Quelle est la langue d’origine de l’Ancien Testament ?
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Sujet: Quelle est la langue d’origine de l’Ancien Testament ? Ven 01 Nov 2013, 17:32
Bonsoir à tous,
Quelle est la langue d’origine de l’Ancien Testament ? Et qui est l’auteur du Pentateuque de la Bible ? Voici deux questions qui pourraient sembler incongrues tant la certitude que la Bible hébraïque fut écrite en hébreu est ancrée en nous, tant il est inconcevable que la paternité de ces écrits ne revienne pas à Moïse. Pourtant, ces questions se justifient amplement lorsque l’on découvre d’une part, que la Bible hébraïque est désignée par l’acronyme Tanak qui apparaît, reconnaissons-le, au prix d’étymologies forcées étant donné que les consonnes [t-n-k] seraient liées respectivement aux mots Torah (la Loi ou Pentateuque), Nevi'im (les Prophètes) et Ketouvim (les Autres Ecrits ou Hagiographes). En réalité, « Tanak », en hongrois, signifie littéralement « Les Enseignements », son singulier « Tan » se traduisant par doctrine ; thèse ; discipline ; théorie (scientifique et autre). Et que d’autre part, le nombre trop important d’hapax* présent dans ces livres comme la nécessité pour les Massorètes de transmettre aussi bien les vocalisations que les prononciations des mots, d’annoter, d’expliquer et d’interpréter en plus de codifier ces textes, sont autan de signes d’anomalies, de non sens. Car n’est-ce pas un comportement antagoniste si l’on comprend parfaitement la langue écrite qu’on lit ?
Citation :
*Ainsi, la totalité des textes composant la Bible en hébreu comporterait [selon Mireille Hadas-Lebel, L'Hébreu : 3 000 ans d'histoire, Albin Michel, 1992 ] environ 2 000 hapax sur 8 000 vocables différents (pour 300 000 mots), ce qui rend difficile leur interprétation.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Hapax
L’auteur français, Jean Astruc, au XVIIIe siècle fut l’un des premiers à reconnaître et à répertorier dans son livre, Conjectures sur les mémoires originaux dont il paroit que Moyse s'est servi pour composer le livre de la Genèse (1753), des sources** distinctes à l’origine de la Genèse révélant ainsi que Moïse ne fit que reproduire des mémoires écrites par d’autres, ses ancêtres. Ce faisant, la primauté du Dieu d'Israël nommé Elohim sur celui du Dieu connu sous le nom de Jehovah qui deviendra le tétragramme YHWH devint une évidence.
Citation :
** L’hypothèse documentaire est une théorie qui affirme que les cinq premiers livres de l'Ancien Testament, formant le Pentateuque ou Torah (Genèse, Exode, Lévitique, Nombres, Deutéronome), ont pour origine des documents provenant de quatre sources différentes : le document jahviste (source J), le document élohiste (source E), le document deutéronomiste (source D) et le document sacerdotal (source P pour prêtre).
Par la suite, ce sont les exégètes pauffinant la discipline de la critique textuelle de cette partie de la Bible qui mettront en exergue le caractère du Dieu Jehovah. Ils distinguent chez Jehovah/YHWH un personnage empli d’attentes, de colères et d’esprit de vengeance, des traits qui ne se retrouvent pas dans la figure du créateur Elohim qui finalement reste une énigme pour ces auteurs.
Citation :
L'auteur (surnommé J) traite YHWH comme une figure anthropomorphe :
• Il forme l'homme de ses propres mains à partir d'argile, • Il aime les promenades édéniques dans la fraîcheur du soir, • Il confectionne des vêtements de peaux d'animaux pour Adam et Eve, • Il apparaît en personne, face à face, lors de certains événements, comme dans la théophanie du mont Sinaï (Ex 24:10-11), • Il apprécie les offrandes alimentaires d'Abram, • Il est capable d'être dissuadé et de regrets : dans de nombreux cas, J dépeint Dieu sur le point de se livrer à une terrible vengeance contre l'humanité, avant d'en être dissuadé. Un exemple typique en est l'épisode où Abraham persuade Dieu d'épargner Sodome, quand bien même la ville n'abriterait que dix habitants justes; de même, lors de l'Exode, Dieu n'accepte d'épargner les Israélites incrédules qu'au dernier moment, grâce aux efforts de Moïse (Ex 32:7-14).
Dieu cruel
Le YHWH de J est un guerrier, comme Ex 15:3 le déclare. YHWH n'est pas qu'un Dieu bienveillant dans le ciel, mais il peut être dangereux, comme lorsqu'il tente de tuer Moïse, nouvellement choisi en tant que prophète, dans un campement (Ex 4:24-26), ou qu'il empêche arbitrairement le même Moïse d'entrer dans Canaan, sans donner aucune raison ou, qu'il brouille le langage de l'humanité à Babel (Gen 11:1-8).
http://fr.wikipedia.org/wiki/Document_jahviste
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Sujet: Re: Quelle est la langue d’origine de l’Ancien Testament ? Ven 01 Nov 2013, 17:47
Au sujet de la langue d’origine brouillée par Jehovah/YHWH, la Bible, en Gn 11, 1-2, donne un indice non négligeable quant à sa provenance et ce, dans la partie du livre introduisant la tour de Babel : « La terre entière se servait de la même langue et des mêmes mots. Or en se déplaçant vers l’orient, les hommes découvrirent une plaine dans le pays de Shinéar et y habitèrent. » Comme les hommes se rendent à pied des montagnes et se déplacent d’une région non orientale - mais pas occidentale pour autan car les Tanak n’auraient manqué de préciser cette information - vers la plaine mésopotamienne, vers Shinéar, l’ancienne désignation de la ville de Sumer, nous pouvons déduire que la Langue Primordiale ne provient pas de Sumer tenue donc, par erreur, comme le centre de la création de l’écriture humaine. Si Sumer verra naître sur son sol, l’écriture cunéiforme, une des nombreuses écritures consécutives à l’apparition du multilinguisme, rien n’indique que l’emplacement de l’Ecriture Primordiale, apparue avant le déluge, ait changé de lieu géographique, après la période diluvienne.
Alors, bien que nous ne soyons plus en possession des documents bibliques originaux de l’Ancien Testament, il reste à notre disposition les noms propres des dieux, des patriarches et des lieux géographiques même si ces derniers ont changé au cours des temps. Ces « noms propres » recèlent de nombreux éléments informatifs, qui deviennent indiscutables au niveau de la langue comme Gyula Markos, en 1918 nous le révèlent dans ses quatres petits cahiers faisant au total 64 pages. Ces cahiers, portant le titre de La Parole de Dieu (à savoir la langue de la manifestion du paradis) était Magyar ou Az Ur Szava (vagyis a paradicsomi kinyilatkoztatás nyelve) Magyar volt, n’ont apparemment pas trouvés de mécènes prêt à investir dans un livre d’une telle portée, comme le souhaitait l’auteur incapable par lui-même de financer cet ouvrage. La première guerre mondiale semble avoir mis un terme à ces recherches. Je n’ai pas trouvé de livre à proprement parlé ayant été édité avec ce titre.
Avant que les sceptiques et les critiques ne rejettent cette approche d’un bloc et même si depuis cette lecture estivale, je puis moi-même distinguer, grâce aux connaissances des róvás, les erreurs qui s’y sont glissées, je les invite à découvrir pour commencer ce que cache en leur sein trois noms propres : celui d’Elohim, celui d’Abraham et d’Ismaël. Je verrai par la suite, à traduire, les parties de ces cahiers qui restent dignes d’intérêt.
Dès que les diacritiques à savoir, les points et accents, sont replacés sur les noms nous lisons dans le nom Elohim, Élőhím constitué de él, vivant ; élő, le vivant ; hím, mâle ou encore « Le Mâle Vivant » ; Ábrahám, qui est né Ábrám, « ábrám » signifiant exactement né à « mon image » ; hám, l’épithélium mais aussi et plus simplement, la (surface de la) peau. Abrám, qui comme la bible nous l’indique, sera dénommé Ábrahám après son pacte sanguin avec Dieu, en raison du fait qu’il devient « identique (à Dieu/à mon image) jusqu’aux tissus, jusqu’à la peau ». Le nom Ízmael quant à lui se compose de « Ízma » ou « ses muscles » et de él, vivant c’est-à-dire « les muscles vivants (de Dieu) » autrement dit, nous recevons la description d'un peuple constitué d’hommes forts et musclés.
En guise de conclusion momentanée, je reprends les expressions de Gyula Markos « Mais voyons alors ces mot sont purement magyars. » et « Ce n’est pas moi qui dit ces mots, c’est Moïse. » Ce Moïse qui « n’a jamais dit que la langue utilisée était l’hébreu au contraire, il s’est sagement tu, parce que mentir il ne veut, pourtant Lui, savait parfaitement qu’elle était la toute première langue. » Je ne puis, personnellement, que constater que l’histoire de l’humanité que je commence à lire, l’histoire qui se dessine sous mes propres yeux et raconté par la Bible bien plus magyar qu’hébraïque, est bien différente de celle enseignée par les religions.
Citation :
Citation :
L'épithélium est un ensemble de cellules (tissu) recouvrant la surface externe et les cavités internes de l'organisme.
Les épithéliums sont des tissus constitués de cellules étroitement juxtaposées (ou jointives), sans interposition de fibre ou de substance fondamentale (en microscopie optique, ce qui les distingue des tissus conjonctifs).
(...) Dans ce type de tissu, les cellules sont souvent polarisées (les deux extrémités opposées sont morphologiquement et biochimiquement différentes), bien qu'il existe quelques épithéliums où cette polarité est difficile à distinguer (tissu hépatique). On distingue la région apicale de la cellule et la région basale qui est accolée à la lame basale.
Les épithéliums remplissent deux fonctions physiologiques non exclusives l'une de l'autre : fonction de revêtement et fonction glandulaire.
http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89pith%C3%A9lium
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Sujet: Conjectures sur les mémoires originaux dont il paroit que Ven 01 Nov 2013, 18:00
Extraits de Jean Astruc qui débute son livre, Conjectures sur les mémoires originaux dont il paroit que Moyse s'est servi pour composer le livre de la Genèse (1753) par ses lignes :
(l’orthographe, hormis les vieux [S longs], est celle du livre écrit en vieux français)
Citation :
« Moyse raconte dans la Genese des évenements arrivez 2433 ans avant qu’il naquit. (...) Il n’est donc pas possible, que Moyse ait pu savoir par lui-meme ce qu’il rapporte dans la Genese, & par consequent il faut, ou qu’il en ait esté instruit par révélation, ou qu’il l’ait appris par le rapport de ceux, qui en avoient esté eux mesmes les témoins. Je ne connois personne, qui ait avancé la premiere opinion, & je croi que personne ne s’avisera jamais de l’avancer. Moyse parle toujours, dans la Genese, comme un simple historien, il ne dit nulle part que ce qu’il raconte, lui ait esté inspiré. On ne doit donc point supposer cette révélation sans aucun fondement. Quand les Prophetes ont parlé de choses, qui leur avoient esté révélées, ils n’ont point manqué d’avertir qu’ils parlaient au nom de Dieu, & de la part ; & c’est ainsi que Moyse en a usé lui mesme, dans les autres Livres du Pentateuque, quand il a eu quelque révelation à communiquer au peuple Hebreu, ou quelque ordre de Dieu à lui intimer. (...)
Ce premier point établi, le reste souffre peu de difficulté, Il n’y a que deux moiens, par où la connoissance des faits anterieurs ait pu estre transmise à Moyse, ou par une tradition purement orale, c’est-à-dire, de bouche en bouche ; ou par une tradition écrite, c’est-à-dire, par des relations ou mémoires laissez par écrit. Ceux qui suivent la premiere opinion & j’avouë que c’est le plus grand nombre, ne manquent pas de profiter de la longue vie des Patriarches, pour faire remarquer que cette tradiction orale a pu se transmettre d’Adam jusqu’à Moyse par un trez petit nombre de personnes, parce que Sem, qui a vu Lamech, qui a vu Adam, a vu au moins Abraham & qu’Abraham a vu Jacob, qui a vu ceux qui ont vu Moyse. (...) il est difficile de se persuader, que dans une tradition plusieurs fois repetée, on ait pu se souvenir exactement de la description topographique du paradis terrestre ; du nom des quatre fleuves, qui l’arrosoient ; du nom & des singularitez naturelles des pais, par où ils passaoient ; de l’âge de chaque Patriarches ; du tems précis, où ils ont commencé d’avoir des enfants, & de celui où ils sont morts ; de l’ordre de leur généalogies, & des noms de leurs descendants ; du nom des Rois qui firent la guerre à ceux de la Pentapole, & qui furent vaincus par Abraham, & de plusieurs autres faits pareils, rapportez dans la Genese d’une maniere circonstanciée, & dans un détail de nombres ou de noms, peu propre & se concerver, s’il n’eut esté confié qu’à la mémoire de ceux, qui les racontoient.
(...) Je prétends donc que Moyse avoit entre les mains des mémoires anciens, contenant l’histoire de ses Ancetres, depuis la création du monde ; que pour ne rien perdre de ces mémoires, il les a partagez par morceaux, suivant les faits qui y estoient racontez ; qu’il a inseré ces morceaux en entier, les uns à la suite des autres, & que c’est de cet assemblage, que le Livre de la Genese a esté formé. Voici sur quoi je me fonde.
I. Il y a dans la Genese des répetitions fréquentes des mesmes faits, qui sautent aux yeux. La création du monde, & en particulier celle du premier homme, y est racontée deux fois ; l’histoire du Deluge jusqu’à deux fois de mesme, & jusqu’à trois à l’égard de quelques circonstances. On trouve plusieurs autres exemples pareils dans le reste du Livre. Que doit-on penser de semblables répétitions ? Peut-on croire que Moyse les eût lassé passer dans un ouvrage aussi court et aussi serré, s’il l’avoit composé lui mesme ; & n’est-il pas plus apparent que ces répétitions viennent de ce que la Genese n’est qu’une simple compilation de deux ou trois mémoires plus anciens, qui rapportoient les mesmes faits, (...)
II. Dans le texte Hebreu de la Genese, Dieu est principalement designé par deux noms differents. Le premier, qui s’y présente, est celui d’Elohim (...) il est certain qu’il y est particulierement emploié à designer l’Estre Supreme, & dans ce sens toutes les Versions l’ont rendu de mesme (...) L’autre nom de Dieu est celui de Jehovah, & c’est, de l’aveu de tous le Commentateurs, le grand nom de Dieu, le nom qui en exprime l’essence. Les Juifs ne prononçoient pas ce nom par respect, & ils lisoient à la place celui d’Adonai, & pour cette raison les Massorethes ont mis, sous les consonantes de ce nom, les points voielles d’Adonai. (...) La Traduction de la Genese, faite sur l’Hebreu, a lu Jehovah, & a traduit ce nom par celui de l’Eternel (...) Quelquefois le nom de Jehovah se trouve joint avec celui d’Adonai, & alors les Juifs, pour éviter la répetition du mesme mot, ne prononçoient pas Adonai au lieu de Jehovah, mais Elohim, & pour en avertir, ils mettoient alors les points voielles d’Elohim sous les lettres de Jehovah, & lisoient Elohim Adonai. (...) On pourrait croire sur ce détail, que ces deux noms Elohim & Jehovah sont emploiez indistinctement dans les mesmes endroits de la Genese, comme des termes synonymes, & propres à varier le style, mais ce seroit se tromper. Ces mots ne sont jamais confondus ensemble. Il y a des chapitres entiers, ou des grandes parties de chapitres, où Dieu est toujours nommé Elohim, & jamais Jehovah : il y en a d’autres, pour le moins en aussi grand nombre, où l’on ne donne à Dieu que le nom de Jehovah, & jamais celui d’Elohim. »
Sujet: Re: Quelle est la langue d’origine de l’Ancien Testament ? Jeu 21 Nov 2013, 20:48
Afin de poursuivre l'étude de la bible canonique de manière cohérente, je regroupe ici les extraits de texte déjà postés á différents endroits sur le forum :
Citation :
En l’an 10 av. J.-C, trois Speakers éssènes du contenu des disques CDT, connus sous le nom de Jean le Baptiste (qui devint plus tard Saint-Jean-Baptiste), Jésus-Christ (Sananda Melchizedek, né en l’an -12 av. J.-C.) et Miriam, traduisirent neuf livres supplémentaires à partir du contenu des disques CDT, créant ainsi le fondement d’origine de ce qui aurait dû devenir la doctrine chrétienne légitime.
Il y avait là les six « livres de Processus » détaillant le mécanisme de l’ascension [ascension signifie élever les vibrations de notre schéma corporel à l'harmonique suivante] provoqué par l’individu lui-même, la bio-régénération ou régénération biologique par la connaissance et l’utilisation du réseau énergétique fondamental, puis le « Livre des Cartes et des Clés » (The Books of Maps and Keys) ou manuel technique traitant des Portails Stellaires dans les Halls d’Amenti, ainsi que du système le Templier planétaire. Les traductions de Miriam étaient les trois « Livres du Cloître » (Books of the Cloister), jadis présents dans les textes du Maharata et qui détaillaient la structure culturelle construite sur le modèle de l’Accord Emeraude des Fondateurs. Les livres de mécanique templière de Jean le Baptiste ne furent jamais complétés car il fut assassiné avant que la traduction de cette partie du contenu des disques CDT soit terminée. Les livres d’Enoch, de Jean le Baptiste et de Miriam représentent les « 12 livres manquants dans la Bible », 12 livres sur un total de 15 et qui faisaient partie à l’origine des enseignements éssènes légitimes dans la « lignée du Graal ». Les enseignements éssènes furent donc intentionnellement édités et faussés en l’an 325 av. J.-C., aux mains de certains membres du Concile de Nicée et de l’Eglise de Rome, afin de créer une religion de contrôle par le dogme qui fut ensuite présentée au monde au moyen de la Bible canonique. Les Cathares du Sud de la France ont d’ailleurs détenu quelques-uns des manuscrits éssènes d’origine, ceux-là même qui avaient été écrits par Jean le Baptiste et Miriam, jusqu’à ce que l’Eglise de Rome organise leur extermination en l’an 1244 de notre ère. Avant leur mort au fil de l’épée ou sur le bûcher, les Cathares cachèrent du mieux qu’ils purent les vrais documents éssènes ainsi qu’un des 12 Boucliers Signet qui avait été en leur possession. Ces reliques finiront d’ailleurs par être découvertes afin de valider les enseignements de trois Speakers pour les disques CDT dans les temps présents et une fois que ces individus ont complété leur mission.
(Voyageurs – Le rapt des endormis, Tome 1, p. lxxvii)
Citation :
Les Révélations et « Saint Jean-Le-Divin » - L’Apocalypse de la Bible
Dans la falsification Jéhovienne (Annunaki) [les créateurs de nos dieux] de l’Ecriture Essénienne d’origine, il y a eu de nombreuses références historiques de faites sur les « Trompettes de Dieu », et leur pouvoir de traduire la « Colère de Dieu » pour le bénéfice des « Justes » [le vrai Dieu-Esprit n’est ni coléreux, ni vengeur mais les petits dieux le sont (ceux présentés à notre attention par les Angéliques Déchus que sont les Anunnaki et les (Anu)-Elohim)]. Comme nous avons dit précédemment, la « Trompette » Biblique était un « mot code » Atlantéen servant à désigner la technologie de projection d’un Champ Sonique sous-spacial à Mions, qui avait été utilisé par les Jéhoviens (Annunaki) en qualité de système armé déclenchable à distance depuis avant l’Atlantide. Se référer à une « trompette » et « à quatre animaux » avait donc une signification cachée qui n’était pas de nature « spirituelle » ou « ésotérique ». Cela se référait plutôt à une technologie scientifique tangible créée par la Anunnaki. Les références que l’on trouve maintenant dans l’Apocalypse de la Bible à propos de « Trompette », des « Anges, des « Quatres Cavaliers », de « l’Autel d’Or devant le Trône » et des « 24 Anciens devant le Trône », tout ceci ne faisait pas partie des vrais traductions des Disques CDT de l’Accord Emeraude des Fondateurs produites par les Esséniens.
Par contre, toutes ces images pittoresques ou codes symboliques font partie d’un Programme d’Insertion Holographique créé par les Angéliques Déchus Jéhoviens (Anu)-Elohim et les Dauphins Bipèdes Anunnaki de Sirius A et d’Arctarius, dans laMatrice Fantôme. Les histoires sont partiellement basées sur des faits, en ce qui concerne la réalité technologique des SceauxPlanétaires naturels qui libèrent, ouvrent ou sont « levés » grâce au Portail Stellaire 12 (= l’ Agneau) pendant un cycle d’Activation Stellaire. En vue d’ « inventer » leur propre version de l’Apocalypse grâce à laquelle l’agenda de domination Jéhovien serait accompli, les Jéhoviens Annunaki projetèrent, sous la forme d’une série de « visions » du Net (Nibiruan Electrostatic Transduction fiel [champ électrostatique en provenance de la planète Nibiru]) produites holographiquement, une version déformée de l’histoire de la Révélation selon l’Accord Emeraude Atlantéen.
L’individu responsable pour ceci a émergé, alors que l’interprétateur de la « Révélation Biblique » devint connu sous le nom de « Saint Jean-le-Divin », qui était en fait une femme« Gardienne de la Flamme » de l’Accord Emeraude, née d’une mére Melchizédek [remarque : Melchizedek fait référence à une « Race » - la 6e - et non pas à un personnage quelconque] et d’un père Anu-Melchizedek. Les Jéhoviens Anunnaki utilisèrent cette femme au moyen d’un Lien Astral depuis leur portion du NET, pour lui faire consigner par écrit la « prophétie » qui préparait ceux qui suivraient l’agenda Jéhovien d’Un Seul Ordre Mondial. C’est ainsi que le symbolisme de « l’Autel d’OR qui est devant le Trône » devint une allusion déformée aux champs de lumière d’OR d’Orion Mintaka, Portail Stellaire Universel numéro 8, dans les enseignements de l’Accord Emeraudes. Les « 24 Anciens qui siègent sur leur Trône » représentent les Angéliques Déchus Jéhoviens Anu-Elohim, les aïeux du Conseil Nibirien Anunnaki des 24, lui-même contrôlé par les « Suzerains » Jéhoviens de « pure souche », les Dauphins Bipèdes Anunnaki. Les « visions » données à « Saint Jean » étaient une interprétation symbolique de l’agenda Jéhovien pour la création d’Un Seul Ordre Mondial, ce qui était prévu pour la période s’étendant de l’année 2001 à 2008 de notre ère, pendant la prochain Cycle D’Activation Stellaire. Le « Livre des Révélations » Jéhovien était basé sur la connaissance jéhovienne anu-elohim des enseignements de l’Accord Emeraude en Atlantide sur le Templier et les Sceaux Planétaires, et la conduite des Sceaux planétaires pendant le Cycle d’Activation qui aurait lieu de l’an 2000 á 2017. L’histoire de la Révélation Jéhovienne dépeignait audacieusement ce que les Jéhoviens comptaient faire au Bouclier Planétaire de la Terre pendant le drame de Conflit Final, qui était supposé se dérouler entre l’an 2000 et 2017.
(Voyageurs Tome II, pp. 447-448)
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Sujet: La Parole de Dieu était magyare, Markos Gyula, 1918 Mer 01 Oct 2014, 13:18
Il est commun de lire et voir partout que "Elohim" serait un pluriel signifiant les dieux.
Pourquoi donc les chercheurs s'arrêtent-ils aux seuls étymologies hébraïques ?
Et pourtant voici des exemples qui infirment cette définition. Ils sont mentionnés dans les cahiers d'étude de Markos Gyula, 1918 :
Ces cahiers portent le titre de La Parole de Dieu (c'est-à-dire la langue de la manifestation du paradis) était magyare ou 'Az Ur Szava (vagyis a paradicsomi kinyilatkoztatás nyelve) Magyar volt'.
Douceur a écrit:
Dès que les diacritiques à savoir, les points et accents, sont replacés sur les noms nous lisons dans le nom Elohim, Élőhím constitué de él, vivant ; élő, le vivant ; hím, mâle ou encore « Le Mâle Vivant » ; Ábrahám, qui est né Ábrám, « ábrám » signifiant exactement né à « mon image » ; hám, l’épithélium mais aussi et plus simplement, la (surface de la) peau. Abrám, qui comme la bible nous l’indique, sera dénommé Ábrahám après son pacte sanguin avec Dieu, en raison du fait qu’il devient « identique à l'image de Dieu » et ce, jusqu’aux tissus, jusqu’à la peau . Le nom Ízmael quant à lui se compose de « Ízma » ou « ses muscles » et de él, vivant c’est-à-dire « les muscles vivants (de Dieu) » autrement dit, nous recevons la description d'un peuple constitué d’hommes forts et musclés.
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Sujet: Début de l'Ancien Testament en grec ancien Mar 25 Nov 2014, 20:56