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 Psoriasis,le fruit de la colère...

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MessageSujet: Psoriasis,le fruit de la colère...   Psoriasis,le fruit de la colère... Icon_minitimeMar 23 Sep 2008, 11:45

Psoriasis,le fruit de la colère...


Le psoriasis est une maladie chronique, dont les lésions sont affichantes. Cette dermatose entraine une blessure narcissique plus ou moins profonde qui se caractérise par une altération de l’image de soi, une atteinte de l’estime de soi et une baisse du sentiment de sécurité interne. La souffrance ressentie par les malades n’est donc pas seulement physique, mais aussi psychique.


Psoriasis,le fruit de la colère... Yool2





La symbolique de la peau
Avoir une jolie peau, lutter contre l'apparition des rides... Depuis la nuit des temps, la peau constitue un objet de séduction, notamment pour les femmes. La peau est investie très précocement, puisque les échanges tactiles sont au cœur de la relation mère-enfant. De nombreuses théories psychanalytiques soulignent d'ailleurs l'importance de ces échanges pour la construction d'une image du corps cohérente.

Dans son ouvrage "Le Moi-peau" , le psychanalyste Didier Anzieu insiste sur le rôle-clé de ces expériences tactiles précoces, essentielles selon lui au développement affectif, cognitif et social de l'être humain.
En tant qu'organe visible, la peau est soumise au regard des autres dans la vie sociale, ainsi qu'au regard de l'Autre dans la vie amoureuse.

Pour le philosophe Michel Serres " la peau est aux avant-postes du sujet ".
La peau entretient par ailleurs des liens privilégiés avec notre vie émotionnelle : lorsqu'on est ému, intimidé, en colère, notre peau reflète cet état intérieur (rougissement, pâleur, sudation, horripilation).

Une peau " abîmée " par le psoriasis peut fragiliser l'estime de soi.

Le psoriasis fut pendant longtemps confondu avec la lèpre, une maladie perçue comme sale, honteuse et synonyme d'exclusion sociale. Ce n'est qu'à partir du dix neuvième siècle que le psoriasis est clairement différencié de la lèpre. Mais dans l'inconscient collectif, les maladies de peau véhiculent toujours la notion de saleté et de honte.

Le fait de vivre avec une maladie chronique et affichante comme le psoriasis n'est pas sans conséquence sur l'image de soi.
Cependant, les répercussions psychologiques du psoriasis sont surtout inhérentes à la façon dont une personne " vit " son psoriasis et non à la gravité clinique de ses lésions.

Tout dépend du narcissisme de chacun, c'est à dire de l'aptitude du sujet à s'aimer soi-même et à se sentir digne d'être aimé, estimé, respecté par autrui. Ce narcissisme se construit tôt dans la petite enfance : vers l'âge de 18 mois, lorsque l'enfant perçoit son reflet dans une glace, il prend conscience de son image, grâce à l'adulte qui le nomme : " tu vois, là, dans la glace, c'est toi ".
Avant cette expérience-là, l'enfant n'a pas une perception unifiée de son corps. Cette étape est essentielle pour l 'élaboration du narcissisme. Lorsqu'on qualifie une personne de narcissique, c'est souvent pour exprimer le fait qu'elle est très sensible à son apparence et que la moindre imperfection lui est insupportable.
Cette description nous renvoie invariablement au mythe de Narcisse qui, contemplant son reflet dans l'eau d'une fontaine, fut fasciné par son double. Une fascination qui le conduisit à la mort.
Il serait plus correct d'affirmer d'une personne " narcissique ", qu'elle est dotée d'importantes failles narcissiques. En effet, si celle-ci a besoin de s'admirer sans cesse dans le miroir, c'est parce qu'elle doute beaucoup d'elle-même, qu'elle n'est jamais satisfaite de son image, qu'elle n'a pas une bonne estime de soi...
A l'inverse, un être qui possède un narcissisme suffisamment solide porte un jugement moins sévère sur son apparence tout en étant conscient de ses défauts. On comprend pourquoi le psoriasis constitue pour les sujets qui n'ont pas pu se constituer ce " capital-narcissique " une grave blessure pour leur image.
Ces dernières peuvent ainsi ressentir des sentiments de dégoût et de honte envers leur propre corps. Lorsque l'image de soi est très altérée et la souffrance psychique forte, de tels patients peuvent s'enfermer dans un comportement d'évitement social et souffrir d'une dépression plus ou moins sévère.

Par ailleurs, le psoriasis, comme tout autre problème de santé, peut venir cristalliser pour certains sujets des difficultés relationnelles préexistant à la maladie. Les dermatologues savent bien que certains patients exploitent - le plus souvent de façon inconsciente - les bénéfices secondaires inhérents à leur maladie de peau.

Le psoriasis fait alors office de paravent, un paravent qui masque certaines difficultés psychologiques.
extrait de
http://www.monpso.net/qualite-de-vie/dossier-dimension-psychologique-psoriasis/la-symbolique-de-la-peau.html






Il est classique, aujourd’hui, de considérer que les poussées de psoriasis, d’herpès, d’eczéma ou d’acné sont favorisées par le stress et la contrariété. Mais le docteur Danièle Pomey-Rey, dermatologue et psychanalyste à l’hôpital Saint-Louis, à Paris, va plus loin. Selon elle, 80 % des maladies de peau ont une origine psychologique : « Celui qui en est atteint est quelqu’un qui a beaucoup de choses à dire, mais qui n’y parvient pas. Il parle alors avec sa peau. » Notre épiderme semble posséder son propre langage, chargé de relayer tous les non-dits de notre vie. Les raisons de cette interaction entre le cerveau et la peau sont simples : ils ont tous les deux la même origine embryologique ! Ils se forment en même temps, au vingt et unième jour du développement de l’embryon....

Les recherches effectuées sur le psoriasis sont nombreuses et dans de nombreux domaines. Il est clair que sur le plan chimique aucune solution fiable n’a encore été découverte. Le problème tient avant tout à l’identification du mal initial. Et sur ce sujet, c’est en psy clinique que les plus grands découvertes ont été faîtes. Si l’on résume les résultats de travaux qui ont été publié, notamment au Canada et en Australie, on peut conclure que le psoriasis se développe exclusivement chez des sujets qui présentent les deux caractéristiques suivantes : peau à typologie fortement marquée (roux par exemple) et présentant des troubles psychologiques (manque de personnalité, manque de confiance en soi, ...). Ce qu’il faut retenir de tout cela, c’est que les pistes de guérison se trouvent essentiellement dans le domaine psychiatrique/psychanalitique et non dans le traitement chimique ou bactériologique.Hubert Levinson Montreal

Selon Jean-François Prud’Homme, chercheur au Généthon, « Voilà une maladie génétiquement complexe, mêlant hérédité et acquis, gènes et environnement. Il s’agit d’une pathologie multigènique mettant en jeu 3 à 4 gènes, nous espérons obtenir des résultats significatifs d’ici 5 ans ». Grâce à une étude menée par le Généthon d’Evry de décembre 96 à septembre 2000 sur une base de 3 800 familles ramenée à 47 familles représentant 4 200 individus dont 900 cas putatifs de psoriasis, l’implication d’un locus de prédisposition sur le chromosome 6 est confirmée mais d’autres chromosomes seraient également concernés. Un travail pharaonique pour une recherche pyramidale car le travail cible maintenant les gènes en cause dans ces locus.

« Le psoriasis et l’eczéma apparaissent souvent à la suite d’un choc, explique le Pr Alain Claudy (1). Comme les cheveux de Marie-Antoinette qui ont blanchi d’un coup, au cours de la nuit de Varennes ! Ce type de réaction est dû à une baisse brutale de l’immunité. Mais c’est la carte d’identité génétique de la personne qui détermine si son organisme aura cette réponse ou non. »
« Nous, dermatologues, avons aussi un rôle de psychologue, affirme Alain Claudy. Je ne conseille jamais (sauf cas grave) de consulter un psychiatre, car cela remue trop de choses. Mais je ne m’oppose pas aux thérapies comportementales : si les personnes sont demandeuses, cela peut être utile. Quant aux cures thermales, elles sont une bonne solution… pour permettre à quelqu’un de sortir quelque temps d’un environnement perturbant. »C’est aussi ce que conseille un internaute sur l’un des nombreux forums où s’exprime le ras-le-bol de ceux qui ont « tout tenté » : « Moi aussi, j’ai essayé les huiles essentielles, les extraits de pépins de pamplemousse, etc. Mais j’ai surtout fait un travail sur moi-même pour arriver à gérer mon anxiété, manger plus équilibré et faire au moins une séance de sport par semaine, voire plus lorsque cela ne va pas. » Agnès a suivi le même cheminement : pour son acné, elle a eu recours au dermatologue « classique », au psychothérapeute, à l’énergéticien… avant de découvrir la naturopathie : « Prendre le soleil, se détendre, mieux s’alimenter, se soigner avec les plantes… tout cela me permet de lutter contre le stress, et d’aller mieux », affirme-t-elle.

Bon nombre de cliniciens se sont par ailleurs penchés sur le type de personnalité des sujets souffrant de dermatoses.
Selon certaines théories psychanalytiques, les personnes souffrant de dermatoses présenteraient un fonctionnement "opératoire", ou des traits " alexithymiques ", c'est-à-dire qui exprimeraient difficilement leurs émotions, seraient entravés dans leur vie imaginaire et auraient tendance, face à leurs conflits psychiques, à " somatiser " leurs tensions internes au niveau de la peau, plutôt que de les élaborer au niveau mental.
La vulnérabilité de ces patients pourrait être liée à des événements de vie traumatiques ou à des contextes relationnel conflictuels remontant à la petite enfance, qui n'auraient pu être élaborés psychiquement.

A l'heure actuelle deux choses peuvent améliorer voire guérir le psoriasis :

1-l'alimentation http://www.spvg.ch/fr/pdf/Theme_2_2001_f.pdf
2-Un travail sur soi
http://www.medecines-douces.com/im [...] ologie.htm

Problèmes psychosomatiques
C’est quoi ?
Le terme de psychosomatique désigne les symptômes ou les maladies d’origine psychique se traduisant de très nombreuses manières et gênant la vie de tous les jours.

Ce qui se passe
Psycho : qui part de l’esprit.
Somatique : qui aboutit sur les organes.
Voilà ! Vous avez tout compris.

Conséquences : tout désordre psychique au sens large, de l’anxiété permanente au surmenage, peut engendrer au minimum un symptôme, au pire une maladie.

Exemple pour l’estomac : cela peut se traduire toute une vie par des brûlures à l’estomac sans autre conséquence qu’un désagrément. Mais cela peut aller plus loin, et rapidement évoluer vers un ulcère.

Le mot psychique englobe plusieurs facteurs qui conditionnent nos comportements :

affectifs,
familiaux,
sociologiques,
professionnels,
intellectuels
et pourquoi pas... éducatifs, existentiels ou religieux.
Les organes cibles
Aucun d’entre nous n’échappe à ce problème. En fonction de notre personnalité et de notre constitution, un ou plusieurs de ces facteurs agissent sur ce qu’on appelle un organe-cible .




Source : http://www.docteurclic.com

"Selon une étude américaine, il semble qu'une partie des personnes atteintes de psoriasis auraient de la peine à exprimer leur colère. Selon cette étude, ceux qui refoulent trop leur colère seraient plus susceptibles de développer du psoriasis avant 40 ans."





Mettre des mots sur des maux

La souffrance primale : le grand secret occulté :

Le refoulement chez l’enfant est une réponse automatique à la souffrance occasionnée par la frustration du besoin affectif. La souffrance primale, c’est une souffrance tellement forte qu’on ne la sent plus, et qu’elle peut donc continuer indéfiniment. Les souffrances précoces sont les plus catastrophiques dans la mesure où elles constituent une menace pour la survie de l’individu. Ainsi le fait d’avoir frôlé la mort à la naissance ou le désespoir du tout-petit qui sent qu’il ne sera jamais aimé. L’organisme n’est pas fait pour tolérer des souffrances d’une telle intensité. Le degré de refoulement dépendra du niveau d’intensité de la souffrance. Quand un membre gèle, au début, on a mal. Et puis quand la douleur devient trop forte, on s’engourdit et on ne sent plus rien. Mais quand la chair « dégèle », la sensibilité revient et on recommence à avoir mal. C’est pareil avec les blessures émotionnelles. La souffrance affective est refoulée et oubliée. Il s’ensuit un engourdissement des émotions, une incapacité à ressentir. Mais lorsque plus tard, on se remémore cette souffrance, on recommence à avoir mal.

Comment se peut-il qu’une souffrance aussi colossale puisse rester comprimée à l’intérieur de notre corps sans qu’on s’en rende compte ? c’est au refoulement qu’on doit un tel prodige.




revoir aussi en complément et pour rappel:

LE NOUVEAU CRI PRIMAL

Dr Arthur Janov
http://www.analyse-integrative-re.com/html/ru$h3___.htm




Vivre avec une maladie de peau relève d’une certaine patience et d’un certain courage. Patience des traitements, courage d’affronter le regard des autres lorsque l’on est complexé. Dans le cas du psoriasis, il existe des façons de l’atténuer, parfois de le traiter. Alors est-ce que cela ne vaut pas la peine de s’armer d’un peu de courage pour vivre avec ?
Association Pour la Lutte contre le Psoriasis

Site internet :
http://www.aplcp.org

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MessageSujet: Re: Psoriasis,le fruit de la colère...   Psoriasis,le fruit de la colère... Icon_minitimeVen 13 Mar 2009, 08:46


Presque tout le monde a déjà pris des médicaments à un moment ou l’autre de sa vie. Toutefois, beaucoup de personnes ne prennent pas leur médication comme il se doit — le bon médicament, au bon moment et à la bonne dose. Pourquoi est-ce si difficile de suivre les directives de médication? Cette question est importante puisque la non-conformité ou l’infidélité au traitement peuvent le rendre moins efficace ou complètement inefficace.
Voici une liste établie par des chercheurs des raisons qui motivent la non-conformité à un traitement et sont liées au médicament en soi. Il semble que la conformité au traitement diminue lorsque :

  • les médicaments doivent être pris plus d’une fois par jour (trop compliqué !) 1;
  • des techniques spéciales doivent être apprises pour prendre les médicaments, comme l’utilisation d’un inhalateur contre l’asthme ou l’auto-injection (trop difficile !) 2;
  • les médicaments ont des effets secondaires qui peuvent inquiéter le patient (et si ce médicament n’était pas sûr?)3;
  • les médicaments mettent du temps (jours ou semaines) avant de montrer un bienfait (ne marche pas !) 4;
  • la prise des médicaments est assortie de directives alimentaires précises (p. ex., avec une matière grasse, sans produits laitiers ou l’estomac vide).

La non-conformité peut aussi être attribuable aux expériences et aux croyances d’une personne, surtout à propos de sa maladie ou de sa médication. Voici d’autres raisons de non-respect d’un traitement, liées au patient cette fois-ci :

  • oubli de prendre la médication5;
  • incompréhension ou oubli de la façon de prendre la médication6;
  • déni de la maladie et de la nécessité d’une médication7;
  • présomption que dès que les symptômes disparaissent, la médication n’est plus nécessaire7;
  • ignorance de l’importance de prendre la médication de façon appropriée7;
  • peur de prendre des médicaments7;
  • peur des aiguilles7;
  • crainte de ne pas être capable de suivre la posologie prescrite7;
  • crainte des effets secondaires possible (même des effets très rares).

En réalité, il existe de nombreuses raisons pour lesquelles les gens ne prennent pas leur médication de façon appropriée. Cela est dommage puisque ces personnes se privent peut-être des bienfaits que pourrait apporter le traitement prescrit.
Lorsque l’on traite de conditions chroniques de la peau, comme le psoriasis, le non-respect du traitement est aussi un problème courant. Certaines des raisons de la non-conformité sont semblables à celles d’autres conditions, mais d’autres sont uniques aux traitements topiques, notamment les crèmes, onguents et lotions8. Des personnes diront que certains médicaments topiques ont une odeur désagréable ou sont difficiles à utiliser ou peu commodes. Par conséquent, elles ne les utiliseront pas de la bonne façon, ce qui provoquera peu ou pas de réaction9. Une étude a révélé que seulement 60 % des patients atteints de psoriasis se conforment à leur traitement10. Les raisons courantes pour les écarts de conformité signalées par l’étude incluent le manqué de temps, l’oubli, le découragement et les effets secondaires. Par ailleurs, une meilleure conformité au traitement a été liée à la diminution de la gravité du psoriasis11.
Vous retrouvez-vous quelque part dans ce texte?

suite

http://psoriasisinfo.ca/fr/content.aspx?id=11
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MessageSujet: Re: Psoriasis,le fruit de la colère...   Psoriasis,le fruit de la colère... Icon_minitimeVen 11 Déc 2009, 13:05

extrait de
MA PEAU ME PARLE:

SPECIFIQUEMENT pour le psoriasis :

"La psychothérapie moderne enrichie par les découvertes récentes de la psychobiologie (ou neurosciences cognitives) a permis empiriquement de constater que cette maladie apparaissait toujours en présence de la situation conflictuelle d'un double séparation.
Le psoriasis survient toujours lorsqu'il y a en présence deux objets de séparation : par rapport au premier objet de séparation, s'exprime une situation conflictuelle active (de séparation), mais alors que la seconde situation de séparation se résout. Il y a bien sûr toutes sortes de variantes et qui sont toujours à prendre en considération par rapport (sine que non) aux ressentis particuliers du patient, bien qu’à ce jour, on a pu toujours observer a postériori cette sorte d’invariant ou dénominateur commun : la présence de deux situations conflictuelles liées à des séparations dont l’une est plus ancienne que l’autre et dont l'une se résout (c'est à ce moment qu'apparaissent les plaques typiques du psoriasis).
Cependant, il convient, de la part du soignant, de ne s’adonner à aucun dogmatisme ou apriori : l’accompagnement psychothérapeutique digne de ce nom doit offrir un espace rigoureusement empathique et donc, en aucun cas, directif, ce qui serait iatrogène. Dans une relation d’aide de qualité, il est incontournable de ne partir que de la vision particulière qu’a le patient et rigoureusement suivant l'angle de vue spécifique qu’il en a ; ainsi, le terrain de l’origine psychique (pourtant récurrente) ne sera abordé que sur demande expresse du patient et ne pourra faire l’objet d’aucune induction de la part du thérapeute ; faire autrement serait se poser en maître à penser et c’est alors l’antichambre gouroutique…
Les plaques apparaissent toujours dès que l'un des deux est résolu, "rappelant" alors que l’autre est toujours actif.
Psoriasis,le fruit de la colère... Psoriasis_schematic

Cela se passe aussi au moment où une séparation se résout mais qu’immédiatement une autre situation conflictuelle de séparation se crée et souvent comme réactivation d’une ancienne séparation occultée (ventre maternel, enfance …). Le psoriasis se manifeste donc dans la phase de guérison d’une des deux situations conflictuelles. Suivant la demande du patient qui en aurait alors (par lui-même) pris conscience, l'accompagnement psychothérapeutique lui permettra notamment d'aller résoudre la situation conflictuelle de séparation toujours latente mais de ne pas se limiter à celle qui l'a déclenchée : l'aider autant que possible pour solutionner le conflit central de séparation et qui, comme déjà observé, est souvent; comme déjà dit, logé dans le ventre maternel ou dans la petite enfance..
Pour l’eczéma, n’est en présence qu’une (seule) situation conflictuelle de séparation (un seul objet ) et qui n’apparaît qu’en phase de réparation (solutionnement de la situation problématique et souffrante), parce que c'est de l'ectoderme (feuillet embryonnaire) qui a donné (en phase active de conflit) des micro-ulcères et c’est alors qu’en phase de réparation, cela rebouche les ulcères ; apparaissent alors les plaques d'eczéma, analogiquement à ce qui se passe dans le cas du psoriasis ou encore de l’acné. Le cerveau ne fait pas de la médecine esthétique : il se comporte comme un très mauvais plâtrier.
Il y a cependant des personnes chez lesquelles les phases de réparation durent très longtemps, parce qu'elles se remettent en situation conflictuelle sans arrêt : elles passent rapidement et alternativement d’une situation de conflit à sa résolution (temporaire).
Voilà pourquoi encore maintenant les dermatologues ne tiennent compte des maladies cutanées qu'à partir de ce qui est visible et douloureux, mais qui n’est alors l’expression que de la résolution d'une situation conflictuelle. C’est ainsi que la formation des ulcères, étant antérieure, est indolore mais n'est pas prise en compte médicalement, puisqu’aucun patient n’en subit consciemment les effets. Ce serait pourtant faire oeuvre de réelle prévention que de s'occuper de ce qui se passe alors et qui permettrait au patient de se guérir en profondeur et ainsi, d'éviter d'autres crises psoriasiques.
C'est donc la phase de guérison qui se confond avec la phase de résolution de la situation conflictuelle en lien. Cependant, si la phase active a duré longtemps, la phase de guérison peut se prolonger en conséquence. Un travail psychothérapeutique approprié permet alors d’aller en profondeur et d’aider le patient, dans l’action, à résoudre le conflit profond de séparation et qui, comme déjà dit, est souvent logé dans la période fœtale ou dans la petite enfance. Dans de telles conditions, les différents systèmes dans lesquels se trouvent le patient et qui constituent son « terrain » propre (en priorité la famille) sont des éléments à prendre en compte pour une résolution à long terme, car on observe que, générateurs de souffrance, ils verrouillent négativement la plupart du temps toute la problématique et qu’ils se comportent alors comme des bombes à retardement.
De plus, il peut se produire des récidives inaperçues (conflit dit en balance), suivies de nouvelles phases de guérison, ce qui prolonge la guérison mais fait croire à la personne qu'elle souffre alors d'un psoriasis chronique, alors qu'il y a bien eu lieu des (courts) moments de rémission.
Je peux témoigner que TOUS les cas de personnes que j'ai accompagnées et qui venaient pour se libérer des causes psychologiques ayant entraîné un psoriasis ou quelqu'autre maladie cutanée, SE sont guéries relativement rapidement."
suite:

Psoriasis et psychothérapie

©️ Baudouin Labrique

"La psychothérapie est l'ensemble des moyens par lesquels nous agissons sur l'esprit malade ou le corps malade, par l'intervention de l'esprit"
(Antoine Porot, co-auteur d'un "Manuel alphabétique de psychiatrie"- 1952).
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MessageSujet: Re: Psoriasis,le fruit de la colère...   Psoriasis,le fruit de la colère... Icon_minitimeMer 16 Fév 2011, 15:27


Psoriasis,le fruit de la colère... 7268885-champ-de-pommes-de-terre-sur-un-coucher-de-soleil-sous-un-ciel-bleu-paysage

Une méthode naturelle est une invitation à parcourir le chemin permettant de « se
soigner soi-même ». Ce livre, qui est le fruit de nombreuses années d’expérience et
d’études menées sur une maladie aussi incroyablement répandue que le psoriasis,
propose toute une série de remarques, conseils et intuitions visant à encourager
les sujets atteints de psoriasis et leurs propres familles à expérimenter et utiliser un
programme qui pourra garantir un processus de guérison difficile et pourtant efficace.

Tous les chapitres proposent aux lecteurs les informations s’avérant nécessaires à
l’approfondissement de cette maladie souvent débilitante, ainsi que les outils qui
permettent de la surveiller et de s’en débarrasser.

L’auteur analyse les raisons qui déclenchent le psoriasis, tout en conseillant le régime
alimentaire à suivre pour une meilleure qualité de vie et pour favoriser au mieux l’effet
des thérapies équilibrées.

Apprendre et comprendre tous les bienfaits curatifs de la technique du dr. Pagano
pour se guérir par soi-même, avec le soutien d’un expert dans le domaine de la
médecine naturelle : voilà les outils qui aideront le patient à retrouver aussi l’harmonie
avec son milieu environnant, ce qui lui permettra de mener une vie aussi complète et
active que celle de tout le monde.

Quel que soit Votre âge, quel que soit le stade de votre maladie, ce guide pratique :

- Vous aidera à entreprendre et à suivre votre parcours
de guérison, ainsi qu’à surmonter la sensation gênante
d’être « différent », ce qui vous permettra finalement
de mener une vie plus détendue et satisfaisante.

- Vous permettra de connaître Votre «ennemi», de le surveiller
et de le vaincre, et d’affronter votre vie et votre maladie avec sérénité


Le dr. John Pagano est un chiropracteur qui a accumulé plus de 40 ans d’expérience
dans le domaine du psoriasis et des problèmes de débilitation s’y rapportant. Si elle est
suivie avec détermination, sa méthode permettra aux sujets atteints de cette maladie
de mener une vie plus sereine et gratifiante.


Le psoriasis vu de l’intérieur

« Docteur, vous devez m’aider. Je ne peux plus continuer à vivre de cette manière » sont les premiers mots que M. A. a prononcés en poussant la porte de mon cabinet. C’était un homme amical et avenant, la soixantaine bien sonnée. En apparence, rien ne laissait présager qu’il était souffrant. Et pourtant, lorsque M. A. s’est dévêtu, j’ai compris la raison de son tourment. Il était affecté de l’une des plus anciennes maladies cutanées de l’humanité : le psoriasis. Et ce, depuis trente ans. La maladie l’avait atteint au point de recouvrir 80 % de son corps de squames argentées épaisses, responsables de nombreuses souffrances, de saignements et d’atroces démangeaisons.
Le propriétaire d’un magasin de produits biologiques lui avait fait savoir que j’avais aidé plusieurs personnes dans le même cas que lui. M. A, qui avait eu recours à toutes les méthodes possibles et imaginables pour combattre la maladie, est venu me voir dans l’espoir que je résolve son problème.
Son cas était si sévère que j’ai hésité à le prendre en charge, par crainte de le nourrir de faux espoirs. Cependant, il ne m’a pas laissé le choix lorsqu’il m’a confessé : « Docteur, je n’ai personne d’autre vers qui me tourner ».
Je suis heureux qu’il m’ait convaincu de l’accepter comme patient, pour la bonne raison qu’il s’est montré totalement coopératif. Il a suivi mes instructions à la lettre et à ma (et à sa) grande surprise, ses lésions ont disparu en trente jours !

Psoriasis,le fruit de la colère... Guerir_du_psoriasis_3046


2 Conférence du Dr John O.A. Pagano
3 Récit d'expériences
4 Ils parlent de "Guérir du Psoriasis"
5 Extraits du li
vre ici


Octobre 2010.

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MessageSujet: Re: Psoriasis,le fruit de la colère...   Psoriasis,le fruit de la colère... Icon_minitimeVen 18 Fév 2011, 16:13

Bonjour,
après avoir poster ce qui est plus haut sur le livre de J Pagano, je suis aller l acheter!
Heureuse surprise, presque tous les conseils s adressent aussi à ceux qui ont de l eczéma et/ou des problèmes intestinaux!

Psoriasis,le fruit de la colère... Cadeau-livre



Je vous le recommande vivement!

une phrase choc et qui dit tout:

"Si vous ne voulez pas ressembler à une pizza, cessez d'en manger!"


une NB tout de même avec cette article concernant les végétariens:

Régime végétalien : attention au coeur !

Citation :
Le régime végétarien est connu pour ses bienfaits sur le plan cardiovasculaire, au vu de ces bénéfices sur les paramètres lipidiques, le tour de taille, le poids corporel ou encore la pression sanguine. Mais il semble que ce ne soit pas le cas du régime végétalien qui, au contraire, augmenterait les risques d'athérosclérose et de thrombose.

Les personnes qui optent pour un mode de vie végétalien, c'est à dire qu'elles ne consommant plus aucun produits provenant d'un animal mort ou vivant, seraient plus à risque de développer des caillots sanguins et de souffrir d'athérosclérose. Telle est la conclusion d'une revue des nombreux articles publiés sur la biochimie du végétarisme au cours des 30 dernières années.

D'un extrême à l'autre

Il est maintenant avéré que les grands consommateurs de viande présentent une combinaison de facteurs de risque cardiovasculaires significativement plus élevée que les végétariens. Néanmoins, le fait de ne consommer aucun produit animal pourrait s'avérer également néfaste pour l'organisme.

Commentaire : La consommation de viande est extrêmement bénéfique, et fut l'un des facteurs de l'évolution humaine : Enterrer l'hypothèse végétarienne.

De même, un taux de cholestérol élevé est bénéfique pour la santé : -La Vérité sur le Cholestérol
-Dites à votre médecin que le cholestérol est innocent
-L'arnaque du cholestérol

En revanche,un régime végétarien entraîne inexorablement des carences en acides gras eicosapentaénoiques et docosahexaéoniques.
Ces carences causent la dégénérescence du cerveau et du système nerveux à plus ou moins long terme. Pour les enfants, ces carences nuisent au développement de l'intelligence. D'ailleurs les seules populations réellement végétaliennes se retrouvent dans certaines îles du Pacifique et elles affichent un déficit intellectuel important.



Duo Li, l'auteur d'une revue de la littérature portant sur le végétarisme a démontré que, dans le cas du « végétalisme », le régime alimentaire avait tendance à être carencé en plusieurs nutriments essentiels (fer, zinc, vitamine B12 et acides gras oméga-3).

L'auteur suggère que, si un régime végétarien équilibré peut fournir suffisamment de protéines, ce n'est pas toujours le cas des acides gras essentiels. En conséquence, les végétaliens auraient tendance à avoir des taux sanguins élevés d'homocystéine et une diminution du taux de cholestérol HDL. Or, ces deux paramètres représentent des facteurs de risque de maladie cardiaque.

Plus d'oméga-3 et de B12

Duo Li conclut en disant qu'il existe une base scientifique solide insistant sur l'importance d'encourager les végétariens et surtout les végétaliens à augmenter leur consommation d'acides gras oméga-3 et de vitamine B12 afin de les aider à composer avec ces risques.

Parmi les sources d'acides-gras oméga-3, citons les poissons gras, les noix et huiles de noix, l'huile de colza, de lin,... Les bonnes sources de vitamine B12 sont quant à elles essentiellement d'origine animale (fruits de mer, œufs laits enrichis). Des suppléments alimentaires peuvent également fournir ces nutriments.

(Par Alexandre Dereinne, diététicien, d'après Duo Li. "Chemistry behind Vegetarianism". Journal of Agricultural and Food Chemistry, 2011; 110104095843036 DOI: 10.1021/jf103846u)

Source : Health and Food

revoir aussi ce Post-it: La Candidose, une maladie de notre époque
dans ...dans l air du temps... :: Santé-Soins holistiques...

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MessageSujet: Re: Psoriasis,le fruit de la colère...   Psoriasis,le fruit de la colère... Icon_minitimeDim 20 Avr 2014, 13:41

Se libérer du psoriasis

Un petit bouquin facile et plein de bon sens à la portée de tous pour 8 euros !

Psoriasis,le fruit de la colère... 41xfwwmxXBL._
L auteur : le docteur Paul Dupont est ancien chef de clinique de dermatologie et assistant des hôpitaux en nutrition. Il est Président de la Société de Phytothérapie et de nutrition SOPHIA.

Beaucoup de personnes qui souffrent aujourd hui de psoriasis, se sentent découragées : bien souvent, les traitements chimiques se sont révélés inaptes à apporter une solution, et parfois même ont aggravé leur situation. Le docteur Paul Dupont, dermatologue et ancien chef de clinique, affirme pourtant qu il est possible de faire régresser les plaques de psoriasis avec une médecine simple et naturelle. Il présente en détail l action positive d un nouvel ingrédient d origine marine, en expliquant pourquoi il constitue un espoir nouveau et réel de guérison. Mais il apporte aussi des éléments de réflexion fondamentaux sur l origine psychique et métabolique et met en relief la nécessité d adopter des règles d hygiène mentales et diététiques pour s acheminer vers la guérison. Il apporte aussi à tous les malades des conseils précieux pour les aider à se libérer de la charge émotionnelle liée au psoriasis.

(Définition complète du psoriasis faite plus haut sur cette page)



Lécithine marine contre psoriasis

Les traitements actuels pour le psoriasis ne sont pas forcément efficaces. Un nouvel espoir réside dans l’utilisation d’un complément alimentaire à base de lécithine marine.

Le psoriasis touchant 3 à 5 % de la population européenne et 4,7 % de la population française est une des dermatoses érythémato-squameuse (lésions inflammatoires rouges recouvertes de squames blanches) les plus fréquentes. Affectant certaines zones corporelles, cette pathologie a une cause inconnue.
Aujourd’hui, il n’existe pas de traitement réellement efficace mais un essai réalisé par un dermatologue français et présenté lors du colloque national « Mer, Environnement, Santé » (1) est porteur d’espoir.

La lécithine marine
Ancien chef de clinique à Toulouse (France), le Dr Paul Dupont a testé sur 30 sujets un nouveau complément alimentaire extrait du poisson : la lécithine marine. Les résultats, photos à l’appui, montrent une amélioration moyenne allant jusqu’à 83 % au bout de quatre mois de traitement. Au bout de six mois, « la majorité des patients n’ont pas de récidives ». Les premiers résultats ont été regroupés dans une littérature scientifique préliminaire mais une autre étude sera réalisée en double aveugle.

Substance naturelle
« Ce n’est pas un médicament mais une substance nutritionnelle naturelle », précise le dermatologue, notant qu’il n’a constaté aucun effet secondaire. Oemine Psoriacalm (2) est vendu en pharmacie. A dose suffisante, ce produit doit être pris au moins durant un semestre « pour espérer voir les plaques se cicatriser correctement », précise le laboratoire.

Test auprès de 30 patients
Malgré de grandes promesses en vue, « il est encore trop tôt pour affirmer que tous les types de psoriasis seront sensibles à cette supplémentation nutritionnelle », souligne Phytobiolab(2). « Je conseille toujours avant toute prise de traitement quelconque, même s’il n’est pas médical, de demander l’avis de son médecin. », précise le Dr Dupont, précaution encouragée également par le laboratoire.

(1) 1er Colloque national « Mer, Environnement, Santé » 25 mars 2006 - Cassis (France)
(2) Laboratoire Phytobiolab (fabriquant d’Oemine Psoriacalm)

En savoir plus :
- Les facteurs de cette pathologie sont multiples : facteurs génétiques et environnementaux, lymphocytes T, cytokines, antigènes supposés, stress au sens large. (NDLR)
- Environ 1,5 % des psoriasis débutent avant l'âge de 10 ans et 35 % avant 20 ans. Par ailleurs, le psoriasis peut se déclencher à tout âge, mais il apparaît plus souvent à l'âge adulte que pendant l'enfance.
Chez l’enfant, les premières manifestations surviennent dans environ 30 % des cas (15 % avant 10 ans et 15 % entre 10 et 15 ans) avec un maximum lors de la période pubertaire (20 % entre 15 et 19 ans).
La fréquence de survenue à un âge plus élevé diminue ensuite régulièrement avec le temps.
Le psoriasis est néanmoins une maladie grave dans environ 10 % des cas, soit parce que son étendue à tout le tégument est incompatible avec une vie socioprofessionnelle et familiale normale, soit en raison des complications, en particulier rhumatismales.
Source : Association Pour la Lutte Contre le Psoriasis – A.P.L.C.P –

Source :
- Communiqué de presse du 1er Colloque national « Mer, Environnement, Santé »
- Quotidien « La Provence » du samedi 25 mars 2006
- Etude sur le psoriasis du Dr Paul Dupont
- Association Pour la Lutte Contre le Psoriasis – A.P.L.C.P – http://www.aplcp.org/psoriasis.htm

Article original – Hippocratus le Magazine du 22/03/2006 par Léa Pilar


Citation :
La lécithine marine est une nouvelle variété de lécithine extraite des poissons sauvagespélagiques des mers froides. La particularité de cette lécithine c’est son origine animale qui enfait la plus proche de l’organisme humain. La lécithine marine est en effet estérifiéemajoritairement par un acide gras essentiel de type oméga 3-DHA que l’on ne retrouve pasdans les lécithines végétales. Dans le psoriasis, l’action de ce produit vise à compenserl’anomalie enzymatique suspectée dans notre étude comme étant à l’origine du psoriasis:Notamment, la carence en désaturases, enzymes de transformation des acides gras essentielsen prostaglandines. L’augmentation de l’activité de la phospholipase A2 (PLA2) qui dégradeles phospholipides membranaires est également certainement tempérée par l’apport delécithine marine.
La lécithine marine a été évaluée dans diverses études observationnelles permettant
d’en définir la dose efficace à 400 mg par jour. Le complément alimentaire étudié est unconcentré vendu en pharmacie sous la marque OEMINE PSORIACALM®. La posologie estde 4 gélules matin et soir.
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MessageSujet: PSORIASIS : S'EN DÉBARRASSER AVEC LES HUILES ESSENTIELLES   Psoriasis,le fruit de la colère... Icon_minitimeMer 29 Avr 2015, 18:53

PSORIASIS : S'EN DÉBARRASSER AVEC LES HUILES ESSENTIELLES

Fatigué et désespéré des traitements corticoïdes inefficaces ?

Caractérisé par des plaques de peau épaisses et rouges qui se détachent sous forme d'écailles blanches, le psoriasis est une maladie inflammatoire de la peau qui touche principalement les coudes, les genoux et le cuir chevelu. Les causes du psoriasis sont multiples et complexes : les facteurs génétiques, psychologiques et environnementaux sont souvent privilégiés. Pouvant être bénin ou recouvrir jusqu'à 10% du corps, le psoriasis touche environ 2 millions de personnes en France et trop souvent (64%), ces personnes sont victimes de discrimination.

Nous souhaitons aider au mieux toutes ces personnes à vivre avec leur psoriasis en proposant cette synergie qui nous tient à cœur. Les huiles essentielles sélectionnées avec soin pour cette synergie vont permettre de soulager les douleurs et l'inflammation dues au psoriasis. Elles vont également permettre à votre peau de mieux se régénérer et de cicatriser.

Dossier réalisé le 14/04/2015 par Aline et Guillemette, expertes en aromathérapie.ICI
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MessageSujet: Psoriasis : Mal connu, Mal vécu   Psoriasis,le fruit de la colère... Icon_minitimeDim 09 Oct 2016, 16:35

A quelques semaines de la Journée mondiale du psoriasis, le 29 octobre, France Psoriasis assure que la maladie de peau fait toujours aussi peur aux Français. Sondage à l'appui, l'association de patients balaie les idées reçues. Non, le psoriasis n'est pas contagieux, n'est pas une « maladie psychologique » ou n'est pas lié à « un manque d'hygiène ». Par contre, la maladie est très mal vécue par les personnes qui en souffrent.

Maladie inflammatoire qui se manifeste notamment par des lésions cutanées (plaques rouges à la surface de la peau), le psoriasis reste, selon l'association de patients France Psoriasis, une maladie très mal connue du grand public alors qu'elle touche plus de 125 millions de personnes dans le monde et plus de 2,5 millions en France.

23% des Français refuseraient de lui serrer la main

Pour preuve, un sondage réalisé par OpinionWay publié ce jeudi (lire en encadré) indique que le psoriasis continue de faire peur. En effet, il s'avérerait que près d'un tiers des Français refuserait de faire la bise à une personne atteinte de cette maladie de peau, pourtant non contagieuse.

Dans le détail, le sondage révèle que 45 % des Français garderaient leurs distances avec une personne atteinte de psoriasis lors d'une première rencontre, 29 % refuseraient de lui faire la bise, 23 % de lui serrer la main et 27 % éviteraient tout contact physique. Des chiffres qui sont plus élevés que lors du précédent sondage réalisé en 2013.

Ces craintes s'expliquent par les nombreuses idées fausses qui continuent de circuler sur la maladie : 38 % croient à tort que le psoriasis est une « maladie psychologique », 12 % qu'elle est « contagieuse » et 6 % qu'elle serait liée à « un manque d'hygiène ».

Maladie cachée, maladie honteuse

« Mais le psoriasis est une maladie chronique inflammatoire invalidante due à un dysfonctionnement du système immunitaire », rappelle Roberte Aubert, présidente de France Psoriasis, à quelques semaines de la journée mondiale du psoriasis, le 29 octobre. Au-delà de lésions cutanées, plus ou moins étendues, la maladie peut également se traduire par des démangeaisons gênantes et par un rhumatisme invalidant dans 30 % des cas.

Le psoriasis est ainsi mal vécu par près de 30 % des patients, 20 % n'hésitant pas à la cacher en société et 10 % en ont honte, selon un sondage complémentaire réalisé auprès d'adhérents de l'association qui lance une nouvelle campagne d'information et de sensibilisation.


La vie affective est gravement impactée par le psoriasis

Ces études montrent également que la vie affective est gravement impactée par le psoriasis. Un Français sur deux estime que si lui-même ou son conjoint était atteint, cela aurait eu un « impact sur leur première rencontre », leur « premier baiser » ou leur « libido », 38 % sur « le fait d'envisager une vie ensemble » et 35 % « d'avoir des enfants ». Les patients sont dans le même état d'esprit en soulignant que le psoriasis affecte fortement ou très fortement de façon négative leur envie de séduire ou leurs relations amoureuses.

pour rappel =>> http://www.psoriasis-contact.be/

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MessageSujet: Re: Psoriasis,le fruit de la colère...   Psoriasis,le fruit de la colère... Icon_minitime

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