Oui mais pas seulement bien des installations technologiques ont des effets desastreux comme ceci est connu pour les accumulateurs d'Orgone
"
Mises en garde et dangers : les effets de l'oranur* et du
dor.Un des problèmes courants rencontrés lors de
l'utilisation de l'accumulateur est la difficulté de trouver
un environnement énergiquement propre où s'en servir.
L'énergie orgonale de l'atmosphère est très
sensible à certaines formes de perturbation ou d'agitation. De
manière assez semblable au protoplasme vivant,
l'énergie orgonale peut être
excitée ou
irritée, et certaines influences environnementales peuvent
l'amener à un état toxique. Si l'atmosphère
énergétique de votre maison ou de votre voisinage a
été ainsi rendue toxique, l'usage d'un accumulateur est
déconseillé ou conseillé seulement avec de
grandes précautions, car il sera très difficile
d'accumuler autre chose qu'une charge toxique.
Par exemple, des accumulateurs d'orgone,
particulièrement ceux destinés à des
expériences biologiques ou à un usage sur l'être
humain, ne doivent jamais être utilisés dans des
pièces contenant des appareils irritants pour l'orgone tels
que :
- lampe fluorescente
- poste de télévision
- ordinateur ou micro-ordinateur
- autres appareils à tubes cathodiques
- four à micro-ondes ou cuisinière à
courant à induction
- couverture électrique (même si elle est
seulement branchée mais éteinte);
- machine diathermique, à rayons X
- moteur électrique à balais
- appareil à induction ou bobinage
- autres appareils électromagnétiques
- détecteur de fumée radioactive de type
ionisant
- horloge, montre ou autre appareil contenant des
matières radioactives, lisibles dans le noir (les
matériaux phosphorescents qui fonctionnent selon le
principe de l'absorption de lumière sont acceptables)
- autres matières radioactives ou fortes vapeurs
chimiques.
L'accumulateur d'orgone ne doit pas même pas être
utilisé dans un bâtiment où les appareils les
plus puissants de la liste ci-dessus (comme les machines à
rayons X) sont utilisés ou bien ont été
récemment utilisés. Les expériences
réalisées par Reich et, plus récemment, par
d'autres dans de grands hôpitaux d'Allemagne, ont
démontré que les équipements à rayons X
annihilent les effets revitalisants de la radiation orgonale. De
plus, on note un
effet de persistance de la toxicité
énergétique pendant un certain temps après que
les appareils irritants ont été éteints et
sortis de la pièce ou du bâtiment.
Les accumulateurs
d'orgone doivent de même ne pas être utilisés dans
le voisinage immédiat ou à proximité des
installations suivantes
- système radar des aéroports
- relais de transmission à micro-onde ou pour
téléphone cellulaire
- lignes à très haute-tension
- tours d'émission AM, FM ou TV
- centrales, installations de stockage de combustible ou de
déchets nucléaires
- installations militaires avec stockage de bombes
nucléaires
- zones d'essais nucléaires passés ou
actuels
Reich et d'autres chercheurs associés à ses travaux
émirent des mises en garde à propos de la
nocivité de ces équipements dès les
années 1940 et 1950 mais ce n'est qu'aujourd'hui que des
études épidémiologiques viennent corroborer
leurs observations à propos de effets négatifs sur les
êtres vivants. Une partie du problème provient de ce
qu'en montrant la corrélation entre deux
événements, on ne prouve pas qu'il existe entre eux une
relation de cause à effet. On doit seulement montrer ou
démontrer en quoi consiste le mécanisme et
démontrer objectivement chaque étape séparant
les deux éléments corrélés, pour prouver
qu'il existe bien un lien de cause à l'effet. Dans la plupart
des cas, c'est une méthode très sage mais qui est
très inégalement appliquée dans le domaine
scientifique. Les théorèmes orthodoxes sont rarement
soumis à un examen critique relatif à la question de
savoir s'ils répondent ou non à ce critère
strict (ex. : " mauvais gènes ",
" virus ", etc.) tandis qu'on refuse de financer ou qu'on
rejette ou qu'on réprime purement et simplement les
théories hétérodoxes pour la moindre de leurs
faiblesses. Il arrivera de même que les pollueurs industriels
utilisent cet argument pour ne pas assumer la responsabilité
des dommages qu'ils ont causé à l'environnement.
En ce qui concerne les questions énergétiques, selon
les meilleurs calculs des physiciens, un faible rayonnement
ne
devrait pas avoir d'effet délétère sur un
organisme vivant. L'énergie présente dans un
rayonnement de faible intensité,
tel qu'elle est
détectée avec les instruments conventionnels de
détection du rayonnement atomique, n'est tout simplement
pas suffisante pour causer des dommages significatifs. Or ces
dommages ont lieu. J'insiste sur le problème que posent les
" instruments conventionnels de détection du rayonnement
atomique " parce qu'une des grandes erreurs de la physique
provient de ce que si un instrument ne mesure pas un désordre
environnemental, ce désordre ne s'est pas produit. L'erreur
réside dans la fausse hypothèse selon laquelle leurs
instruments de détection d'énergie doivent mesurer
100 % de n'importe quelle perturbation. Cette hypothèse
invérifiable est bien sûr remise en cause par les
manifestations biologiques et épidémiologiques qui
montrent qu'il y a bel et bien un effet. Qui plus est, il y a une
grande méfiance du corps dans les sciences modernes, comme en
témoigne le fait que lorsque le commun des mortels est rendu
malade par les appareils irradiants modernes il n'est pas cru, ou est
considéré avec suspicion.
C'est précisément ici que les découvertes de
Reich sur l'énergie orgonale apportent une clarification,
puisque l'énergie vitale (et les perturbations qu'elle subit)
ne peut pas être détectée avec les appareils
de détection nucléaire ou
électromagnétique ordinaires. On doit modifier les
instruments pour la capter ou utiliser des méthodes
entièrement différentes. L'orgone est aussi un
continuum d'énergie qui établit une connexion entre les
installations ou appareils perturbateurs (centrale nucléaire,
émetteur radio et micro-ondes, lampe fluorescente, poste de
télévision) et la créature vivante qui est
affectée. Comme le champ orgonal local de la terre, ou le
champ énergétique d'une maison, est gravement
perturbé par ces équipements, le champ
énergétique de la personne située dans cet
environnement est perturbé lui aussi.
La physique moderne reconnaît en partie l'existence de ces
connections ; on dit en effet que les bombes nucléaires,
les réacteurs nucléaires et les installations qui y
sont liées émettent en énormes quantités
des
neutrinos théoriques, indétectables et
contre lesquels il n'y a pas de protection. Ces neutrinos
s'échappent à grande vitesse de ces installations,
pénétrant toute forme de blindage anti-radiations et
affectant le corps de tout individu se trouvant à des
kilomètres à la ronde. En théorie, ils ne
causent aucun dommage mais c'est une simple hypothèse. Le fait
majeur observé selon les meilleures théories de la
physique classique, c'est que le cÏur du réacteur
nucléaire laisse constamment échapper une
énergie significative qui traverse le lourd bouclier du
réacteur et se répand dans la campagne environnante, et
qu'aucun détecteur de radiation classique ne permet de
déceler. À partir des découvertes de Reich, il
apparaît que cette énergie perdue ne se décharge
pas sous forme de " particules " mais est
déchargée directement dans le continuum
énergétique de l'orgone cosmique, lequel se retrouve
grandement agité et surchargé. Étant
donné la capacité de l'énergie orgonale de
pénétrer les substances matérielles, ces
troubles énergétiques sont rapidement propagés
vers l'extérieur à travers le bouclier du
réacteur, pour affecter les créatures vivantes et le
climat dans la zone environnante.
Il en est de même à propos du dilemme concernant les
maladies provoquées par un électromagnétisme de
faible intensité. Ce rayonnement
ne devrait pas rendre
les gens malades, mais il les rend bel et bien malades. Ici la
difficulté théorique vient de ce que la physique
affirme que les ondes électromagnétiques sont
transmises à travers la campagne et autour du globe
sans
aucun médium de transmission. Cette position est identique
à celle de quelqu'un qui travaillerait sur les ondes sonores
ou les vagues, en niant l'existence de l'air ou de l'eau. Or les
" ondes de particules " nucléaires et
électromagnétiques ont besoin d'un médium dans
lequel se propager. Le grand mythe de la physique moderne est que ce
médium n'aurait jamais été
découvert ; c'est l'erreur dont nous avons parlé
au chapitre précédent.
Les équipements et installations nucléaires et
électromagnétiques ont bel et bien des effets
délétères sur la santé de gens qui y
travaillent et qui habitent aux alentours, qu'on admette ou non le
point de vue bioénergétique décrit ici. En
général, les risques pour la santé ne sont pas
également répartis au sein d'une population
donnée. Certaines personnes ayant une énergie
très élevée ou très basse, et
généralement les sujets très jeunes et
très âgés sont plus sensibles à ces
énergies toxiques et y réagissent plus vite et plus
fortement. On peut citer quelques cas. J'ai rencontré une
secrétaire qui fut incapable de passer d'une machine à
écrire à un ordinateur à traitement de texte.
À chaque fois qu'elle s'asseyait devant l'ordinateur, elle
ressentait un goût métallique dans la bouche et devenait
nauséeuse. Cet effet durait plusieurs semaines après
une seule exposition à l'ordinateur. Son patron et ses amis
pensèrent qu'elle était folle, mais elle était
simplement plus sensible qu'eux. Dans un autre cas, j'ai
rencontré un individu qui vivait à un kilomètre
et demi d'une grande station d'émission radio qui
répandait sur la région entière une forte dose
d'électromagnétisme à des fréquences
radio et micro-ondes. Quand il eut compris le danger de sa situation,
ses enfants avaient contracté une leucémie et il dut
quitter la région. Les praticiens qui sont confrontés
à de tels symptômes n'émettent habituellement pas
un diagnostic se fondant sur l'écologie
énergétique de l'environnement résidentiel ou
professionnel du patient. Dans un chapitre à venir, je donne
une liste des moyens pratiques à utiliser pour se
protéger et protéger son accumulateur de ces risques
environnementaux.
Les observations de Reich sur les aspects négatifs pour les
êtres vivants de ces équipements et installations ne
peuvent pas s'expliquer à l'aide les théories
conventionnelles de la physique et de la biologie, mais elles ont
été confirmées dans une mesure plus grande ou
moins grande. Les divers dispositifs et appareils
électromagnétiques et nucléaires de la liste
ci-dessus sont connus pour irriter l'énergie orgonale, et la
mettre dans un état de violence sauvage,
frénétique que Reich appela l'
effet oranur.
L'oranur fut découvert par inadvertance après qu'une
petite quantité d'une matière nucléaire eut
été introduite dans un puissant accumulateur d'orgone.
Reich entreposait plusieurs grands accumulateurs à 20 couches
à l'intérieur un accumulateur encore plus grand, de la
taille d'une pièce, dans son laboratoire de la zone rurale du
Maine. Lorsqu'il introduisit la matière radioactive dans cet
environnement fortement chargé, le champ d'énergie
orgonale de l'ensemble de la région montagneuse où se
situait son laboratoire fut plongé dans un état
d'agitation violente, immédiatement sensible et visible.
Les
laborantins tombèrent assez gravement malades et les souris de
laboratoire élevées dans un autre bâtiment
moururent en grand nombre.Reich observa que l'effet oranur persistait longtemps après
que la matière nucléaire eut été
ôtée des accumulateurs du laboratoire, rendant les
installations inutilisables pendant plusieurs années. Soumise
à cette agitation oranurique persistante l'énergie
orgonale finissait par être immobilisée et par
" mourir ". Reich donna à cet état de mort
énergétique le nom de dor, qui est
l'abréviation de deadly orgone [orgone mortel]. Une
pièce chargée de dor semble insupportablement
étouffante, et on a du mal à y respirer. On s'y sent
aussi constamment déshydraté, du fait de la nature
hygroscopique du dor. Quelques personnes réagissent au dor par
des Ïdèmes, et Reich et ses collaborateurs
identifièrent une forme particulièrement grave de
mal-de-dor : l'organisme réagit par la léthargie,
l'immobilité et l'absence de contact émotionnel. Ces
effets sont tout à fait tangibles, sensibles et mesurables.
Cet accident expérimental fut riche d'enseignements sur
l'énergie vitale de l'atmosphère, et une publication de
Reich de 1951, intitulée
L'expérience oranur,
décrit cet événement crucial. Plus tard, Reich
identifia un certain nombre d'autres sources d'oranur plus ou moins
intense qui peuvent troubler l'énergie orgonale dans une
maison, un bureau, un bâtiment, un quartier ou une
région.
Dans la plupart des logements, les sources les plus courantes
d'irritation de l'orgone sont le poste de télévision,
le four micro-onde et les lampes fluorescentes de tous types (les
lampes dites " à spectre solaire " sont moins
nocives mais n'éliminent pas ce problème). Les lampes
fluorescentes produisent souvent des plantes hyper-actives avec des
feuilles très larges, surdimentionnées et incitent
faussement à penser que ces lampes sont
" bénéfiques ". Quelques études ont
montré que les êtres déprimés voient
activité ou leur métabolisme stimulé lorsqu'ils
sont exposés à des lampes fluorescentes. Nous en voyons
des exemples lorsque les victimes de dépression hivernale, de
dépression post-partum ainsi que la
" dépression " des employés de bureaux,
constatent que leur degré d'activité augmente
temporairement lorsqu'ils sont soumis à l'oranur des tubes
fluorescents. Dans de nombreux cas, l'accroissement de
l'activité est liée à la fréquence ou
à la couleur de la lumière, qui exercent aussi une
influence. Mais les études de ces problèmes ne
considèrent généralement pas que l'excitation
par l'oranur des tubes fluorescents soit un facteur à prendre
en compte. Or l'oranur est produit par tous les types de lampes
fluorescentes, de postes de télévision et de fours
à micro-ondes. On peut le mesurer objectivement par la
perturbation du potentiel électrique d'une plante
d'appartement exposée à ces appareils, par
l'utilisation d'un compteur Geiger chargé à l'orgone,
ou en procédant à des mesures nombreuses des fonctions
de l'accumulateur et en observant des perturbations qui apparaissent
dans les conditions d'oranur ou de dor.
[Graphique page 54]
Ci-dessus : perturbation énergétique
de l'atmosphère ambiante créée par une lampe
fluorescente, détectée par la mesure du champ
bioélectrique d'un philodendron à l'aide d'un
multimètre/millivoltmètre sensible (H.P. 412-A VTVM)
avant et après allumage de la lampe.
Ci-dessous : perturbation semblable provenant
d'un poste de télévision. Dans les deux cas, ni
lumière de la lampe fluo ni celle du poste de
télévision n'atteignait directement la plante, qui
était dissimulée par un carton épais.
Dans n'importe quel quartier d'une grande ville, les
émetteurs et réémetteurs radio, les radars
d'aéroport et les relais de communication
téléphoniques constituent aussi des dangers,
étant producteurs d'oranur. Comme les fours à
micro-ondes et les postes de télévision, ils laissent
échapper des quantités relativement
élevées de rayonnement dans leur environnement
immédiat. Les détecteurs à infrarouges des
portes à ouverture automatique, ou les interrupteurs
automatiques, fonctionnent aussi dans la plage des micro-ondes du
spectre infrarouge, tout comme les lecteurs de code-barre des
bibliothèques ou des magasins installés pour
révéler les petits larcins. Ces petits
détecteurs sont suffisamment puissants pour déclencher
le détecteur de radar policier de votre voiture à
plusieurs centaines de mètres, et constituent un danger pour
les travailleurs obligés de rester à côté
jour après jour ; dans ce cas, le risque réel est
tout simplement inconnu. Comme les fours à micro-onde et les
postes de télévision, ils sont susceptibles d'exposer
la personne " moyenne " à une dose
" moyenne " qui est irrationnellement jugée
inoffensive. Jusqu'à ce qu'on en sache plus, autant opter pour
la prudence. N'installez pas votre accumulateur à
proximité d'un de ces appareils.
De même, les centrales nucléaires sont
autorisées à ventiler (ou plutôt, à
décharger) des quantités significatives d'une radiation
mesurable dans l'eau de refroidissement et l'air de ventilation qui
traversent ces installations. À part le fait que la population
locale respire, et souvent boit, ces rejets, qui s'accumulent dans la
chaîne alimentaire, il y a le problème de l'oranur et du
dor. L'un et l'autre sont créés par les centrales
nucléaires, et l'énergie atmosphérique de ces
zones s'en trouvera affectée, un état qualitatif
l'emportant sur un autre.
Les gens sensibles peuvent
littéralement sentir la différence quand un
réacteur nucléaire a fonctionné dans une
région pendant un certain temps, et des observations
minutieuses révèlent parfois des modifications du
climat.Les essais nucléaires souterrains causent peut-être
le plus de ravages, parce qu'il frappent et agitent le champ de
l'énergie orgonale de toute la planète. Certains
éléments donnent à penser que les accès
climatiques, tels que la sécheresse ou les fortes
tempêtes, auxquelles s'ajoutent les épidémies de
" grippe ", pourraient être déclenchés
par les essais nucléaires souterrains, du fait de la
perturbation générale du champ
énergétique terrestre. Quelques éléments
de preuve, actuellement à l'étude, inclinent à
penser que la Terre entière est perturbée dans sa
dynamique de rotation et que la haute atmosphère est
surchauffée et troublée par les essais
nucléaires. Ces effets n'ont pas de sens du point de vue de la
biologie ou de la physique classiques, qui nient l'existence d'un
quelconque principe énergétique vital et partent de
l'hypothèse que l'espace est " vide ". Du point de
vue la biophysique de l'orgone, ces effets ont en revanche un sens.
Sur le plan biophysique, l'effet d'oranur est perçu par les
personnes sensibles comme une sensation d'énervement, de
surexcitation, voire de chaleur ou de légère
fièvre. Telle personne ressentira une agitation
continue ; telle autre va se contracturer
légèrement lorsqu'il se manifeste ; il arrive
aussi qu'il provoque des explosions de colères. Un oranur
accentué affecte chaque personne à son point faible et
tend à amener des symptômes médicaux latents
à la surface. Il arrive aussi que la paume des mains
présente une moiteur caractéristique ou qu'il soit
presque impossible de trouver le sommeil. On observe aussi une
tendance à ne pas pouvoir se concentrer de manière
cohérente sur un travail ou sur une autre activité. La
manifestation atmosphérique de l'oranur est également
celle d'une surcharge. Le ciel garde une couleur bleue intense, mais
une vapeur caractéristique finit par apparaître à
l'horizon. En cas d'oranur, les nuages ne s'agrègent ni ne
grossissent , en partie à cause de la forte charge et de la
grande agitation de l'atmosphère qui ne peut pas se
contracter, et parce que la charge à l'intérieur des
nuages les empêche de croître au delà d'un certain
point. Les vents peuvent devenir chaotiques comme s'ils
étaient inquiets. Les orages commencent ordinairement à
se fragmenter ou se disperser lorsqu'ils approchent une région
touchée par l'oranur. L'atmosphère paraît
" anxieuse " ou " tendue ", comme si elle
reflétait les conditions générales de surcharge.
Les pluies diminuent, particulièrement lorsque l'oranur finit
par céder la place à un état de dor, immobile,
mortel.
Le dor se manifeste aussi dans l'atmosphère, et lorsqu'il
est suffisamment étendu, il s'accompagne de
phénomènes de sécheresse ou de
désertification. Il apparaît dans le paysage sous la
forme d'une vapeur gris-métallique qui réduit la
visibilité, rend la lumière solaire brûlante,
rend les pluies acides ou empêche totalement la pluie de
tomber. Il réduit les nuages à l'état de
lambeaux, pareils à de la charpie de coton
légèrement salie et les empêche de grossir
au-delà d'une certaine taille, assez faible. De petits nuages
inhabituels de couleur noire ou gris foncé apparaissent
parfois ; contrairement aux autres petits nuages de la zone
frappée, ces nuages grisâtres conservent leur couleur
terne même lorsqu'ils sont directement éclairés
par le soleil. Il s'agit de ce que Reich a appelé des
nuages de dor. Souvent ils se forment et se reforment
continuellement au-dessus de certaines régions comme s'ils
étaient liés énergétiquement à cet
endroit.
Si l'oranur et le dor coexistent souvent dans une région
donnée, l'une de ces formes prédominera
généralement sur l'autre. Comme il s'agit de
phénomènes énergétiques, l'oranur et le
dor ne peuvent pas être " balayés " par le
vent, quoique un bon orage réussisse parfois à les
capter et les chasser. Dans les cas d'oranur ou de dor
exceptionnellement intenses, les orages sont bloqués et
déviés, causant une sécheresse prolongée.
Les régions désertiques sont généralement
chargées de grandes quantités de dor,
particulièrement dans les zones déprimées de la
topographie. Les régions comportant plusieurs installations de
production d'énergie, de retraitement et de stockage de
déchets nucléaires auront tendance à être
fortement chargées à la fois en dor et en oranur. Ces
régions connaissent souvent des périodes de
sécheresse répétées, étant
donné que l'énergie vitale y est rarement dans son
état naturel et est régulièrement
surexcitée ou anéantie.
Comparons les descriptions ci-dessus des états d'oranur et
de dor avec l'énergie orgonale dans son état
scintillant et palpitant normal. Lorsque le continuum orgonal
conserve un état de pulsation atmosphérique sain et
vigoureux, on observe des cycles réguliers d'alternance entre
la pluie et le beau temps. L'atmosphère est propre et
transparent, lumineux et croquant, sans brume notable dans
l'atmosphère. Il existe un bon contraste entre les nuages et
le ciel bleu jusqu'à l'horizon. Le ciel dégagé
est d'un bleu profond et la limite des nuages est nette et
précise. Les nuages conservent une forme arrondie comme des
pousses de choux-fleurs, et se maintiennent verticalement sans
pencher sur les côtés ni s'effondrer. Les montagnes
lointaines présentent une coloration bleutée ou
violette. La végétation est également luxuriante
et craquante, pleine de vie. Les oiseaux sont actifs, ainsi que les
autres espèces animales. Le soleil chauffe mais ne brûle
pas immédiatement. La sensation subjective globale par beau
temps est celle d'une grande expansion, d'une abondance
d'énergie, d'un contact direct avec la nature et d'une
vitalité débordante. Respirer est si facile que l'air
semble littéralement envahir les poumons. La plupart des gens
se sentent exceptionnellement vivants et alertes, et plus
détendus que d'habitude. Tout ce qui vit pousse vers le haut,
contre la pesanteur, comme pour exprimer le surgissement et la nature
doucement expansive de l'énergie vitale. Par temps de pluie,
on se sent peut-être moins rempli d'énergie ou
somnolent, mais cela reste agréable. La pluie tombe avec une
régularité cyclique.
La plupart des gens âgés se rendent compte que cette
qualité de l'atmosphère devient de plus en plus rare.
On l'observait plus communément dans le passé
qu'à présent. Les états brumeux, stagnants de
dor deviennent de plus en plus la " norme ", à tel
point que beaucoup de jeunes gens, surtout dans les grandes villes
polluées, ne savent pas ce que peut être une
véritable journée de grand beau temps. Par exemple, les
vieux pilotes de ligne se souviennent de l'époque où la
brume de dor n'était présente que sur quelques zones
industrielles de nord-est des États-Unis. Aujourd'hui, en
revanche, on peut observer la brume de dor sans solution de
continuité, de la côte est à la côte ouest,
ainsi que très loin au large ! De même, avec la
déforestation et la désertification rampantes en cours
sur toute la surface du globe, les déserts liés au dor
s'étendent à des régions qui étaient
autrefois luxuriantes et humides. Dans les régions humides,
à mesure que l'atmosphère
se dorise, les orages
réguliers sont remplacés par un crachin brumeux acide.
Des naturalistes ont observé que l'éclat bleu de
l'orgone qui surplombait les montagnes disparaissait environ deux ans
avant la mort massive de la forêt, phénomène qui
est lié lui aussi à la pollution brumeuse et stagnante
de l'air. En effet, l'éclat orgonal bleu des océans,
des rivières, des forêts et l'atmosphère
disparaît à une vitesse inquiétante,
annonçant l'effondrement d'écosystèmes entiers.
Juste à ce moment où l'on identifie l'énergie
vitale, elle est en train de disparaître sous l'effet de la
pollution.
Pour décrire les états énergétiques de
l'oranur et du dor, Reich utilisa l'exemple d'un animal sauvage
placé dans une cage. Au début, l'animal réagit
avec fureur pour essayer d'échapper à l'enfermement.
Ensuite, il s'épuise et devient inerte et léthargique.
Cette réaction, observée par les gardiens de zoo du
monde entier, a été également confirmée
par John Ott dans son ouvrage
Health and Light (Santé
et lumière). Ott a démontré que les souris de
laboratoire exposée aux radiations perturbantes d'un poste de
télévision commençaient par être
surexcitées ; ensuite les même souris devenaient
inertes et léthargiques, et finissaient par être
frappées de maladies dégénératives. Ott
donna de nombreux exemples où les conduites agressives des
animaux d'élevage, tels que les visons et les poissons
d'aquarium, cessaient dès qu'on ôtaient les lampes
fluorescentes génératrices d'oranur. Les lampes
fluorescentes installées dans les salles de classe produisent
des effets similaires sur les écoliers. Certains maîtres
d'école ont observé qu'il était souvent facile
d'interrompre le chahut dans une salle de classe en éteignant
les lampes fluorescentes.
J'ai observé une réaction identique chez des enfants
qu'on laissait passer d'énormes quantités de temps
à " regarder " la télévision. Dans les
premières phases de l'exposition à la
télévision, souvent l'enfant ne se concentre
guère sur l'émission. Il veut simplement que la
télé soit allumée, et il s'occupe souvent
à autre chose tout en étant installé devant. On
observe souvent cette conduite étrange dans des familles
entières où, le soir, ou le week-end, l'activité
familiale tourne autour de la grosse télé couleur.
Personne ne semble prêter attention à l'émission
en cours, du moment que la télévision est
allumée. Comme les souris de laboratoire cocaïnomanes,
les enfants et les adultes peuvent souffrir d'
accoutumance par
l'effet d'oranur du poste de télévision. Par la suite,
comme les souris d'Ott, ils plongent dans un état d'inertie,
de léthargie ou d'immobilité &emdash; ce qu'on appelle
familièrement le
couch-potato syndrome (syndrome du
télé-scotché) qui est parfois annonciateur d'une
maladie dégénérative. Certes, il y a là
un élément émotionnel à l'Ïuvre, les
adultes et les enfants tendus utilisant la télévision
pour échapper à une situation sociale ou familiale
malheureuse. Mais rappelons-nous la découverte de Reich selon
laquelle l'orgone est l'énergie des émotions. L'effet
de la télévision n'est pas une simple fuite
" cognitive " ; il est aussi
bioénergétique.
On observe très nettement cette forme
bioénergétique d'accoutumance
électromagnétique/oranurique quand quelqu'un essaye
d'éteindre le poste de télévision. Les enfants
agités ou léthargiques qui baignaient dans le
rayonnement de la télévision, mais ne prêtait
qu'une attention distraite à l'émission, se mettent
soudain à protester vivement parce qu'on essaie de
l'éteindre. Même les adultes souffrant de ce syndrome
sont troublés à l'idée d'éteindre la
télévision, qui les obligerait à sortir de cet
état de légère catatonie pour établir un
contact émotionnel (bioénergétique) avec
d'autres êtres humains. Certes, le contenu de l'émission
joue aussi un rôle : plus les sollicitations sont
violentes, cruelles et sexuellement excitantes, plus elles touchent
les attentes sexuelles refoulées et la colère
rentrée qui affectent les gens dans notre
société pour nourrir davantage encore leur syndrome.
Les télé-scotchés, adultes comme enfants, ne
regardent que rarement, voire jamais, les chaînes
éducatives.
Autre réaction du même type, celle de l'enfant qui
n'a plus de pièces de monnaie ou à qui l'on ordonne de
quitter une salle de jeux vidéo. Ce sevrage provoque
l'angoisse et même de violents éclats chez l'enfant
comme chez l'adulte. Ott a montré que ces appareils, en
particulier les postes de télévision et les tubes
fluorescents, provoquent souvent l'hyperactivité chez les
enfants. D'autres chercheurs actuels ont observé des troubles
du comportement similaires, qui renforcent l'isolement social et la
rigidité affective chez les jeunes enfants qui sont
intoxiqués par leur ordinateur. Certains enfants
drogués d'ordinateur souffrent désormais de cataracte
du fait de l'exposition constante au CTR (tube à rayon
cathodique) des ordinateurs, et la leucémie pourrait aussi
être une maladie liée à la technologie. L'oranur
dans les salles d'ordinateurs scolaires et dans les salles de jeux
vidéo est si intense qu'il en devient immédiatement
sensible. Les rayons télévision des grands magasins,
qui comptent aussi beaucoup de tubes fluorescentes, frappent
également le passant occasionnel d'une grande quantité
d'oranur.
J'ai observé personnellement un cas évident
d'intoxication au rayonnement de la télévision chez
trois enfants hyperactifs qui passaient des heures chaque jour devant
le poste mais n'accordaient qu'une légère attention au
contenu des émissions. Dès l'instant où ils
rentraient de l'école, le poste
devait être
allumé. Lorsque la télévision fut finalement
éteinte (la mère exaspérée dut couper le
fil électrique pour venir à bout de ses gosses
ingénieux), on entendit une plainte de protestation
douloureuse et une période d'agitation pire encore s'ensuivit.
Cependant, au bout d'une semaine environ, les enfants finirent par se
calmer et commencèrent à se trouver de nouveaux amis et
de nouvelles activités, et leur hyperactivité disparut
complètement. La mère se débarrassa du gros
téléviseur couleur et se procura un petit poste noir et
blanc. Même si les enfants eurent par la suite la permission de
regarder le poste noir et blanc autant qu'ils le désiraient,
ils ne retombèrent jamais dans le même piège et
le syndrome d'hyperactivité ne réapparut pas. Dans tous
ces exemples, le système énergétique de
l'être humain était devenu intoxiqué à
l'agitation électromagnétique/oranurique, qui exigea un
effort conscient et déterminé pour la surmonter.
Quand on utilise un accumulateur d'orgone dans un environnement
oranurique ou dorique, toutes les considérations ci-dessus
sont de la plus haute importance, étant donné que
l'accumulateur
amplifie les conditions
énergétiques présentes dans l'environnement
local, quelles qu'elles soient. Si de l'oranur ou du dor est
présent, l'accumulateur amplifiera ces tendances et
conférera un caractère toxique, nocif à sa
charge. Dans certains cas, les effets de l'oranur et du dor sont
à la fois persistants et répandus et ne peuvent pas
être modifiés par une simple modification de objets dans
votre maison. C'est souvent le cas dans les grandes villes
polluées et toujours le cas dans les régions proches de
centrales nucléaires. En ce qui concerne les centrales
nucléaires, une distance d'environ 50 à 80
kilomètres est un minimum pour se protéger des effets
biologiques des émissions de radiations faibles ainsi que pour
utiliser un accumulateur. De même, si vous vous trouvez
à quelques kilomètres de lignes à très
haute tension, ou d'un grand émetteur de radio, l'utilisation
d'un accumulateur est déconseillée. Pareillement,
n'utilisez pas un accumulateur si votre zone a été
récemment victime d'un accident nucléaire ou de
retombées radioactives.
Dernière série de recommandations. On ne devra
jamais utiliser un accumulateur dans un mobile-home ou une maison
couverte d'une enveloppe ou de panneaux d'aluminium. L'aluminium
donne un caractère nocif à l'énergie orgonale,
et il est conseillé de ne pas vivre à
l'intérieur de telles structures, même si un
accumulateur n'y est pas construit ou entreposé. Les
mobile-homes avec des parois de bois sont sans danger. Cependant, on
notera que certains mobile-homes et bâtiments sont
isolés avec de la fibre de verre qui comporte un renfort en
aluminium. Si cette sorte d'isolation est utilisée en grande
quantité, elle aura quasiment le même effet que des
parois en aluminium et fera de la maison un grand accumulateur en
aluminium. De même, les maisons à toiture
métallique ou les nouvelles constructions à armature en
acier et non en bois agirons un peu à la manière d'un
grand accumulateur. J'ai vécu dans de telles structures durant
de courtes périodes et, même sans accumulateur, elles
ont tendance à accumuler de fortes charges. Elle peuvent
troubler le cycle du sommeil et entraîner une amplification de
l'effet d'oranur en cas d'utilisation de tubes fluorescents, de fours
à micro-ondes ou de postes de télévision. Les
maisons modernes conçues pour réaliser des
économies d'énergie ont souvent une ventilation
insuffisante, ce qui aggrave encore la situation
énergétique. Personne n'aurait envie de vivre à
l'intérieur d'un accumulateur, et la surcharge qui
apparaît spontanément à l'intérieur de
telles structures aura tendance à rendre à
moitié fou la plupart des gens sensibles.
Apprenez à reconnaître le dor et l'oranur, de sorte
que si jamais vous vous sentiez mal à l'intérieur d'un
bâtiment ou d'un accumulateur, vous puissiez prendre les
dispositions adéquates pour en éliminer les effets.
Aérez la pièce et vérifiez qu'il n'y a aucun
poste de télévision, tube fluorescent et autre appareil
en fonctionnement dans les pièces voisines ou aux
étages supérieur ou inférieur. S'il y a
déjà un accumulateur dans les lieux, aérez-le
aussi et apprenez à le laver à l'eau. Suivez les
indications fournies au chapitre suivant pour " Nettoyer votre
environnement énergétique ". La sensation
subjective éprouvée dans un accumulateur devrait
être une sensation de chaleur, de bien-être et de
détente. D'où l'extrême importance d'apprendre
à connaître son environnement énergétique
ainsi que la sensation de son propre corps et de ses organes. Il est
clair que les facteurs liés à la vie "
civilisée " ont souvent des effets nettement
négatifs sur le champ énergétique orgonal de la
terre, comme sur votre maison et sur vous-même. Tout ce qui
peut troubler ou agiter le champ énergétique orgonal de
l'atmosphère terrestre, ou de votre maison affectera gravement
aussi votre propre énergie vitale. Le prochain chapitre est
centré sur ce qui peut être fait pour diminuer ou
éliminer ces effets toxiques.
*le
DOR (dead orgone) est l'orgone totalement épuisé, mort, et l'
ORANUR (orgone/uranium) est l'orgone surexité, frébrile, "énervé".
de http://acorgone.chez.com/mise-et.htm
merci aux auteurs !
maintenant on sais qu'une intention concentrée vers le bien et tournée vers l'amour purifie et regenere l'orgone
au point qu'a certaines epoques les couples d'amoureux faisaient l'amour dans des temples prevus a cet effet ou bien en plein air avec l'intention conjointe d'ameliorer non seulement leur harmonie mais celle du climat et de l'univers tout entier ?
et evidemment pourquoi y a t'il des sorte de tabous contre l'amour ou au contraire de sa perversion la plus frequente ?
l'amour vrai en soit est la plus grande forme d'energie hors controle qui puisse exister la plus haute forme de "magie" ...
mais avec des intentions qui doivent etre pures et desintéressées sinon !!!