHRISTIQUE   CLÉS DONNANT ACCÈS AU MYSTÈRE CHRISTIQUE - Page 2 Icon_minitimeVen 21 Déc 2012, 01:54

Bonne fête à Pierre !

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MessageSujet: Écriture "Vieille Europe" : Racines et Racines Carrées   CLÉS DONNANT ACCÈS AU MYSTÈRE CHRISTIQUE - Page 2 Icon_minitimeLun 07 Jan 2013, 23:56

Bonsoir à tous,

Toujours dans le cadre (des Mystères) Kristique(s), la continuité des développements de l’Octaèdre Kristique - Véhicule du Langage Universel par Excellence, antérieures aux lois religieuses (humaines) judéo-chrétiennes et autres et donc non soumis á celles-ci -, nous dévoile oú se situent « réellement » les Racines de cet Arbre Kristique.

Ne parle-t-on pas des Graines « Terrestres » dont le CSaKRa « racine » de couleur rouge se trouve sous l’Arbre mais aussi des Graines « Célestes » ? Et dans ce cas-ci, oú Germent, oú prennent « Racines » ces graines ?


Si nous observons l’image (postée ci-dessus) des arbres sur le rocher, un début de réponse nous est apporté. Nous voyons que les Racines sont Con-Centrées au « Coeur » du Rocher et que seulement, une/une racine - puisque le Roc se rétrécit à sa base - plongent dans l’eau.


L’évidence de l’existence de Racines « Centrées », différentes des racines (décentrées) repose sur un terme qui au premier abord peut paraître seulement « mathématique », alors qu’il n’en est rien.

Ce terme est la « Racine CARRÉE » à distinguer de « LA » racine tout court.
Le premier se dit « GYöK » alors que le second se dit « gyökér » donc « GyöK – éR ».

Nous savons déjà que :

- GY = les 3 en UN ;
- Ö = Lui/Elle ;
- K = la Pierre ou Bleu du Patron divin ;

- éR = Vaisseau sanguin, Veine, (petit) Ruisseau; (la) valeur, (le) prix ;
- R = consonne qui désigne úR (= Dieu, la Source, l’Infini) ou encore l’Octaèdre Kristique.

Je dois rajouter à ces informations que « ÉR », en dehors d’être un nom, est aussi un VERBE dont les significations sont variées. En voici quelques unes : « arriver à... ; atteindre qqch ;, s’élever à (la) hauteur de ; tomber, descendre jusqu’à », etc.

Si la racine (terrestre) vibre à la fréquence de la couleur « Rouge », il ne peut en être différemment pour les Racines Célestes. Et c’est un fait, puisque rouge se dit de deux manières en hongrois :

- PiRoS = rouge « primaire », rouge « sang », rouge « vermeil » comme les lèvres ;
- VöRöS = rouge « profond », rouge « écarlate », vermillon ;
Ce second est un rouge qui introduit la notion de la fusion de deux rouges (Ö = lui/elle).

Par exemple, pour la couleur du VIN rouge, c’est ce second terme « Vörös » qui sera utilisé. Et il est incontestable que le vin rouge ne reflète pas qu’une seule et unique couleur rouge.

Remarque : Vörös ne se confond pas avec la couleur (rouge) bordeau, qui existe en tant que telle !


En langage graphique/rovasique, cette notion de racine et de RACINE CARREE donne tout simplement le symbole mathématique ou graphe .

Voici, avant de poursuivre, un texte expliquant que ce symbole s’écrivait aussi, simplement, à l’aide des lettres « RU » donc ÚR. Il n’y a rien d’étonnant à cela puisque que KRiST désigne également aussi des mathématiques bien précises :


Citation :
Le symbole racine carrée : √

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] C'est la première utilisation d'un symbole pour représenter la racine carrée. On la trouve dans un ouvrage de Leonardo de Pise, geometriae de Practica en 1220.

Nicolas Chuquet (15e siècle) pratiquait déjà dans "triparty en la science des nombres" ( 1484) (le plus ancien traité d’algèbre écrit en français) la notation par exposant.

Pour noter par exemple √( 35 - √15 ) Nicolas Chuquet écrit : RU 35 m˜ R 15, où R désigne la racine carrée, le U de RU signifiant qu'il s'agit d'une racine carrée englobant tout ce qui suit. [HaSu]

Dans cet ouvrage, la notation des puissances par exposant est très proche de la nôtre et les radicaux sont notés R.

Le symbole radical est apparu la première fois en 1525 dans la matrice Coss par Christoff Rudolff (1499-1545). Il a employé √ pour les racines carrées. Il auteur du premier manuel d'algèbre en langue allemande. Ce dernier s'inspira de son compatriote Riese (1492?-1559) qui préconisait le calcul à la plume de préférence au calcul avec jetons.

Certains avancent que l'origine du symbole radical moderne vient d'une déformation de R, puis r, la première lettre dans la radix.
C'est l'opinion de Leonhard Euler dans ses differentialis de calculi d'Institutiones (1775). Cependant, Florian Cajori, auteur d'une histoire des notations mathématiques, n'en est pas convaincu.

En 1637 DESCARTES utilise √, ajoutant la barre en haut, dans sa Geometrie.

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Pendant la Rennaissance, l'école allemande, qui prend le nom de La Coss(*), va s'efforcer d'élaborer une notation commode et introduit des abréviations de rex, de radix, de causa (nom de l'inconnue au Moyen Age chrétien), de census (carré de l'inconnue), etc., dans les formules ; ce que l'on appelle les caractères cossiques.

(*) Les termes utilisés pour désigner l'inconnue par les Arabes signifient chose et racine (cosa, en italien ; coss, en allemand).


Albert Girard (1595-1632) introduit la notation racine cubique 3√ .

Selon Cajori (vol. 1, page 372) la première personne pour qui adopte la notation de Girard était Michel Rolle (1652-1719) en 1690 dans le d Algébre de Traité.
Voici un autre exemple de notations utilisées par Gérolamo CARDAN (Pavie, 1501 - Rome, 1576), tiré de son ouvrage Ars Magna (1545).

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Citation :
Une tablette d'argile datée du XVIIIe siècle av. J.-C. montre que les Babyloniens connaissaient la racine carrée de deux et un algorithme de calcul.

Tout nombre réel x positif possède une racine carrée qui est elle-même un nombre réel. La racine carrée d'un nombre entier n est soit un entier, soit un nombre irrationnel, c'est-à-dire qu'elle ne peut être exprimée par une fraction. La racine carrée est à l'origine de la découverte de l’irrationalité, mais contrairement à une idée répandue, rien n'assure que celle de 2 fut le premier nombre irrationnel connu. L'exemple de démonstrations par l'absurde choisi par Aristote, l'un des fondateurs de la logique, s'appuie sur l’irrationalité de 2 : « Ils prouvent que la diagonale du carré est incommensurable au côté en montrant que, si l'on admet qu'il lui est commensurable, un nombre impair serait égal à un pair. »

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MessageSujet: Écriture "Vieille Europe" : Racines Carrées   CLÉS DONNANT ACCÈS AU MYSTÈRE CHRISTIQUE - Page 2 Icon_minitimeMar 08 Jan 2013, 00:37

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Au stade suivant, nous voyons que l’Ascension Personnelle (une Personne = 1 Homme et 1 Femme autrement dit, un Couple) et par conséquent, l'Ascension "Individuelle" d'Individus Polarisés devient possible lorsque le Véhicule Conjugal est formé :

L'Ascension dite "planétaire et collective" de la 4D vers la 5D, en raison des problèmes (toujours d'actualité) liés à Tarra (située dans la 5D) n'est pas possible (actuellement) : entre la Terre et Gaia devrait se trouver Tarra... dont on n'entend PAS parler.

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MessageSujet: Écriture "Vieille Europe" : Sátor et Rotás (1)   CLÉS DONNANT ACCÈS AU MYSTÈRE CHRISTIQUE - Page 2 Icon_minitimeJeu 10 Jan 2013, 01:12

Bonsoir à tous,

Les mystères Kristiques sont extrêmement vastes...


En novembre 2010, je débutais mes discussions sur le post « Sator et Rotas », et plus je lisais, plus je découvrais les développements de Sphinx sur ce Carré (dont je n’avais jamais entendu parlé auparavant), plus je plongeais dans les DÉTAILS (en février 2011), plus je percevais que quelque chose « sonnait FAUX ».

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Comme j’avais constaté que mes vécus ne correspondaient pas à la théorie (soi-disant) kabbalistique (et latine) cachée derrière le CARRE magique de « SÁTOR » et que je n’étais pas d’accord avec Sphinx,

(Pour pouvoir se faire une idée, débat sur nos désacords, ici : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

j’entamais parallèlement à nos discussions des recherches personnelles sur ce Carré qui se conclurent avec ce point de vue :

Citation :
Bonjour Sphinx,

J’ai remarqué que même si un Symbole ou un Concept jadis Sacré se retrouvait dans un système d’enseignement, il ne validait pas pour autant l’Authenticité et la Vérité de cet enseignement. La perte de Valeur d’un enseignement arrivent bien souvent à cause des nombreux mélanges « alambiqués ».

Donc devant un concept ou un précepte inconnu, la comparaison « logique » permettant d’en découvrir la nature et la comparaison « intuitive » pour en discerner une vérité énergétique et ainsi la réalité « sous-jacente » du précepte ne peut être qu’une démarche saine. C’est ce que je ferai ici, avec en premier point, Sator et Rotas -puisque c’est la section- les éléments alambiqués de ce carré palindromique étant particulièrement nombreux.

S A T O R = Le Semeur, créateur, père ou dieu.
A R E P O = La charrue, le soc, le couteau, le clou agraire.
T E N E T = Tenir, diriger, conduire.
O P E R A = Le travail, l´œuvre, opère.
R O T A S = La Roue, cycles, cercle.

En effet, le carré SATOR :

1) Ecrit en vieux latin (langue écclésiastique par excellence dont la fonction première a été de transmettre une parole sacrée sans être au départ un langage sacré) est analysé, au travers d’une Langue Sacrée pro-sinaïque.

2) Contient un « hapax » (AREPO n'existait pas vraiment en latin, c'était donc un hapax) néologisme du XVIIe siècle qui signifie qu'un mot, une expression est quasiment unique dans les langues ne permettant pas une traduction. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

3) S’appuie sur une tierce langue pour traduire le mot AREPO à savoir une origine celtique (= charrue) sous l'hypothèse d'une correspondance entre AREPO et le mot AROTRON (charrue) alors que, pour l'abbé Beauvois, « A.R.E.P.O » est l'acronyme (chaque première lettre d'un mot d'une phrase forme un mot) d'Aeternus Rex Excelsis Pater Omnipotens, signifiant « Père tout puissant, Roi éternel des Cieux ».

4) Est composé d'une croix au centre par le mot tenet : TENET est un palindrome en forme de croix. Cette croix renforce la connotation religieuse de ce carré dit « magique » dont la paternité est souvent attribuée à Saint Irénée, théologien chrétien anti-gnostique*.

5) Finalise différentes significations. Si il n’y a qu’une version courante, « Le Semeur à la charrue travaille en tournant » = le Travail du Créateur est de diriger son destin comme une charrue, les versions sacrées sont diverses :

-Le Créateur se crucifie sur la croix des éléments et œuvre par cycle
-Le semeur (christ) à sa charrue (croix) retient par son œuvre (sacrifice) les roues (destin).
-Le semeur (sator) Arepo (c'est son nom) fait tourner (tenet) la roue (rotas) au travail (opera)
-Dieu (sator) dirige (tenet) la création (rotas), le travail de l'homme (opera) et le produit de la terre (arepo).

Amalgamer donc ce concept grandement alambiqué et confus, à Fuxi et Nuwa - encore une autre Culture Sacrée -, est comparable à ce que beaucoup ont essayé de faire entre les chakras majeurs et les Sephiroth de l'arbre de vie kabbalistique. Cela a fait coulé beaucoup d’encre avec comme constatation finale que tous ne sont pas d'accord même si plusieurs spéculent toujours sur la pertinence de tel ou tel schéma car dans la Kabbale, différents liens - comme différentes façons de dessiner cet arbre des Séphirohs repris dans nombres d'ouvrages font état - existent entre les chakras et les séphiroths dont certain sont différemment « couplés » à d’autre. Au final, il faut peut être reconnaître qu’il n'existe pas de correspondance tout à fait juste - ses adhérents eux-même parle de la Kabbale comme d’une science « spéculative » -, et que toutes tentatives d'établir un lien irréfutable seront plus ou moins vouées à l'échec.

Autrement dit, mon approche de Fuxi et Nuwa n’est pas en rapport avec la Kabbale. L’Arbre de Vie donc auquel je fais référence est en dehors de toute race et de toute religion. Il n'appartient à aucune culture, sauf peut-être à toutes car son image se trouve partout où la conscience existe et donc également dans notre propre corps physique intimement lié á la nature : Arbre corporel dont l’existence et la position des centres seront découverts à la suite d’un éclair foudroyant. (sera développé)

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L’ironie du sort est qu’à l’époque, j’avais remarqué, qu’en hongrois, SÁTOR signifiait (une) « Tente » (en français) mais comme la lettre centrale dite « N » (pour le mot latin TeNeT) ne signifiait rien dans cette langue, j’avais chassé d’un coup de main/de pensée cette Inspiration me Soufflant qu’il y avait (pourtant bien) un rapport avec le Magyar.

Etrangement, c’est suite à mon REJET PUR et SIMPLE de cette possibilité que mes pas me Guidèrent vers les Róvás (pas de hasards !) que j’aurais pu étudier depuis de longues années étant donné que, je vis sur les lieux d’origine de ces découvertes archéologiques, et qu’en prime (c’est le cas de le dire), dans cette incarnation terrestre, tous mes grands-parents (les 4) sont Sicules (région située dans les Carpates).

Alors que je ne m’intéressais PLUS à la question de ce Carré Magique, au mois de décembre (dernier), pourtant, de fils en aiguilles, je fus « RE-mise, RE-dirigée » sur la question de SÁTOR et ROTÁS auparavant « éludée ».

Aujourd’hui, j’ai la Certitude que ce cube Magique est effectivement écrit en MaGYaR :

- Sátor = Tente (de Dieu), tente des Justes ;
- Péter = Pierre
- TéRéT = Tér = Espace ; Rét = Prairie ;
- Sara(h) = Princesse, Dame, Femme ;
- Aras = Moissonne ! (VERBE á l’impératif !)
- Ara = Fille ou jeune mariée;
- Ör = Gardien;
- Kep(h) = Pierre Philosophale ; Tête

Les Romains ont séjournés suffisamment longtemps sur ce territoire pour avoir le temps d’étudier, de déchiffrer les Róvás comme, les moyens (grâce à leurs érudits) de retranscrire l’écriture rovásique du carré en lettres latines !

Outre mes développements argumentaires, différentes preuves archéologiques (voir les photos ci-jointes) comme des écrits bibliques attestent cette Affirmation (Catégorique).


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Un accent se trouve sur la lettre "A" ce qui donne "Á".
La barre horizontale du A n'en est pas une.
Le "N" est en fait, la lettre rovasique "R".

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La lettre "T" n'a qu'une barre se dirigeant vers la gauche comme le rovás "T".

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Le Bleu du patron divin est contigu à l'inscription de Sátor/Rotás.
Vestige de budapest, époque romaine.

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ÚR est présent au centre du carré.
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MessageSujet: Écriture "Vieille Europe" : Sátor et Rotás (2)   CLÉS DONNANT ACCÈS AU MYSTÈRE CHRISTIQUE - Page 2 Icon_minitimeJeu 10 Jan 2013, 01:59

Je vous laisse lire les recherches (bibliques) de/et commentées par PATRICK THEVENOT en rapport avec Sátor/Rotás (qui pensait que la langue du carré était le français (je laisse telles quelles ses remarques personnelles)) :


Citation :
- Apocalypse II-17

« Que celui qui a des oreilles entende (car il faut de l’entendement) ce que l’Esprit dit aux Eglises : A celui qui vaincra Je donnerai (au futur) de la manne cachée, et je lui donnerai UN CAILLOU BLANC (parce que Divin) ; et sur ce caillou (le Carré Sator) est écrit un nom nouveau (celui du Paraclet), que personne ne connaît, si ce n’est celui qui le reçoit. » (donc le seul à pouvoir l’ouvrir et le déchiffrer).

- I. Pierre II-6

« Car il est dit dans l’Ecriture : Voici, je mets en Sion une PIERRE angulaire, choisie, précieuse (car "pré" parée dans les "cieux") ; et celui qui croit en elle (bien comprendre le double sens : croire et croître) ne sera pas confus. » (en référence à la confusion décrite dans l’Apocalypse).

- Matthieu XIII-35

« Je publierai des choses cachées depuis la création du monde. »

- Matthieu XXI-43

« C’est pourquoi, je vous le dis, le royaume de Dieu (la Connaissance) vous (au peuple hébreu et sa langue) sera enlevé, et sera donné à une nation (la France par sa langue… à vous d’en juger par la suite) qui en rendra les fruits. » (la révélation du "Verso" des mystères, pour l’Apocalypse).

- Confirmé dans 1 Corinthiens XIV-21
Il est écrit dans la loi (c’est la Torah qui est appelée la Loi) :

« C’est par des hommes d’une autre langue, et par des lèvres d’étrangers que je parlerai à ce peuple, et ils ne m’écouteront pas, même ainsi, dit le Seigneur. »


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Avant de poursuivre, comme cela est en lien Direct avec le développement de SÁTOR/ROTÁS, je rappelle que la tête des polarités dans la (les) Pyramide(s) isocèle(s) est dirigée VERS la pointe de la pyramide.

J’ai bien eu la tête « coincée » par les versants d’une pyramide « trop » petite (car je l’avais « dépassé ») mais en ait découverte une autre au-dessus de la précédente.

Ce qui signifie que les visages ne se font PAS face (bien qu'ils le peuvent) car alors comment, les Polarités seraient-elles de Véritables Gardiens ?

SEULS le bassin, et les jambes sont en contacts et pour cause car la Fusion ne pourrait avoir lieu autrement ! Il est a remarqué que c'est la dynamique en SPIRALES (dessinées sur les pyramides) qui font que les polarités s'éloignent l'une de l'autre permettant au CARRE de prendre forme.

La vision d’Ezéchiel parle bien de quatre Êtres mis DOS à DOS mais avec des Yeux « dans toutes les directions ». Et cela est, en effet, tout à fait possible. La Multidimensionnalité est la Clé.

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Cette image de Sphinx ne tient donc pas la route... :

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Citation :
16 mars 2009.


Une Présence : Énergies Divines Féminines : sous la forme de doigts chatouillant ma chevelure, à l'arrière droit de mon crane, ELLE fait remarquer sa présence à mes cotés.

Très vite après ce "contact Divin", une grande plaque rectangulaire (20/40 cm), une plaque MAGNÉTIQUE en fait, est déposée sur le haut de ma poitrine, au ras de mon cou. Elle y pend comme un "collier" et se met à "transmettre" les énergies environnantes, en moi, en mes corps... Je sens différentes énergies très "aiguës" entrer dans ma poitrine...

Je me sens "inconfortable" dans mon corps physique, comme décalée par rapport à celui-ci. En faisant ce constat, je réalise que l'un de mes corps subtils (l'un de mes moi) est assis sur ma cuisse droite (??). Soudain un autre de mes corps, toujours assis sur ma cuisse, se tourne à 90 degré vers la gauche (???). Incroyable, je me ressens dans tous ces 3 corps SIMULTANEMENT.

Je réalise alors que l'un des Moi est assis sur ma cuisse pour recevoir en plein milieu du coronal les Énergies Célestes se déversant sur moi. Ce qui est vraiment drôle, c'est que sur mon corps physique, je ressens cet écoulement énergétique en moi sur la partie droite de mon crane. Tout cela se déroule pendant que ma partie tournée vers la gauche "regarde" en fait l'un des êtres de Lumière Masculin cette fois se tenant à ma gauche. Je ne sais Qui cela est... Je ne fais que ressentir le travail qu'il commence à faire sur mes cerveaux : les 2 parties.

Une Énorme chaleur, effet sauna, me fait revenir dans mon corps physique. Je me demande ce qui peut bien faire cet effet quand je vois et ressens que ma colonne vertébrale est en fait en "FEU". Ma colonne vertébrale n'est plus qu'une colonne de Feu. Ce Feu lentement monte de mon premier chacra vers les suivant. A chaque chacra se forme un "mini" SOLEIL irradiant ces rayons et sa chaleur dans TOUS les sens (comme notre Astre le Soleil quoi). Ce rayonnement vers l'extérieur de mon corps se fait ressentir comme des milliers de petits "éclairs" sortant de mes chacras. Je sens que mes paumes ainsi que mon plexus sont également "brûlants"...

Tout le long de cette méditation, à nouveau, mon Nez sera fortement sollicité... d'abord la partie droite, ensuite la gauche...


Dernière édition par douceur le Mar 15 Jan 2013, 22:28, édité 1 fois
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MessageSujet: Écriture "Vieille Europe" : Sátor et Rotás (3)   CLÉS DONNANT ACCÈS AU MYSTÈRE CHRISTIQUE - Page 2 Icon_minitimeJeu 10 Jan 2013, 02:36

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MessageSujet: Écriture "Vieille Europe" : Sátor et Rotás (4)   CLÉS DONNANT ACCÈS AU MYSTÈRE CHRISTIQUE - Page 2 Icon_minitimeJeu 10 Jan 2013, 03:45

Précisions supplémentaires :

Les Róvás sont composés de 42 lettres plus précisément de 27 consonnes et de 15 voyelles.

Comme chaque Texte Sacré peut être interprété par les nombres, (et que ce carré en est un de "sacré") j'ai :

- dans un premier temps, attribué à chaque lettre son (propre) chiffre : celui qui correspond à l'emplacement exact de la lettre (en calculant sa place de la droite vers la gauche).
- dans un deuxième temps, réduit tous les chiffres à deux numéros, c'est-à-dire ceux au-dessus de "9" à un seul nombre.

Les 3e et 4e étapes additionnent les nombres qui forment "TéRéT" et les 4 autres carrés restant plus petits autour, pour finalement tout réduire à un Chiffre Final.

Nous remarquerons que la somme (totale des nombres) du Carré donne 70 ou 7 !

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MessageSujet: Écriture "Vieille Europe" : Arbre d'ÚR et 15 dimensions   CLÉS DONNANT ACCÈS AU MYSTÈRE CHRISTIQUE - Page 2 Icon_minitimeDim 13 Jan 2013, 18:49

Bonjour à tous,

En regardant, le Carré « magique » de SÁTOR, nous constatons que tous les nombres se rapportent à notre corps physique également :

- 23 chromosomes (= 1 cellule)
- 5 doigts, orteils
- 4 membres, 22 acides aminés
- 2 yeux, oreilles, bras, jambes, trous de narines, seins, ovaires, lèvres, testicules, poumons, cerveau, etc.
- 1 corps (physique), vagin, pénis, coeur, foie, etc.

A cela vient se rajouter ce qu’Ambre et Chat-Man (sur le rapport entre les doigts de la main et la paume : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] nous ont transmis comme informations.

Citation :
Vous allez découvrir pourquoi un bébé pèse en moyenne 3Kg 14
et mesure 52 ,...cm.

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Nous ne pouvons par ricochet que constater que les Nombres 3 (= 12), 6 (= 15 = 33) ne font pas parties de cette liste.
Pourquoi ?

Tout simplement car ils font parties de « l’Eternel », de l’ Infiniment Grand et l’Infiniment Petit, du macro- et micro-cosme et donc aussi de l’ Octaèdre Kristique CONTENANT notre Arbre de Vie CORPOREL.

1) Comme le Carré (qui est seulement le Plan de la Matière) a une Valeur Vibratoire de 7(70), et que les chevrons ou « S » ont une Valeur de 31(4), il advient que la Fréquence Vibratoire de l’entièreté de l’octaèdre est de 15, fréquence descendant jusqu’à 6 dans le matière carbone : C ( = 1ère densité)..

Le 6 est ainsi considéré, à juste titre, comme le « Fils » :

- 7 + 31 + 31 = 69 = 15 = (6)
- 7 + (4 + 4) = 15 = (6)
- 7 + 8 = 15 = (6) ; 8 + 7 = 6

2) Comme notre Arbre de Vie Corporel « baigne » dans la fréquence 15, il ne peut que vibrer aussi à la 12e fréquence en lien avec l’Eternel = 66 (double 6 : 6+6 = 12 donc 3).

Et il s'avère qu'en effet, l’axe vertical de l’Arbre Corporel, délimité par le Róvás « GY », 12e lettre, lie le Carré aux 2 autres Triangles permettant ainsi l'Union* des « 3 en UN ». De plus, l’Arbre de notre corps a sa racine terrestre qui débute par la lettre « T » (à une seule branche dirigée vers la gauche), 33e lettre dont la valeur est 6.

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MessageSujet: Écriture "Vieille Europe" : Nombre 21 et 23 chromosomes   CLÉS DONNANT ACCÈS AU MYSTÈRE CHRISTIQUE - Page 2 Icon_minitimeMar 15 Jan 2013, 18:36

*L’Union des 3 Formes Géométriques « Primaires » ou « Union Trinitaire » possède une valeur symbolique Sacré. Cette Trinité vaut 21 :

- L’ Eternel ou « Noeud Papillon » autour des 2 Triangles = 3
- Le Triangle Isocèle (à 2 cotés égaux) = 4
- Le Carré = 7

Le 10e róvás est la Lettre « F » pour FöLD, la TERRE ;
Le 21ème róvás est la lettre « M » pour signifier MéH, la MATRICE mais également (les) Abeilles !

Citation :
(...) Le culte de la Déesse-Mère a été largement étudié par le professeur Marija Gimbutas de l'Université de Californie à Los Angeles.[12] De nombreuses statues de la déesse de fertilité ont été trouvé en Europe Centrale, en particulier dans le bassin des Carpates, datant du 6ème et 5ème millénaire avant notre ère. Une soixantaine d'entre eux ont été trouvé à Méhtelek [note : Méh = Utérus, Matrice ET aussi Abeilles (!!); telek = terrain]. Selon József Bíró, à l'époque de la culture de Körős, la Déesse-Mère a été appelé ERES ou ÉRŐS. Ce nom est conservé dans le nom même de la ville, Erősd. Le nom du dieu grec de l'Amour, Eros, peut y être connecté.[13] Dans Le Langage de la Déesse, le professeur Gimbutas propose une explication pour les lignes sur les statuettes de la déesse. Le signe M avait une signification aquatique, comme les chevrons et le méandre. Il est intéressant de noter que l'ancien peuple représentait également la Déesse-Mère comme une "mère originelle" sous la forme d'une biche.[14] Dans les légendes hongroises, l'ancêtre des nations Magyar et Hun était également une biche.

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La Graphie « M » (40e lettre á savoir la lettre latine « V » pour VíZ = EAU) à laquelle se réfère Marija Gimbutas n'est pas á confondre avec la 21e lettre prononcé "m" :

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21e róvás comme MerKaBaH, MéH (matrice et abeille)

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Citation :
- 23 chromosomes (= 1 cellule)
- 5 doigts, orteils
- 4 membres, 22 acides aminés
- 2 yeux, oreilles, bras, jambes, trous de narines, seins, ovaires, lèvres, testicules, poumons, cerveau, etc.
- 1 corps (physique), vagin, pénis, coeur, foie, etc.

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MessageSujet: Re: CLÉS DONNANT ACCÈS AU MYSTÈRE CHRISTIQUE   CLÉS DONNANT ACCÈS AU MYSTÈRE CHRISTIQUE - Page 2 Icon_minitimeMar 15 Jan 2013, 18:41

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Italie du Sud -7300 av. JC
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MessageSujet: Écriture "Vieille Europe" : SÁRÁ + ÚR = UNITE   CLÉS DONNANT ACCÈS AU MYSTÈRE CHRISTIQUE - Page 2 Icon_minitimeMar 15 Jan 2013, 21:12

Bonsoir à tous,

Sárá ou SÁRÁ, quelles différences y a-t-il entre ces deux Noms (désignant la Princesse/LA Femme) ?

Saviez-vous que l'ETERNEL et la lettre qui le désigne (à savoir le Noeud Papillon) contient aussi bien le nom de SÁRÁ que celui d'ÚR ?! Autrement dit, que (Ma)Dame et (Mon)Sieur couplés forment la graphie de l' "Eternel" ?


La lettre "S", en fonction de la voyelle, qui lui succède change de graphie comme suit :

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Citation :
[Introduire des silences, des espaces dans un texte, le remodeler par circoncision textuelle, transforme le lecteur en créateur. Cette idée du vide signifiant se retrouve dans les pensées chinoise et japonaise.
Ainsi il existe 4 livres :
- La Tora de Dieu est un texte oú il n’y a que des lettres, plus exactement UN SEUL GRAND MOT sans coupure, ni ponctuation de perception sémantique. Ce texte est vu comme l’ensemble des noms de Dieu.
- La Tora de Moïse est le texte généralement connu, constitué des mots que Moïse a produits par l’introduction des coupures.
- La Tora des hommes consiste à produire de nouveaux mots et de nouveaux sens à partir du précédent.
- La Tora du Messie est le texte que nous lirons quand nous serons capable de lire les lettres blanches entre les lettres noires.]

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MessageSujet: Écriture "Vieille Europe" : l'áBéCé, l'Eternel - les Lettres   CLÉS DONNANT ACCÈS AU MYSTÈRE CHRISTIQUE - Page 2 Icon_minitimeJeu 17 Jan 2013, 23:15

Bonsoir à tous,

Si l’unique róvás de l’Eternel comprend les Titres de « Sieur et Dame », il nous révèle d’autres secrets encore.

En effet, ce nœud papillon cache en son sein ce qui sera dénommé, plus tard, l’ABC, l’ « alpha-bet » associé à tort, à « alpha et oméga ». Ce concept de « début et fin » créant le Néant/Trou Noir n’est pas, nous le verrons, identique à l’Eternel puisque deux lettres Á (et aucun omega) « remplissent » son glyphe !

Ce seul glyphe Ú que les hébreux nomment la « Tora(h) de Dieu » contient 9 lettres « pures » et 4 lettres « de remplissage ou assemblage » (13 lettres au total si je les ai bien toutes reconnues). Ce Texte à un Seul Mot ne raconte pas moins que l’histoire (complète) de la Création, histoire qu’il est possible de « lire et comprendre » à la condition sine quoi non de respecter l’ordre « de création/d’apparition » des lettres.

Une traduction exacte de ce Texte nécessite, avant toute chose, de répertorier tous les mots pouvant être construits à partir de ces 10 consonnes et (seulement) trois voyelles : A (voyelle fermée prononcée comme dans Ambre, an neuf, etc.), Á (ouvert et court comme dans année) et Ú (comme dans ours).

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Arrivée à ce stade de l’analyse, il m’apparaît clairement que l’origine de l’écriture n’est pas celle communément admise par les paléontologues comme cela l’est décrit ici :

Citation :
Les plus anciennes traces de l'ancêtre de tous les alphabets actuels se situent dans le désert du Sinaï aux alentours du XVe siècle avant J.-C. Cet alphabet est exclusivement consonantique. Les lettres sont initialement représentées par des pictogrammes apparentés aux hiéroglyphes égyptiens mais servent à noter une langue sémitique. Par exemple « A » figurait une tête de taureau avec ses cornes ; on a utilisé ce pictogramme pour noter le son initial du nom qui désignait la chose dans la langue (A=aleph, nom du taureau en Hébreu) ; enfin, on a donné à la lettre alphabétique nouvelle le nom de la chose que figurait le pictogramme originel (aleph est le nom de la lettre A).

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(...) Les deux premières lettres de l’alphabet grec, α (alpha) et β (bêta), ont pour origine les deux premières lettres phéniciennes : le coup de glotte et /b/, dont le nom signifiait vraisemblablement « taureau » et « maison ».

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N’est-ce pas une évidence que l’animal calligraphié ici n’est qu’une « traduction imagée » des róvás K-R formant les mots iKeR (= jumeau) et öKöR (boeuf). Cette sculpture de trône à deux places mais constitué d'un seul socle ne serait-elle l’expression artistique de cette gémellité également (plutôt que d'un taureau seul) ?

Citation :
- öKöR = Boeuf
- öRöK = éternel

- iKeR = Jumeau
- aKáR = tout comme

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Et ce qui, plus haut, ressemble à un « K » couché (à la suite de la tête de taureau) ne vous fait-il pas penser à la voyelle « Ő » signifiant Il/Elle ou à Fuxi et Nuwa assis sur le même « trône » avec leurs troncs formant un chevron et leurs bras levés comme des « cornes » (de taureau) ?

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MessageSujet: Écriture "Vieille Europe" : les Nombres   CLÉS DONNANT ACCÈS AU MYSTÈRE CHRISTIQUE - Page 2 Icon_minitimeDim 20 Jan 2013, 23:12

Deux remarques avant de poursuivre :

- Comme les lettres A-Á sont des lettres de « remplissage » du glyphe d’Ú, le « véritable » alphabet débute avec la consonne « B », 3e lettre de l’ áBéCé.

- La pierre philosophale est parfaitement visible sur le front de Nuwa/Sára.


Bonsoir à tous,

Lors de leurs créations, les « róvás » ou coches, encoches, du verbe « Ró » (marquer, graver, faire une encoche) englobaient sous cette dénomination tant les Lettres que les Nombres. Et ce n’est pas une simple coïncidence, si les consonnes R (= 29) + V (= 40) + S (= 31) créant la forme géométrique du glyphe Ú ont une valeur numérique de 100, introduisant ainsi aussi bien le « zéro » que le système décimal.

Si Sára+Úr = 10
Et R+V+S = 100
Alors 10 x 100 = 1000

Si la Géométrie (Sacrée) de l’Eternel est à la base de tous les áBéCé, l’on peut assurer qu’elle est également à l’origine de la Géométrie des Nombres. Par conséquent, les chiffres « de l’Eternel » ne sont ni romains, ni arabes ou indiens.

Citation :
(...) En fait, la critique moderne reconnaît que la numération romaine est une survivance d'une pratique archaïque, antérieure à l'invention même de l'écriture (et donc, à strictement parler, préhistorique), et que l'on retrouve dans de nombreuses civilisations.

Ces chiffres seraient dérivés de l'utilisation de bâtons à entailles et de la nécessité d'y faire figurer des repères : Le berger qui veut compter ses bêtes sans savoir énumérer prend simplement un bâton sur lequel figurent des encoches, fait passer son troupeau devant lui, et décale son ongle d'une encoche à chaque fois qu'une bête passe devant lui : l'encoche finale correspond au nombre de bêtes, et il suffit de repérer sa position pour conserver le nombre. Avec ce système, les premiers chiffres sont toujours des encoches simples, ultérieurement transcrites par des « I ».

Le repérage n’est pas aisé dès que le nombre d’encoches dépasse une poignée, parce que l’œil ne perçoit pas clairement les collections au-delà de trois ou quatre éléments : lire IIIIIIII est pratiquement impossible (par comparaison à VIII, beaucoup plus simple). (...)

Le repère « cinq » naturel pourra être une encoche plus longue (utilisée sur les règles), ou en biais (utilisée sur les tailles), mais ces deux marques ne se différencient pas bien des encoches simples quand il s'agit de les transcrire. Les marques simples finalement utilisées sont formées par une encoche double (en forme de V, ou de Λ quand on le lit dans l'autre sens). Le regroupement suivant, à dix encoches, est pratiquement toujours une encoche en croix X. Les repères ultérieurs ont des formes plus élaborées, à trois encoches : 50 correspond à « V plus une encoche », ce qui donne initialement des formes en N, Z ou E ; et cent correspond à « X plus une encoche », donnant des formes de type étoile (Ж). Ces formes étaient moins stables, et ont évolué par la suite vers des formes à deux traits, en L pour cinquante, et C pour cent.

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Les indiens sont dit avoir inventé le système décimal et le zéro. S’il en est ainsi, seul le pré-sanskrit ou róvás utilisés en Inde sait être à la base de cette découverte. Et alors, toutes les informations se rejoignent... en un même point.

Nombres (róvásiques) de l’Eternel :

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MessageSujet: Écriture "Vieille Europe" : le nombre PI (1)   CLÉS DONNANT ACCÈS AU MYSTÈRE CHRISTIQUE - Page 2 Icon_minitimeDim 20 Jan 2013, 23:34

Si les Lettres et les Nombres sont l’Œuvre de l’Eternel, le nombre PI ne peut être créé qu’à partir d’une Essence identique à celle de l’Eternel. Et si l’Eternel est totalement « rationnel » comme les « clés des mystères kristiques » nous ont permis de le démontrer, alors PI est également un nombre « rationnel ».

Sphinx écrivait dans [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

Citation :
Lorsqu'il s'agit d'analyser rien moins que l'Oeuvre, on se heurte à plusieurs problèmes. Le premier est que l'expression d'une vérité altère systématiquement ladite vérité. A tel point que l'on peut affirmer que Expression = Altération. Une autre difficulté réside dans le fait que la Création (terme biblique qui sera justifié plus loin) est une unité synchrone. Ce qui signifie qu'il n'y a pas une parcelle de la Création qui soit isolée, indépendante du Tout. La nature même de chaque élément existentiel dépend essentiellement de la totalité de l'Oeuvre, donc de l'Unité.


(...) La métaphysique est la seule et véritable discipline qui se place au-delà du cadre usuel pour tenter de trouver d'éventuelles références supérieures. Car son but est de trouver la cause première de l'Existence, c'est-à-dire LA référence ultime qui peut permettre de comprendre la Nature de toute chose, c'est-a-dire la raison métaphysique d'Existence de toute chose. Alors que la sociologie se passe de références et que la philosophie s'en choisit de toutes les couleurs, la métaphysique apparaît comme la seule discipline réellement en accord avec l'évolution de conscience.

Bien sûr, il y a le mysticisme! Le problème, dans le cas des croyants est qu'ils sont le plus souvent intégrés dans un cadre de références religieux, qui peut d'ailleurs être lié au cadre social, et que les références religieuses sont, à l'instar des philosophies, fort hétéroclites et tout aussi arbitraires. Evidemment, le principe religieux est basé sur la foi et l'acceptation de l'existence de mystères qu'il est vain de vouloir comprendre. En quelque sorte, une religion dit: "voici les références a suivre et vous n' avez nul besoin de savoir pourquoi il faut les suivre!". Si la religion en question est basée sur des références relativement correctes cela passe encore, mais si ces références sont franchement erronées, ça devient dramatique! La vérité est qu'il n'y a pas de mystère, et ce tout simplement parce qu'il n'y a nulle chose qui soit inaccessible à l'Homme. Se référer à un soit-disant mystère est un prétexte facile qui entrave la recherche de la spiritualité.

Cependant, l'évolution spirituelle ne se base pas exclusivement sur la compréhension des références supérieures, mais aussi et surtout sur leur acquisition au niveau émotionnel. Tout ne peut donc pas être compris, mais tout peut être acquis et su! La compréhension peut aider à ne pas se perdre, à équilibrer l'ascension et, dans ce cas, la métaphysique apparaît comme la seule discipline pertinente. Encore faut-il avoir la bonne clé et pouvoir s'en servir!

Celui qui dispose d'une clé et qui peut s'en servir est un initié.

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Pour se faire une idée, des discussions sur PI, ayant déjá eu lieu sur le forum, lire : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

Il est dit de Pi :

Citation :
Pi est un nombre, que l’on représente par la lettre grecque du même nom : π. C’est le rapport de la circonférence d’un cercle à son diamètre. On peut également le définir comme le rapport de la superficie d’un cercle au carré de son rayon.

Sa valeur approchée arrondie à 10–9 est 3,141 592 654 en écriture décimale.

De nombreuses formules, de physique, d’ingénierie et bien sûr de mathématiques, impliquent π, qui est une des constantes les plus importantes des mathématiques.

Le nombre π est irrationnel, c’est-à-dire qu’on ne peut pas l’exprimer comme un rapport de deux nombres entiers ; ceci entraîne que son écriture décimale n’est ni finie, ni périodique. C’est même un nombre transcendant, ce qui signifie qu’il n’existe pas de polynôme non nul à coefficients entiers dont π soit une racine.

La détermination d’une valeur approchée suffisamment précise de π, et la compréhension de sa nature sont des enjeux qui ont traversé l’histoire des mathématiques ; la fascination exercée par ce nombre l’a même fait entrer dans la culture populaire.

L’usage de la lettre grecque π, première lettre de « περίμετρος » — périmètre en grec —, n’est apparu qu’au XVIIIe siècle.

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L’Eternel qui s’exprime en base 12 kristique, l’équivalent de la base 3 (Pi = 3,...) nécessite, dit-on, d’une « clé » pour « comprendre son Œuvre ».

Et cette clé est le CARRE (Sacré) de Sátor/Rotás lui-même !

Au vu de ce que j’ai compris grâce à Sátor, PI s’exprime parfaitement, contrairement à ce qui est dit, dans un rapport de « deux nombres entiers ». Bien entendu, cela demande de ne PAS considérer PI comme un « CERCLE parfait, statique et morbide » mais bien comme l’Eternel Ú dans LE carré avec le nombre « 8 » comme Point Central de la Création.


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C’est en effet, à partir de ce centre 8 que la FORME DYNAMIQUE de l’Eternel est « CREEE » et ainsi parfaitement dessinée. Le schéma descriptif imprimé dans le Carré de Sátor indique avec précision les « Directions à emprunter » : vers le haut, en 1er , vers le bas, en second :

- Du 8 centré, en diagonale ascendante, nous arrivons au 31 (1er angle du carré) ;
- Retour au 8, pour prendre la diagonale « 4 » plus courte car constituée de 2 carrés afin d’arriver au 29 (autre extrémité angulaire du carré) ;
- ces deux points (31-29) délimitent, en ligne droite (= la somme), le haut du Ú/Eternel ;
- Retour au 8, deux diagonale(s) dirigées vers le bas, indiquent le 10 et, de l’autre coté, le 11 délimitant un « plus petit » carré (=7).
- Retour au 8, pour atteindre le 31 tout en bas, à droite, en passant par le « petit » carré (=7) avec à son extrémité angulaire le 11 ;
- En ligne droite (=5), nous atteignons l’angle du « grand » carré (=7),
- etc., etc.

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Ce nombre « 8 » est donc vraiment l’euphémisme des mots « croix-crucial ». Il est par conséquent normal qu’aussi bien chez les grecs que chez les hébreux, « le cœur de PI » ait (aussi) une valeur de 8 : par 80 ou 800 :

Citation :
Pi (capitale Π, minuscule π ou ϖ), en grec πῖ, est la seizième lettre de l’alphabet grec. Dans la numération grecque, π désigne 80.

En grec ancien comme en grec moderne, elle est prononcée /p/ comme en français.
Elle a donné le P de l’alphabet étrusque puis le P de l’alphabet latin, mais pas le Р de l’alphabet cyrillique qui vient du rhô (Ρ) grec.

Dans son livre l'Alphabet grec paru chez TheBookEdition, Thierry de Mortain explique que la lettre Π serait une porte car associée au mot ΠYΛH (prononcez « PYLÊ »), porte de ville ou de temple. Ainsi la lettre Π ressemble-t-elle à la porte des lionnes à Mycènes, la porte étant un symbole de la civilisation grecque classique, fondée sur les cités. La lettre Π tomba en désuétude chez les Romains, car les portes en style roman supplantèrent les portes en forme de Π.

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Citation :
Phe ou Pe (פ, prononcé /p/ ou /f/) est la dix-septième lettre de l'alphabet phénicien et hébreu (22 lettres). La lettre phénicienne donna le Pi (Π, π) de l'alphabet grec, le P de l'alphabet latin et de son équivalent cyrillique.

Le mot hébreu Pé signifie "bouche".
La valeur numérique de פ est 80 et celle de ף est 800.

Lorsque le פ est marqué d'un point (Daguech), il se prononce p (articulation occlusive), sinon il se prononce ph, comme dans pharmacie (articulation fricative).
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MessageSujet: Écriture "Vieille Europe" : le nombre PI (2)   CLÉS DONNANT ACCÈS AU MYSTÈRE CHRISTIQUE - Page 2 Icon_minitimeDim 20 Jan 2013, 23:51

Conclusions :

La définition de PI (lié au cercle) généralement admise par tous est, « à mes yeux », complètement « à côté de la Vérité ». Seul ceci peut expliquer que PI n’ait (jamais) pu être « appréhender », expliquer, rationnellement comme nombre rationnel par aucun « grand penseur », mathématicien, philosophe, maître spirituel ou génie.

La définition correcte de PI devrait être :

« Pi est le rapport du Périmètre de l’Eternel ou Ú à son diamètre, le diamètre étant un segment de droite passant par le centre, dans ce cas précis, du carré » et non pas :

Citation :
π = C’est le rapport de la circonférence d’un cercle à son diamètre. On peut également le définir comme le rapport de la superficie d’un cercle au carré de son rayon.

Si chez d’aucun, des doutes persisteraient au niveau de cette « Vérité de PI = Ú = l’Eternel » et donc son NON rapport (direct) avec le cercle de 360˚, une analyse linguistique soulève d’autres voiles encore :

1) Pi = 3,14 15 :

- 3 = lettre B
- 14 = lettre i (court)
- 15 = lettre í (long)

Essayez de prononcer « Bií » et vous verrez que cela « sonne Pi ».

2) 3,14 = 3, 5 : La 3e lettre = B est suivie de la 5e lettre = CS.

Le nombre « 5 » est la somme des lignes du CARRE de SÁTOR et, nous l'avons vu, la QUINT-essence.

B+CS donnent les mots suivant :

- BeCS = valeur ; prix (synonymes d’ « éR » (veine/artère) valeur/prix)
- BeCS = estimation
- BeCSeS = précieux/précieuse ; de grand prix ; de valeur
- BeCSüL = Considération ; Estime
- BeCSüLeT = Honneur ; Réputation

Etonnement, tous ces mots débutent par LA (véritable) première lettre de l'á !

3) Pi = 3,14 : 31 = SA et 4 = C donne le mot « SAC », diminutif du mot estimation (= saccolás), et l’expression « sac per kb. » qui signifie : à peu près ; +/- ; environ, etc.
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MessageSujet: Re: CLÉS DONNANT ACCÈS AU MYSTÈRE CHRISTIQUE   CLÉS DONNANT ACCÈS AU MYSTÈRE CHRISTIQUE - Page 2 Icon_minitimeLun 21 Jan 2013, 00:57

douceur a écrit:

1) Pi = 3,14 15 :

- 3 = lettre B
- 14 = lettre i (court)
- 15 = lettre í (long)

Essayez de prononcer « Bií » et vous verrez que cela « sonne Pi ».


A propos du disque bi :
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MessageSujet: Écriture "Vieille Europe" : Sources communes   CLÉS DONNANT ACCÈS AU MYSTÈRE CHRISTIQUE - Page 2 Icon_minitimeMar 22 Jan 2013, 01:05

Merci Chat-man...

Que l’ancien chinois, l’ancien anglais, le pré-sanskrit et les LOGO-graphes de l’Eternel ont une source commune est une certitude aujourd’hui pour moi.

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Les LOGO-graphes se lisent, s’écrivent et se comprennent dans TOUTES les langues de la même manière, quelque soit la culture et/ou le continent oú ils sont apparus. Le « Verbe » transmis par ces róvás est multi-lingue. Qui n’a pas remarqué que les Noms de FUXI et NUWA sont également « inscrits » dans le glyphe (unique) de l’Eternel comme le sont Sára et Úr ?

Mais, toutes ces Langues Sacrées furent falsifiées sans exception aucune et ce, à différentes reprises au cours de l’histoire de notre monde actuel. Sous l’égide de « réformes nécessaires », les déformations des Róvás (magyar) mais les plus importantes introduites par l’Eglise datent du 15e siècle. Etrangement, c’est à la même époque que l’hébreu semble avoir connu une altération profonde de sa propre langue (sacrée à l’origine) et par conséquent, des connaissances qu’elles véhiculent. (Je reviendrai sur cette question dans la rubrique appropriée.) Les « réformes » de la langue chinoise quant à elles proviennent essentiellement de la dynastie Qin et de l’empereur Qin Shi Huang:

Citation :
Si son règne est finalement assez court puisqu’il ne dure que onze ans, cela n’empêche pas Qin de réaliser de profondes réformes dont le pays a grand besoin. Il impose d’abord un système politique centralisé, ce qui lui permet de mieux surveiller les dirigeants des anciens Royaumes Combattants.
Puis il normalise les écritures en abolissant tous les styles régionaux. Cette réforme, qui permet aux sujets lettrés de son Empire de mieux se comprendre entre eux, sera très efficace puisque ses effets se feront sentir pendant plus de 2 000 ans… jusqu’à ce que Mao modifie à nouveau les caractères chinois en 1958 !

(...) Au niveau économique, il a l’intelligence d’unifier le système des poids et mesures, mais surtout le système monétaire en créant la sapèque, petite pièce de cuivre ronde à trou carré au centre

(…) Mais l’unificateur de la Chine est un véritable dictateur qui ne tolère aucune contestation : il fait régulièrement dresser des bûchers en place publique afin de brûler, au cours de gigantesques autodafés, tous les écrits qu’il juge subversifs et principalement ceux de Confucius. Les chroniques de l’époque rapportent qu’il lui arriva, un jour, de faire enterrer vivants 460 intellectuels qui s’opposaient à lui !

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Le Bi/Pi n’est pas « un disque », tout comme ne l’est pas le Yan/Yún d’origine, transformé plus tardivement, en « Yin(g)/Yang circulaire ». (à développer)

Au sujet de la pierre de jade que tu mentionnes, les éléments graphiques dans les dictionnaires (souvent des pictogrammes) là pour « indiquer » de quoi parle le sinogramme, nous apprend que :

Citation :
玉, yù, « la pierre de jade », vient du sinogramme 王, wáng, « le Roi, l’Empereur » (nom de famille également), avec un trait sur le côté pour symboliser la bague en jade que les Empereurs avaient coutume de porter.

Si je reprends la traduction française du texte chinois différents points attirent mon attention :

Citation :
Dans l'antiquité, on appelait le disque "bi" ou "pi" le trésor dont héritent ceux qui sont sous le ciel ". De taille variable suivant l'usage et les époques, son épaisseur varie de 1 à 10 mm. Le dictionnaire du savant Xu Shen, sous la dynastie des Han (206 avant J.C. - 221 après J.C.) le décrit de la façon suivante : "Le bi est un jade annulaire auspicieux plat. Quand le rou (disque) a le double de la largeur du hao (trou central) il est appelé bi. Dans le cas d'une couronne et d'un orifice central d'égales largeurs, nous avons affaire à un huan. Cependant quand l'orifice central est le double de la largeur de la couronne on l'appelle yuan."

- Pourquoi avoir utilisé le mot « annulaire », à la place du mot « circulaire » sans équivoque, si ce n’est pour brouiller les pistes ?

- La graphie originale et l’étymologie chinoise du mot « annulaire » sont (ici) absents. Alors que nous le savons, l’annulaire est (aussi) notre 4e doigt en partant du pouce, doigt sur lequel se porte (aujourd’hui) « l’anneau ». Et cette (mauvaise) « habitude » n’est pas le fruit du hasard !

Ces axes en partant de notre 4e orteil jusqu’en haut de la tête correspondent, à gauche, à notre 7e chacra, « ligne » énergétique oú furent placés dans le corps de l’Humain le plus grands nombres d’implants « intrusifs » et, à droite, à notre 6e chacra.

Seul le sinogramme chinois d’origine pourrait révéler s’il s’agit, oui ou non, des doigts/orteils.

- L’adjectif « auspicieux » provenant du latin auspicium (« divination ») et auspex, auspicis (« devin ») introduit la concept de « magie » auquel, je n’adhère aucunement. Aucune de ces formes « divinatoires/magiques » n’est justifiée, justifiable ! Elles sont toutes spéculatoires/manipulatoires, créant confusions/divisions.

De plus, il n’est besoin d’aucun « objet » pour voir « les bons ou mauvais auspices » envoyés par les humains inconscients ou entités intrusives, ni pour ceux dictés par le Verbe de l’Eternel.

- La remarque sur l’absence du sinogramme s’applique également pour le mot « le rou » traduit en tant que « disque » .

- Et les pièces de monnaie Yuan ayant un trou « carré » perforé au centre représentaient la vision du monde qu’avaient les chinois à l’époque qui croyaient que le ciel était rond et la terre carrée.

Le concept de la forme carrée, tout comme le « Carrée Magique Lo Shu » présentent des liens incontestables avec les logographes magyar.

Le Carrée Magique de Lo Shu : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]


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MessageSujet: Écriture "Vieille Europe" : les acides   CLÉS DONNANT ACCÈS AU MYSTÈRE CHRISTIQUE - Page 2 Icon_minitimeMar 22 Jan 2013, 01:50

Bonsoir à tous,

Revenons aux logographes de la Création, si treize d’entre eux (2A/Á), B, C, (F), J, (Ka), (Ly), R, Sa, (2)S, Sz, Ú, V sont répertoriables dans le róvás Ú, seulement neuf lettres calligraphient l’Eternel : 1xB, 1xC, 1xJ, 1xR, 1xSa/Sá, 2xS, 1xSz, 1xÚ, 1xV.

Pour lire, le cahier de tournage de la Création, l'étude de l'essence des mots formés est tout indiqué.

Voici la liste (probablement non exhaustive), dans un premier tant, des mots construits à l’aide exclusivement de ces logographes « purs » (les autres lettres n’étant QUE des voyelles-consonnes « remplissant » les « vides autour » d’Ú):

1) bú = chagrin; tristesse (bú qui se prononce "bou" !)
2) sár = boue (mot dont la première syllabe constitue le nom Sára/Femme (?!)).

3) sarc = tribut; apport; contribution (de guerre)
4) sarj = jeune pousse
5) sarj = progéniture; rejeton
6) sarjú = arrière-foin : foin fané/coupé deux fois (cf. Les 4 étapes de la fenaison.); regain : herbe qui repousse après la première fauchaison

7) sas = aigle
8) sás = laîche (genre de cypéracées, comprenant des herbes vivaces, appelées aussi carex, que l'on plante dans les dunes pour en fixer les sables.)

9) SAV = acide; (VAS = fer)

10) sáv = raie; rayure; strie

11) szú = ver (du/à bois)
12) szúr = piquer; frapper; enfoncer; point de côté

13) úr = seigneur
14) új = nouveau; neuf; inédit

Avant de donner la seconde liste, celles reprenant les glyphes dans leur ensemble, une (tentative d’) approche de notre (véritable) Histoire en analysant les informations qui s'y trouvent ouvrent à des nouvelles perceptions.


Commençons avec le mot qui s’écrit dans les DEUX sens : SAV (acide) / VAS (fer).
Pourquoi donner une signification « double » à un même mot ? Pourquoi l’acide apparaît-il si important ?

Une réaction bio-chimique (dans les Eaux Primordiales ?) qui crée les liaisons hydrogène-oxygène et carbone en est l'une des raisons principales !


Voici en survol rapide les informations importantes liées à l'acide :

Citation :
En chimie, le terme acide est très général et fait référence à une espèce qui peut, en solution aqueuse, libérer un proton.

Le proton est une particule subatomique portant une charge élémentaire positive.
Les protons sont présents dans le noyau atomique, éventuellement liés avec des neutrons par l'interaction forte (le noyau de l'isotope le plus répandu de l'hydrogène, H+, est un simple proton) ; le proton est également stable par lui-même, en dehors du noyau atomique.

Le proton n'est pas une particule élémentaire, étant composé de trois autres particules : deux quarks up et un quark down.

Tout comme le neutron, le proton est un nucléon et peut être lié à d'autres nucléons par la force nucléaire à l'intérieur d'un noyau atomique. Le noyau de l'isotope le plus courant de l'hydrogène est un simple proton.

Avant d'entrer dans le détail de la nomenclature, il important de préciser que les acides peuvent être classés en plusieurs grandes classes :

• Les acides minéraux - rencontrés en chimie analytique et inorganique
• Les acides organiques
• Les acides gras - rencontrés en biochimie

NB : L'acidité d'un composé est liée à sa capacité à libérer des protons en solution. Des composés n'ayant pas (du point de vue de la nomenclature) la dénomination acide peuvent très bien se comporter comme tels en solution.

Acides en chimie minérale
Selon leur structure : on distingue deux catégories d'acide :
Les hydracides ou acides binaires
Les oxacides ou acides ternaires

Acides en chimie organique
La chimie organique comprend essentiellement 2 grandes classes d'acides :
Les acides carboxyliques
Les acides sulfoniques

Acides en biochimie
En biochimie, un acide gras est un composé comportant une chaîne hydrophobe terminée par un groupement d'acides acide carboxylique.

Citation :
Un composé est dit hydrophobe (du grec υδρο, hydro = eau, et Φόϐος, phóbos = peur) quand il repousse l'eau ou est repoussé par l'eau . L’hydrophobicité définit la propriété de ce composé.

Citation :
En chimie organique, un groupe carboxyle est un groupe fonctionnel composé d'un atome de carbone, lié par une double liaison à un atome d'oxygène et lié par une liaison simple à un groupe hydroxyle : -COOH.

(...) Les acides carboxyliques sont liquides dans les conditions normales tant que leur chaine carbonée présente moins de 8 atomes de carbone. Ils sont solides au-delà.

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Citation :
En chimie, un acide gras est un acide carboxylique à chaîne aliphatique. Les acides gras naturels possèdent une chaîne carbonée de 4 à 36 atomes de carbone (rarement au-delà de 28) et typiquement en nombre pair, car la biosynthèse des acides gras repose sur l'acétyl-coenzyme A, une coenzyme porteuse d'un groupe acétyle qui contient deux atomes de carbone. Par extension, le terme est parfois utilisé pour désigner tous les acides carboxyliques à chaîne hydrocarbonée non-cyclique.

On parle d'acides gras à longue chaîne pour une longueur de 14 à 24 atomes de carbone et à très longue chaîne s'il y a plus de 24 atomes de carbone. Les acides gras sont présents dans les graisses animales et les graisses végétales, les huiles végétales ou les cires, sous forme d'esters.

• Les huiles végétales alimentaires contiennent une fraction d'acides gras saturés relativement faible : un peu plus de 10 % des acides gras totaux pour l'huile de tournesol, 13 % pour l'huile de maïs et pour l'huile d'olive, 15 % pour l'huile de soja, mais 92 % pour l'huile de coco (ou de coprah).

(...) Il est recommandé de ne pas absorber plus de 11 % de ses besoins énergétiques sous formes d'acides gras saturés, soit pas plus de 20 g d'acides gras saturés par jour pour une femme et 30 g par jour pour un homme.

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MessageSujet: Écriture "Vieille Europe" : le Fer   CLÉS DONNANT ACCÈS AU MYSTÈRE CHRISTIQUE - Page 2 Icon_minitimeLun 04 Fév 2013, 00:09

Citation :
Commençons avec le mot qui s’écrit dans les DEUX sens : SAV (acide) / VAS (fer).
Pourquoi donner une signification « double » à un même mot ? Pourquoi l’acide apparaît-il si important ?

Bonsoir à tous,

Que savons-nous au juste au sujet du fer (Fe) ? Les recherches m’ont fait découvrir que cet élément est à l’origine de la fabrication du Sang, mystère kristique par excellence.

« Hem-onus » (humains) ou « hum-anus » (terriens) ?
Quelles différences, ici : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]


Citation :
Fer fonctionnel

Bien que présent en très faible quantité dans l'organisme (0,005 % du poids corporel), le fer joue un rôle essentiel dans de nombreuses fonctions biologiques :

• fabrication de l'hémoglobine (pigment vital des globules rouges qui apporte le dioxygène [aussi appelé « molécule d'oxygène », ou simplement « oxygène » noté O2] à chaque cellule),
• fabrication de la myoglobine (protéine du muscle permettant de stocker l’O2),
• fabrication d'enzymes impliquées dans la respiration et d'ADN.

Dans l'organisme, le fer existe sous deux formes :

• Le fer héminique (incorporé dans la structure de l'hème) entre dans la constitution de l'hémoglobine, de la myoglobine et de certains enzymes. 70% du fer de l'organisme est sous forme héminique.
• Le fer non héminique est présent dans certaines enzymes et correspond aux formes de transport et de réserve [ou stockage] du fer.

Métabolisme du fer

L'originalité du métabolisme du fer tient au fait qu'il s'effectue quasiment en circuit fermé. L'organisme est particulièrement économe de son fer. Le pool du fer de l'organisme (4 g chez l'homme adulte ; 2,5 g chez la femme adulte) est en renouvellement permanent : le fer ayant servi à la synthèse de l'hémoglobine est récupéré après la destruction des globules rouges et réutilisé.

(…) Selon l'Organisation Mondiale de la Santé, la carence en fer constitue le trouble nutritionnel le plus répandu dans le monde. (…) Si la carence en fer conduit à un stade très avancé à l'anémie, les conséquences d'une carence modérée sur l'ensemble de ces processus physiologiques sont encore mal connues : une réduction de la capacité physique et des performances intellectuelles, une moindre résistance aux infections, des perturbations au cours de la gestation, des anomalies dans le maintien de la température corporelle...

Les principaux signes de carence en fer sont la pâleur, la fatigue, le manque de souffle, les vertiges et les troubles digestifs, manque d’appétit, problémes pour dormir, pour garder les idées claires, etc.

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Citation :
Le fer héminique est présent uniquement dans les aliments d'origine animale où il représente environ 40 % du fer total. Il correspond au fer des hémoprotéines, essentiellement de l'hémoglobine et de la myoglobine. Sa biodisponibilité est d'environ 25 % et n'est pas influencée par les autres constituants des repas. Le fer non héminique existe lui à la fois dans les aliments d'origine animale et dans ceux d'origine végétale.

(...) Dans un régime de type occidental, les principales sources de fer sont : les produits d'origine animale (30 à 35 % du fer total), les céréales (20 à 30 %), puis les fruits et légumes, enfin les racines et tubercules amylacés. Pour les pays en voie de développement, la place du fer fourni par les aliments d'origine animale est beaucoup plus faible. Le fer non héminique représente à lui seul 90 à 95 % du fer alimentaire consommé dans les types alimentaires les plus fréquents dans le monde. Sa biodisponibilité est faible (généralement inférieure à 5 %) et peut être influencée par diverses substances contenues dans d'autres aliments.

On peut définir un coefficient d'absorption du fer pour chaque aliment (1 à 2 % pour le riz, 3 à 4 % pour les légumes secs, 16 à 22 % pour les viandes, 50 à 70 % pour le lait maternel…). Mais ces coefficients d'absorption calculés à partir d'aliments consommés isolément n'ont qu'un intérêt théorique, car il existe de nombreuses interactions entre les différents aliments pris au cours d'un même repas : certaines substances présentent dans les aliments agissent en facilitant l'absorption du fer contenu dans la ration, d'autres agissent, au contraire, comme inhibiteurs. Seul le fer non héminique (principale source de fer alimentaire dans les pays en voie de développement) est influencé par la composition du repas.

Le fer héminique (fer de l'hémoglobine et de la myoglobine) possède une grande biodisponibilité intrinsèque et à la différence du fer non héminique, il n'est pas influencé par les autres composants du repas.

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Citation :
L'hémoglobine est une protéine de structure quaternaire, dont la principale fonction est le transport du dioxygène [aussi appelé « molécule d'oxygène », ou simplement « oxygène » noté O2] dans l'organisme humain et chez les autres vertébrés. L'hémoglobine se trouve essentiellement à l'intérieur des globules rouges du sang (13.5 à 17.5 gr/dL chez l'homme et 12.5 à 15.5 gr/dL chez la femme de sang d'hémoglobine) ce qui leur confère leur couleur rouge.

(...) Le nom d'hémoglobine provient de deux mots : hème et globine. On la symbolise par « Hb ». Une molécule d'hème est constituée d'un ion fer complexé par une porphyrine.

(...) On trouve au cœur de la molécule un cycle hétérogène porphyrique (noyau tétrapyrrolique), l'hème, qui contient un ion fer. Cet ion fer est le site de fixation de l'oxygène.

L'élément fer peut exister sous 2 formes dans la molécule :

• sous forme ferreuse, ion Fe2+ : seule forme active de l'hémoglobine humaine. On parle d'oxyhémoglobine. (interaction réversible avec O2).
• sous forme ferrique, ion Fe3+ : on parle de méthémoglobine. (interaction irréversible avec O2)

L’hème est un cofacteur contenant un atome de fer servant à accueillir un gaz diatomique (souvent le dioxygène O2) au centre d’un large anneau organique appelé porphyrine.

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Citation :
Le globule rouge est une cellule sanguine circulante dont le constituant principal est l'hémoglobine (Hb). L'hémoglobine assure le transport de l'oxygène (O2) des poumons vers les différents tissus de l'organisme.

C'est dans la moelle osseuse que se trouve une cellule mère capable de donner naissance à toutes les cellules sanguines circulantes, les globules rouges, les globules blancs ou leucocytes, et les plaquettes ou thrombocytes. La fabrication des globules rouges, l'érythropoïèse, est régulée par une hormone appelée érythropoïétine (EPO) qui est produite par le rein. Cependant, d'autres facteurs sont nécessaires à la fabrication des globules rouges, en particulier le fer, la vitamine B12, et la vitamine B9 (acide folique).

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MessageSujet: Écriture "Vieille Europe" : la Fusion des Flammes Jumelles   CLÉS DONNANT ACCÈS AU MYSTÈRE CHRISTIQUE - Page 2 Icon_minitimeMer 13 Fév 2013, 00:19

Bonsoir à tous,

Une question que je me posais en 2011 et remontée par Ambre m’amène à développer mon expérience de Fusion, me permettant par la même occasion de compléter les dessins ici promis :

Citation :
Citation :

Je ne comprends pas bien où tu veux en venir...

...Je n'ai pas encore terminé le développement.

Mais il m’apparaît que les changements de proportions de la pyramide (Kristique) ne permettent l'Union en empêchant (entre autre) l'accomplissement du Vortex (dessins non encore réalisés).

Citation :
Citation :
Avez-vous remarqué que lors des Naissances/Procréations, sur les illustrations, le compas et l'équerre change de "propriétaires" et comme, transite du l'Homme vers la Femme ? (????)

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Cette question avait alors été posée en raison de ma Fusion avec ma Flamme Jumelle dont certains aspects m’échappaient, la suite du vécue n’en étant alors qu’à ses débuts.

En fait, la Fusion des Flammes amorce la Translation de l’Homme et de la Femme qu'un double déplacement en « spirale sinusoïdale », finalise.

La « Boucle » dans la main de Nüwa représentant la sinusoïde spiralée et la « Butée » dans celle de Fuxi (pièce permettant d'en maintenir une autre en la bloquant), « point d'appui ou tremplin » empêchant de se désintégrer dans le Point Central de la Création, se forment simultanément lors la Fusion.

Si les bas du corps, du couple Fuxi-Nuwa symbolisent ces spirales sinusoïdales (et non pas des « queues serpentines » de dieux (!)), les hauts du corps, eux prennent la Forme de l’Eternel.

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MessageSujet: Écriture "Vieille Europe" : Fusion des Flammes Jumelles (2)   CLÉS DONNANT ACCÈS AU MYSTÈRE CHRISTIQUE - Page 2 Icon_minitimeMer 13 Fév 2013, 00:41

Lorsque j’ai rencontré mon Âme Soeur pour la première fois ce fut une reconnaissance telle que décrite, ici, par Kernoa :

Citation :
Selon mon vécu la reconnaissance de 2 FJ ne peut pas se faire progressivement. La réaction est instantanée et fulgurante. La réunion de 2 FJ ne procède pas d'une construction mentale qui se forge peu à peu dans le temps. La reconnaissance se produit avant que le mental agisse. Malheureusement l'égo et l'intellect.

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C’est cette relation, d’à peine quelque mois, qui me fit, après coup, tomber « au fond de l’Abysse à en toucher le fond » mais c’est, aussi, elle qui induisit « le début de mon parcours spirituel ».
Car peu de temps après, il fut mis sur mon chemin, mon Jumeau, de 5 ans mon cadet (et dont j’ai déjà parlé), Homme grâce auquel « le Vortex » fut enclenché.

Paradoxalement, alors que je ne connaissais pas le thème du Couple Sacré et par conséquent ne pouvait m’interroger sur cette question, une expérience nouvelle m’attendait : je Fusionnerai avec ma Flamme Jumelle.

Ce vécu (que d’aucun assimile à de la dévolution et à un problème d’illusion) produisit un changement en moi au début « impalpable » mais qui, petit à petit, pris forme dans mon Corps et ma Vie tel aujourd’hui ces écrits, ces dessins que j'ignorais que je comprendrais et partagerais en si peu de temps (et il semble que ce ne soit pas terminé). Le temps (linéaire) que prend leur rédaction est nettement plus long que celui de la compréhension arrivée « sans que je m’y attende le moins du monde » ou que je fasse des recherches sur le Carré de Sátor, sur Pi, et autres. Cela m’est « tombé » dessus... du jour au lendemain, SANS rationalisation.

J’ai donc pu constater que lorsque l’on ne s’attache à aucune expérience (spirituelle) de vie en particulier, lorsque nos pensées ne s’arrêtent sur aucune idées « fixes », lorsque nos vécus ne sont pas « analysés », puisque de toute façon, l’expérience suivante « éclaire » soudainement et parfaitement la précédente, il est impossible de « rester caler » à un stade antérieur. L’étape suivante arrive et nous poursuivons notre Chemin de Vie... et partageons ce que nous avons à partager.
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MessageSujet: Écriture "Vieille Europe" : les contes-mythes et histoires   CLÉS DONNANT ACCÈS AU MYSTÈRE CHRISTIQUE - Page 2 Icon_minitimeDim 17 Fév 2013, 00:01

Bonsoir à tous,

Citation :
Il semble qu’effectivement relire nos contes avec des pensées « Vierges » soit nécessaire.

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Voilà la seconde liste de mots, celle oú toutes les lettres composant le glyphe Ú, y compris cette fois, les lettres de « remplissages », sont reprises :

1) ár = courant ; marée
2) ár = prix ; (la) cote (de)
3) ár = aléne ; poincon (qui sert á percer le cuir)
4) ár = are (ou superficie)
5) ás = bêcher ; creuser ; excaver
6) ásás = fouilles ; creusement ; fouissement
7) báj = grâce ; charme ; attrait
8) búvár = plongeur ; homme-grenouille ; scaphandrier
9) fáj = mal, souffrance
10) fás = boisé ; planté d’arbre
11) fúj = souffler ; chanter ; entonner ; sonner (du cor)
12) fújás = Souffle (du vent aussi)
13) fúr = forer ; creuser
14) fúrás = forage (de puits) ; sondage du sol
15) fúvás = Souffle
16) száj = bouche
17) szár = tige ; pédoncule ; queue (de fruit)
18) szár = jambe
19) úszás = natation
20) vár = attendre ; espérer
21) vár = château (royal) ; citadelle ; forterresse
22) vásár = foire ; marché en plein air


Il est indéniable que les mots en gras font partie intégrante et intégrale de nos contes : la Belle au bois dormant, Blanche Neige, Alice au Pays des merveilles, etc.

Et si je rajoute à cette liste la lettre A (différente du Á), des mots, toujours à connotation mythique, apparaissent :

- Ara = jeune mariée
- Aras ! = moisonne !
- Arc = visage
- Varjú = corneille

Etc.
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MessageSujet: Écriture "Vieille Europe" : les contes (2)   CLÉS DONNANT ACCÈS AU MYSTÈRE CHRISTIQUE - Page 2 Icon_minitimeDim 17 Fév 2013, 00:18

Citation :
Voici la liste (probablement non exhaustive), dans un premier tant, des mots construits à l’aide exclusivement de ces logographes « purs » (les autres lettres n’étant QUE des voyelles-consonnes « remplissant » les « vides autour » d’Ú):

1) bú = chagrin; tristesse (bú qui se prononce "bou" !)
2) sár = boue (mot dont la première syllabe constitue le nom Sára/Femme (?!)).

5) sarj = progéniture; rejeton
12) szúr = piquer; frapper; enfoncer; point de côté


S’il est vrai que parmi les deux listes, le mot « boue » (= sár) soit présent en première place, je ne lis nulle part, que l’Humain a été créé « à l’image de Dieu » et ce, à partir « de l’argile » ou qu' « Eve soit sortie de la côte d’Adam ».

Elles racontent une toute autre histoire...
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MessageSujet: Le Point-Foyer, le champ de manifestation - le Créationisme   CLÉS DONNANT ACCÈS AU MYSTÈRE CHRISTIQUE - Page 2 Icon_minitimeJeu 28 Fév 2013, 20:18

Bonsoir à tous,

Un parallèle peut être fait entre le « Créationnisme » ayant démontré que

Citation :
(...) Tous les phylums du règne animal connus à ce jour, sont apparus en même temps à la surface du globe, pendant une période de temps géologique connu sous le nom de Cambrien.

Citation :
les fossiles de la période cambrienne ont « retourné » l’arbre (évolutif) de Darwin « de haut en bas » :
La base de l’arbre est « large » et il se resserre graduellement à l’image d’un cône renversé ou d’une pyramide.

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et l’Arbre de Vie Kristique qui :

- d’une part, s’il peut être comparé à une pyramide forme en réalité, en plan, l’Octaèdre Kristique ;
- d’autre part, comprend en son sein, le Champ de Manifestation d’un individu (ou son Potentiel Créatif) à ne pas confondre avec le Point UN (de la Création) ou point-foyer de l’Eternel.

Donc, les Créatures animales, végétales, humaines n'ont été créées à partir d'un « centre/point »
unique.

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Il est aussi intéressant de remarquer que ces même créationnistes affirment que :

Citation :
« Une espèce recevrait toute une série de caractéristiques lors de sa création. Certaines caractéristiques seraient utilisées par elle au cours de son existence et d’autres resteraient en « sommeil ». Si besoin s’en fait ressentir (changement de milieu ou pour toute autre raison), l’espèce pourrait s’adapter et utiliser les caractéristiques qui sont en sommeil en elles. Mais en aucun cas, elle ne pourrait développer de nouvelles caractéristiques non prévues dans son « programme initial ».

(...) Ils partent du principe que l’observation montre que le chaos ne peut produire l’ordre car sans direction, il y a détérioration. L’univers est régi par des lois très compliquées. La plus simple des cellules vivantes est extrêmement complexe.

(p. 83-84 du livre Origine de la Vie)
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